"O que, na verdade, começa por insinuar-se é outra coisa: alguém que toca guitarra como quem soletra. Quer dizer: como quem aprende a ler. Nada há de depreciativo nestas considerações. Porque as suspeitas de algo de 'anormal' evocam o 'antes e depois da ciência', com que o 'renascido' Eno se saiu nos dias em que sentia latejar veia de profeta. E também não há que esperar muito para se ganhar consciência de que Bach e Paredes já foram visita dos pavilhões auditivos de quem assim toca." In Revista Atual por Ricardo Saló (Agosto 2012)
Quelques habitués boivent tranquillement leur café, accoudés à un comptoir décoré d'azulejos bleus et blancs. Dans le fond de la salle un groupe de femmes bavardent et feuillètent des magazines portugais tout en piochant distraitement dans une assiette de petits gâteaux. En vitrine sont alignées toutes sortes de pâtisseries aux œufs et à la crème, aux noms alléchants. Lorsque nous sommes entrées dans la Pastelaria Belem, un dimanche après-midi, nous avons d’un coup eu l’impression d’être parties en voyage, dans les petites rues pavées de Lisbonne.
Assises autour d’un petit guéridon en marbre, nous avons pris le thé et gouté quelques-unes des spécialités de cette jolie pâtisserie portugaise, dont les incontournables petites tartes au flan créés au XIXème siècle par les religieuses de Belem. Pour en avoir mangé plusieurs fois au Portugal, ces pastéis de nata n’avaient rien à envier à ceux de la fameuse Fábrica dos pastéis de Belém, dans la banlieue de Lisbonne. Les pots de cannelle en poudre, disposés sur chaque table, sont là pour vous permettre de les déguster dans les règles de l’art…
En plus des pastéis de nata traditionnels, la Pastelaria Belem propose aussi des déclinaisons, originaires des différentes régions du Portugal : aux amandes, à la noix de coco, aux pétales de chocolat… Ce qui nous a bien plu, ce sont les mini-pastéis, bien pratiques pour pouvoir goûter de tout ! Œufs, sucre, crème, noix de coco, sont les ingrédients incontournables de la pâtisserie portugaise. Si vous hésitez le patron sera ravi de vous conseiller sur les autres spécialités, comme les bolo de arroz (sortes de muffins à la farine de riz) ou les mimos de Lisboa(à base de jaune d’œufs et de noix de coco).
Enfin, pour le midi, la Pastelaria Belem offre quelques sandwichs et plats salés que nous n’avons malheureusement pas encore eu l’occasion de goûter. Mais une chose est sûre nous y retournerons bientôt, pour profiter à nouveau de ce petit air de vacances.
E aqui se conta como se faziam tamancos. Ou, mais concretamente... paus. Paus era o nome dado à parte de baixo dos tamancos. Ensinamentos do senhor António Almeida, em Alverca da Beira.
" Douro, répétition, mémoire" nous fait voyager à travers des lieux, des personnes et des coutumes. C’est un essai sur l'imaginaire, sur le thème de la nostalgie, et les souvenirs. Éveille des sensations. C’est la mémoire de quelqu'un et aussi de nous tous. Celle du Douro.
"Porquê o mar? Afonso, porquê o mar, só mar, só mar... põe lá umas caras, põe as de Cabo Verde que são tão giras, aquelas de coisas na mesa...
Não sei explicar. O mar chama-me todos os dias, todos, a água e as ondas, o barulho, a luz, o alegria, o medo, Uma alegria tão grande que só a posso experimentar se tiver preparado para chorar a qualquer momento. Quando começou? Não sei. Como começou? Como quando nos apaixonamos. Sem aviso."
Scénographe, Florence Evrad aime la peinture et en tant que décoratrice de théâtre elle peint également. Elle voulait faire un spectacle sur ce mystère qu'est la peinture. Elle aime la parole des peintres, car souvent étonnante. Dans Le monologue du peintre de Georges Charbonnier, qui rassemblait des interviews des plus grands peintres des années 60, Florence est tombée sur cette interview de Vieira da Silva qui l'a profondément intriguée et bouleversée. L'interview a été comme une pelote de laine qu'elle a dévidée, explorée et qui l'a menée sur différentes pistes. L'hypothèse de base était que cette femme a traversé le chaos de son époque (Salazar, la 2e guerre mondiale, la guerre froide) toujours connectée à elle-même, mais "sans politique, ni religion", acceptant le chaos, "ce labyrinthe terrible" que l'on voit dans son oeuvre et cherchant sans relâche la lumière.
Florence a souhaité relayer cette parole puissante, qui parlait si bien de son art, de sa vie, de son incertitude. Elle voulait la faire entendre. C'est grâce à un travail de recherches assidue, de transcriptions d'interviews, de rencontres avec ses proches que naît cette composition. C'est une interprétation personnelle de l'artiste, mais ce sont ses mots à elle, fidèlement retranscrit.
Les dessins de Marie O Baccard ont été réalisés pendant les répétitions de "La ballade de Vieira ou la lumineuse incertitude"
Venez découvrir ce travail à Aubusson le jeudi 26 mars à 18h30
à La Pépinière, esplanade Charles de Gaulle - Aubusson Un spectacle de Florence Evrard avec Isabelle Gozard, Nicolas Pignon & Pénélope Michel, Nicolas Devos de Puce Moment.
"Fruit d’un échange réalisé en 1995, entre la RATP et le Métropolitano de Lisboa, ou le métro de Lisbonne. Avez-vous déjà remarqué les carreaux de faïence colorés qui ornent l’intégralité des murs de la station de métro Champs-Elysées Clémenceau ?
Cette fresque géante en azulejos géométriques est l’oeuvre du peintre et céramiste Manuel Cargaleiro, originaire du district de Casteo Branco au Portugal. En retour, la station Picoas, à Lisbonne, a reçu une copie d’accès Guimard de notre métro parisien. Même si on les adore, ça change des classiques subway tiles, qui ont envahi les murs des cuisines branchées ces dernières années !"
Caldeirada de peixe : Les fruits de mer sont très répandus et utilisés en quantité dans la cuisine portugaise. Mettez tout ce que vous pouvez attraper dans vos mains dans une marmite et vous obtenez une caldeirada, un ragout de poisson cuisiné avec différents types de poissons, crustacés, et recouvert de tomates et herbes. Riche, épais et nourrissant, c’est le plat parfait pour terminer une journée à la plage.
Amêijoas à Bulhão Pato : Rendez-vous service : Prenez une bière bien fraiche, prélassez-vous sous le soleil et commandez cette spécialité. Ce plat à base de palourde ne repose pas que sur les matières molles à l’intérieur du coquillage, mais aussi sur des morceaux de pain qui baignent dans une sauce à base d’huile d’olive, coriandre, ail et parfois même du vin blanc. C’est vraiment le plat parfait pour un après-midi relax avec des amis.
Sardinhas assadas : Combinant la fraicheur de la mer avec la saveur piquante du grill, ces sardines grillées au charbon sont le plat le plus typique de Lisbonne. Vous pouvez en manger dans les restaurants mais aussi dans la rue, pendant la fête de Saint Antoine en Juin. Qu’elles soient sur le dessus d’un épi de maïs, servies avec une salade de poivrons grillés ou avec des légumes cuits à l’eau, soyez sûr de les tremper abondamment dans de l’huile d’olive pour vivre pleinement l’expérience !
Polvo a Lagareiro : Comment ne pas inclure un plat à base de poulpe dans une sélection de spécialités portugaises ? Le poulpe est tellement spécial qu’il est mangé dans de grandes occasions comme le réveillon de Noël. Il est également souvent servi en entrée dans la plupart des restaurants de fruits de mer, souvent froid, accompagné d’oignons, huile d’olive et persil. Polvo à Lagareiro est un plat de poulpe rôti, trempé dans l’huile d’olive et servi avec des pommes de terre cuites au four.
Célebre fotolivro de Victor Palla/Costa Martins, publicado em 1959, será reeditado pela Pierre von Kleist, chancela responsável pela segunda edição da obra, em 2009. Distribuição daquele que é considerado o livro dos livros de fotografia portugueses deverá acontecer em Maio de 2015. Ler o artigo do Publico.pt
Tiago Ferreira (Cavalheiro) convidou Frederico Cristiano (At Freddy’s House) para juntos apresentarem uma nova versão do tema "Quero É Viver", lembrando o septuagésimo aniversário do nascimento de António Variações, em 2014.
Frederico Cristiano aceitou o convite para refazer a canção, criou novos arranjos em piano e sintetizadores e juntou-se a Tiago para darem voz à letra cantada. Aqui está o resultado desse encontro.
Lorsque vous vous promènerez dans les rues de Braga, ouvrez les yeux. Dans divers endroits de la ville il y a 8 yeux qui méritent d’être vus. Les œuvres d’art urbain ont été réalisées par l’artiste Frederico Draw.
Frederico Draw est un artiste urbain reconnu, formé en architecture et membre du collectif RUA depuis 2011. Né à Porto en 1988, Frederico possède un parcours multifacette avec de nombreuses interventions, expositions et workshops où la reproduction de la figure humaine est la note dominante de son travail.
"Ces bouleversantes photos ont été prises en 1983 par Fréderic Brenner qui avec Yosef Hayim Yerushalmi ont rédigé ce livre sur les "Marranes".
Ce livre relate en photos et prières l'histoire de cette communauté miraculeusement restée juive malgré l'Inquisition et les menaces terribles qui pesaient sur elle.
Belmonte, province de Beira, à quelques kilomètres de la frontière espagnole. Deux mille cinq cents habitants, cent vingt marranes, derniers témoins de ce défi. On est marrane pour soi, au sein de la famille. Le concept même de communauté est étranger à la réalité marrane. Le cloisonnement est la règle de survie primordiale chez les clandestins. Officiellement, on est chrétien : baptisé, marié devant le cure, recevant les derniers sacrements de l'église. En secret, dans l'intimité de la cellule familiale, on est Juif. On célèbre le sabbat, Kippour, le Jeune d'Esther, Pessah. Concrètement, dans le quotidien, on ne peut déceler aucun signe apparent de judaïsme :
- Pas de circoncision ; - pas de livre, pas de trace écrite, mais une tradition orale transmise aux générations ; - pas de langue non plus. Toutes les prières sont en portugais, à l'exception du Nom de Dieu, prononcé en hébreu - Adonaï - pas de synagogue, mais des greniers, parfois des caves, des vergers et des champs à l'abri des regards ; - pas d'institution, pas de rabbins. Ce sont les femmes qui transmettent la tradition de génération en génération, ce sont les femmes qui réunissent pour prier. C'est la grand-mère qui marie sa petite-fille."
Souvent, lorsque mon père et moi voyageons seuls, j’aime le questionner sur son enfance, sur sa vie là-bas, dans ce petit village de Tras-os-Montes au pied du Larouco, où j’ai moi-même vécu deux ans durant mon enfance.
Je sais peu de choses sur ma grand-mère paternelle, je l’ai très peu connu. Je sais qu’elle s’appelait Ana, « Barina » pour les gens du village, qu’elle n’a jamais été mariée, et qu’elle a eu quatre enfants qu’elle a élevés seule. Mon père était le fils du curé Padre Avelino . C’était un homme plutôt bon, lettré et respecté comme tous les hommes d’église à cette l’époque. Ma grand-mère aimait cet homme, mais n’attendait rien de lui. Elle se débrouillait seule.
D’après mon père, Ana était une femme particulièrement courageuse que la vie avait endurcie. Malgré sa dureté, ma grand-mère aimait ses enfants. Elle essayait tant bien que mal de leur donner ce dont ils avaient besoin. Alors, elle ne manquait pas d’ingéniosité pour les nourrir …
La nuit tombée elle partait avec mon père, alors âgé de 8 ans, arracher ce qu’ils appelaient « torgos de urze » des buissons de bruyère, que ma grand-mère faisait bruler afin d’obtenir du charbon. Elle revenait plus tard avec mon père et sa sœur ainée afin de remplir des sacs du jute qu’elle chargeait sur des ânes que des personnes du village lui prêtaient. Puis vers quatre heures du matin, ils prenaient la route vers la ville de Chaves. Ils arrivaient généralement vers 10 heures, fatigués, mais à peine arrivés ils se mettaient à alpaguer les clients : « qui veut du charbon ». Une fois tous les sacs de charbon vendus, ils repartaient vers Agrela , Torre, Couto pour acheter du vin.
De retour au village, ma grand-mère aidée de ses enfants, remplissait des tonneaux de vin, et durant la journée sa maison se transformait en taverne illégale. Des femmes et des hommes venaient boire leur verre, et échangeait un litre de vin contre un sac de pommes de terres ou autres denrées, ce qui permettait à ma grand-mère de nourrir ses enfants.
Bien qu’ayant peu de moyen, elle ne manquait pas de donner à manger à ceux qui en avait besoin. La porte de chez elle était toujours ouverte. La générosité et la convivialité allaient de pair dans cette petite maison.
Elle était peut-être illettrée Grand-mère Barina, mais alors, qu'elle femme d’affaires.
La "Ribeira" quartier touristique de Porto face au Pont Eiffel, plusieurs parcelles de jardins ont été mis à la disposition de la population Agenda 21 oblige, le projet "Horta a Porta" compte des dizaines de jardins dans Porto . C'est une façon d'occuper son temps de retraite, faire des légumes pour la consommation quotidienne une façon de pallier à la crise économique.
Auparavant, le trousseau d'une mariée devait contenir des draps de "renda" dentelle. À Alverca da Beira (Pinhel- Portugal), les draps avaient une particularité : ils étaient faits en " renda de nó "dentelle à nœud. ... On dit également que le trousseau de la Reine Amelia avait été confectionné dans le vieux village Alverca da Beira !
"Ce projet Certifié par l’APOMA - l’Association des Producteurs de « Ovos Moles » d’Aveiro promet de vous ravir avec les meilleures Confiseries Conventuelles du monde. La Maison à l’honneur de recevoir et d’offrir à ces clients des pâtisseries de plus de 500 ans et qui ont été les premières à recevoir l’appellation IPG (Indication Géographique Protégée). Ici, dévots et curieux peuvent déguster des pâtisseries divines, celles de Aveiro et autres pâtisseries traditionnelles : pão-de-ló, queijadas, pastéis... ai! Et comme ces sucreries finissent par donner soif, vous pourrez y déguster de délicieux thés, liqueurs et vins. Les plats Bordallo Pinheiro que vous voyez sur les étagères ne sont pas seulement des pièces décoratives, cette vaisselle est à vendre, ce qui donne encore plus une touche traditionnelle et portugaise à cet espace.
O Meio e a Gente é um projecto cultural independente e com orçamento zero. O objectivo é imortalizar a relação da Gente com o Meio e do Meio com a Gente. A principal área de trabalho é a Beira Serra.
Fugindo de um destino sem futuro, na década de 60 milhares de portugueses abandonaram o país em busca de uma vida melhor, num salto para o desconhecido em que muitos arriscaram a sua própria vida, deixando para trás as aldeias e as famílias. "Fugir ao destino" é o primeiro capítulo de “A Grande Debandada”, um documentário que faz um retrato da emigração portuguesa no último meio século. Disponível na íntegra em: rr.sapo.pt/a-grande-debandada/
Textos de Mário João Alves - Ilustrações de Madalena Matoso, ed. MPMP, 2013
CD com música de Dom Diniz, Duarte Lobo, P. G. Avondano, Carlos Seixas, Niccolò Piccinni, F. A. d’Almeida, Marcos Portugal, Domingos Bomtempo, Guilherme Daddi, Alfredo Keil, Vianna da Motta, Luiz de Freitas Branco, Ruy Coelho, Frederico de Freitas, Joly Braga Santos, Fernando Lopes-Graça, Jorge Peixinho, Constança Capdeville…
LAVADEIRA - Mulher que lava a roupa caseira, sua ou alheia, em tanques, poços, rios, lavadouros. No princípio do século, eram muito frequentes as lavadeiras, que vinham a Lisboa buscar e trazer a roupa às freguesas; eram geralmente de Caneças e Loures e andavam com grandes trouxas à cabeça; tratavam-nas por saloias e vinham em grandes galeras, por exemplo até à Estalagem dos Camilos, na Rua do Amparo. Daí seguiam a pé para diferentes casas. A roupa distinguia-se por marcas que cada possuidora lhe punha : ou as iniciais ou as pequenas estrelas, flores, ilhós, bolas a cheio, etc.
A roupa pode ser lavada sem barrela ou com barrela.
Le chocolat belge, la bière allemande et la paella de Valence font partie du top 10 des meilleures saveurs locales d'Europe. Et, selon le site The Culture Trip, il y a un plat portugais qui mérite cette distinction : La "francesinha" de Porto.
Dans ce top rempli de douceurs et de haute gastronomique, le site anglais offre un accueil chaleureux à la saveur particulière de ce sandwich de viandes inventé à Porto, avec ses couches de fromage fondu, steak, saucisses fraîches et autres saucissons. «C'est un repas copieux aux proportions épiques, servi avec une généreuse quantité de frites, trempées dans une sauce unique", écrivent-ils.
Querendo há muito tempo visitar a feira do Fumeiro de Vinhais, aproveitei o fim-de-semana do 7 de Fevereiro para ir là. Nesse mesmo sábado, ao passear na vila, com um lindo sol, junto da rotunda do “maior assador de castanhas do mundo”, chego à dita feira. O recinto tem vários pavilhões: o artesanato, o espaço gourmet (vários licores, pães de sabores diferentes, natas de castanha ou amêndoas…), restaurantes onde se podem provar os melhores pratos tradicionais da região (fumeiro, javali, butelo com casulas…), uma exposição de porcos da raça bisara.
No pavilhão principal encontram-se reunidos alguns dos melhores fabricantes de fumeiro da região de Vinhais. Ao entrar neste sítio, veio de imediato um cheirinho especial que sabe mesmo ao bom fumeiro da nossa vila e descobri uma grande diversidade de chouriças, salpicões alheiras…
A Feira do Fumeiro é também sinónimo de animações, entre as quais um concerto com o famoso grupo GNR no sábado à noite. No domingo à tarde, na praça de touros de Vinhais, realizaram-se vários espectáculos: demonstração equestre acompanhada pela actuação de uma fadista ao vivo, luta de touros, dança flamenca entre um cavalo e uma bailarina.
Foi um fim-de-semana bem agradável passado na “Capital da Feira do Fumeiro”. Aconselho a todos os apreciadores de fumeiro de viajarem até Vinhais onde se encontra sem dúvidas o “melhor fumeiro do mundo”…
Documentário sobre a vida da fadista Argentina Santos. Por se manter tanto tempo no anonimato, é agora reconhecida como uma fadista que se mantém fiel à tradição e é vista como exemplo no futuro do fado.
A sua sonoridade, o repertório, a estética do instrumento... Quando comecei a estudar violoncelo já tocava piano há 6 anos e embora gostasse muito, quando a oportunidade de ir para a Escola Profissional da Covilhã, na sua abertura em 1992, eu tive que escolher um instrumento de orquestra e optei pelo violoncelo. E ainda bem! Tenho uma paixão muito grande pelo instrumento, adoro tudo o que tenha a ver com lutheria, cordas, arcos, resinas... Aliás, para mim, o mundo dos instrumentos de corda excede a música, o instrumento mesmo quando não está a ser tocado pode ser explorado artisticamente a vários níveis. O repertório de violoncelo, por outro lado, e o seu timbre, acabam por tocar-me como nenhum outro tipo de sonoridade.
Vous trouverez des pâtisseries portugaises fort alléchantes dans l'une des pâtisseries les plus anciennes de Lisbonne, logée dans un bâtiment élégant avec un décor classique. Situé dans la Baixa-Chiado, avec une belle vue sur la Praça da Figueira, c'est l'un des plus anciens et l'un des plus beaux cafés de la ville, où vous pouvez rencontrer les gens du pays - surtout les plus âgés - qui viennent prendre leur petit café, se retrouver et bavarder. Sa décoration de style français du 19ème siècle reste intacte, avec le vieux comptoir en marbre et le plafond en miroir. Au rez-de-chaussée, vous trouverez une pâtisserie animée, et un étage plus haut, il y a des sièges supplémentaires où vous pouvez déjeuner à un prix tout à fait abordable.
PISAL - Programme d’Investigation et de Sauvegarde des Azulejos de Lisbonne, dans l'espace public. Programme mis en place par le Mairie de Lisbonne, la Direction Municipale de la Culture et le Département du Patrimoine Culturel.
Les Azulejos qui «habillent» les façades, les murs et les ponts de Lisbonne sont les créateurs naturels d'une image et d’une lumière qui identifient la ville et la rendent UNIQUE. Ces styles multiples, que nous pouvons facilement apprécier d’un simple regard, constituent un album de la mémoire patrimoniale et un héritage historique d’exception. PISAL souhaite divulguer non seulement les azulejos dans l'espace public de Lisbonne, l'affichage de leurs différents modèles, les caractéristiques et les illusions sans fin, mais aussi les créations que les azulejos inspirent ainsi que les activités organisées autour de ce thème. PISAL
Maridos que eram obrigados a deixar as mulheres para trás. Pais que se separavam dos filhos. Histórias de famílias forçadas à distância. Durante anos as cartas foram a única forma de manter em contacto aqueles que se separavam. Hoje, com as novas tecnologias, o corte com aqueles que se deixam para trás não é tão drástico, mas pode ser igualmente dramático. "Vidas separadas" é o sexto de oito capítulos do documentário "A Grande Debandada", que traça uma perspectiva histórica da emigração portuguesa desde os anos 60 até aos dias de hoje.
Num contexto social dominado pelos homens, a mulher varina destacou-se pela liberdade de linguagem e forma de ser, numa sociedade fechada e conservadora. As varinas de Lisboa surgiram em meados do século XIX, vindas sobretudo do distrito de Aveiro, de concelhos como Murtosa, Estarreja e Ovar, terra de onde lhe vem o nome.
De manhã cedo apregoavam o peixe comprado na lota e percorriam a cidade, vendendo o peixe de porta em porta, de pés descalços e canastra à cabeça. E assim as varinas tornaram-se numa imagem icónica de Lisboa.
Nesta exposição estão patentes relatos de quem cantou pregões pelas ruas de Lisboa, com a canastra do peixe à cabeça.
Data de Início: 31 Janeiro 2015
Data de fim: 24 Maio 2015
Museu de Lisboa - Largo de Santo António da Sé, 22 1200-199 Lisboa
"Originário de Santo Tirso, e que segundo a história terá sido um pasteleiro espanhol contratado pela Pastelaria Moura em 1892 que criou a afamado pastel. É provável que a ligação do nome do bolo à Ordem Religiosa dos Padres Jesuítas possa dever-se ao facto do pasteleiro ter exercido funções de cozinheiro numa comunidade local da mesma em Bilbao no norte de Espanha.
A Pastelaria Moura labora desde então produzindo Jesuítas diariamente e mantendo a mesma qualidade e as técnicas antigas de produção, tendo mesmo registado a patente do mesmo. É um ponto de visita obrigatório para quem passa por Santo Tirso e para quem é apreciador destes bolos."
A l'aube du 25 au 26 Novembre 1967 toute la région de Lisbonne, y compris les municipalités voisines sur les deux rives du Tage, ont été le théâtre de fortes pluies qui ont provoqué des inondations résultant dans plus de 300 morts, des milliers de sans-abri, et de nombreuses maisons détruites .
"Montrez-moi Lisbonne" est film documentaire produit par Rita Sousa Tavares avec la participation de Joana Vasconcelos, Maria de Medeiros, Rodrigo Leão, Carminho, José Avillez, Nicholas Breyner et d'autres de Lisbonne.
Le Film présente la capitale portugaise par treize "lisboetas" de naissance ou d’adoption, abordant des thèmes divers tels que de définir ce qu'est «être lisboeta", la lumière, le Tage, la cuisine, les sons, l'histoire, les mélanges ethniques, le fado ou les façades de la ville.
Coordonné par Rita Sousa Tavares, avec des textes de l'auteur et autres journalistes et écrivains. La photographie principale est signé par le célèbre photographe João Pina, résidant à Buenos Aires.
Homenagem ao mais típico dos peixes portugueses e a todo o seu universo, “Sardinha” é um livro da Limão Edições vendido somente em espaços públicos e quase sempre ao ar livre, não sendo possível comprá-lo no circuito livreiro – apenas na rua e na web.
E essa história é contada no livro Sardinha, da Limão Edições. O livro contém 64 páginas com textos em inglês e português escritos por Ricardo J. Rodrigues e fotos de Luís Silva Campos e Pedro Loureiro. O design fica por conta de Luís Alegre.
NELSON GOMES TEIXEIRA Grand artiste lusophone qui expose à Lusofolie's du 13 février au 21 mars : "Empreinte du cap" dont le vernissage aura lieu le 12 février à 19h00.
Ce peintre cap verdien m’a intriguée lors d’un salon sur le jeune art contemporain. Ses pastels aux couleurs vives...ses traits affirmés, ses corps en perpétuel mouvement…danse ou combat ?…ses masques et corps africains étaient superbes, empreints d’un magnétisme charnel. Ce qui m’avait le plus gênée, c’était la présence de l’artiste à côté des œuvres, j’avais envie de me plonger dans son œuvre sans avoir à réagir en public…comme quand l’on regarde de petites photos osées…seule. Attention, loin de moi l’idée que les tableaux de cet artiste sont obscènes mais ils ont une dose de provocation tout de même…ils nous interrogent sur notre condition humaine.
Oui. Dans le sens où le dit André Malraux, « Le chemin le plus court de l’homme à l’homme, c’est la culture », l’art. L’autre et moi-même avons-nous si peur d’être heureux, de pouvoir être vulnérable sans préjugés de faiblesse…J’essaie de donner en allant au fond de mon puits. J’espère qu’au fond, ce n’est pas destructif. Mais qu’il puisse me sauver avec les hommes. Là, je ne me sens pas seul. Je suis heureux. »
Conceição Ferreira est l'auteur de Art Photographie travail "Porto est ...», récompensé et présenté dans plusieurs collections privées au Portugal, Suisse, Autriche, Allemagne, République Tchèque, Canada et autres. Le travail photographique de l'auteur est un reflet de sa passion pour les histoires et les lieux, donnant la primauté à l'expression des sentiments par rapport à la description objective de la réalité. Avec plusieurs expositions réalisées en Suisse, le travail "Porto est ..." a été reconnue internationalement.
Ils confectionnent l'une des plus belles poteries artisanales au monde. Leurs poteries sont des reproductions de faïence portugaise du XIXe et XXe siècles.
"A Oficina da Formiga nasceu em 1992 com a cobertura da eira da nossa casa gandaresa de 1915, em Ílhavo, e a instalação do forno e das bancadas de pintura manual.
Fruto da influência de mestres e técnicos, da experimentação artesanal, da experiência na direcção industrial e também como formador no sector cerâmico, demos continuidade à reprodução dos motivos e das cores ainda registadas na nossa memória, mas que há muito desapareceram dos nossos ambientes familiares.
Os nossos clientes e amigos voltaram a colocar nas mesas do dia-a-dia, ou em ocasiões de festa, a travessa com o bacalhau, batatas e couves, o prato com as rabanadas, aletria ou arroz doce, a taça com a salada de alface, a tijela com a marmelada, ou utilizando-as simplesmente como peças decorativas.
As peças da Oficina da Formiga são reproduções fieis dos formatos e motivos de louça utilitária, fabricadas na segunda metade do século XIX e primeira metade do século XX provenientes de diversas unidades industriais nacionais que já encerraram, nomeadamente de Aveiro, Coimbra, Lisboa, Sacavém, Caldas da Rainha e Gaia.
São objectos utilitários que dão resposta às necessidades quotidianas (louça para alimentos e refeições), mas, na sua utilização, podemos voltar a capturar as memórias maravilhosas das olarias populares.
Algumas peças são carregadas de simbolismo – como é o caso do prato da abundância – e são pedaços da história popular que não queremos deixar perder.
Os motivos são baseados nos elementos naturais e tradicionais, peixes, aves, flores e folclore, rebuscados em casas particulares, antiquários, feiras de velharias, livros e museus. As formas são, principalmente, os pratos, travessas, jarras e bacias. Os processos de conformação, pintura e vidragem são manuais, com as mesmas técnicas usadas desde o século XIX."
Semente - Tema composto por Ricardo Silva (Guitarra Portuguesa) e João Silva (Guitarra Clássica). Tema de abertura do álbum Semente, do guitarrista Ricardo Silva
"No universo dos livros infantis do meu tempo de criança, e de certamente de gerações anteriores e posteriores, a editora Majora tem um lugar especial, diria mesmo de primazia. Foram várias as colecçoes que marcaram de forma indelével o reino da imaginação e fantasia infantis nomeadamente com as chamadas histórias ou contos de fadas, a que acedia através da biblioteca itinerante da Gulbenkian.
As histórias, são os resumos, adaptados por João Sereno, de conhecidos contos, predominantemente de origem tradicional e de Andersen , mas também dos Irmãos Grimm e Oscar Wilde, Perrault, Swift e do próprio adaptador.
A tarefa de adaptação, essencialmente redução dos originais, não terá sido fácil mas de um modo geral as historinhas condensam muito bem as versões originais."
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