A procissão de São João passa pelo Museu da Imagem. Dantes, a procissão passava pelo estúdio do fotógrafo. É o que conta a exposição ANJINHOS DA PROCISSÃO : o São João na Photographia Alliança [1910-1965], com retratos dos meninos e meninas que entraram na procissão de São João – e que passaram na Fotografia Aliança para tirar o retrato.
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 22:12 dans Culture, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 21:50 dans Découvrir Tras-os-Montes, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 21:46 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
(3) Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 21:44 dans Découverte_, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 21:30 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Le Couvent des Capucins, de Santa Cruz ou Cortiça, fut construit en 1560 par Álvaro de Castro, pour accomplir une promesse de son père, le vice-roi d’Inde João de Castro.
Rédigé à 21:27 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"Ce haut lieu du «romantisme portugais» est une perpétuelle invitation au rêve. Une source d’inspiration. C’est comme si le bonheur pouvait naître chaque jour, engendré dans le secret de la brume de l’aube, à l’heure où les princesses d’hier viennent lire les dernières larmes de Byron, les derniers rêves fous de Fernando II de Saxe Cobourg Gotha (Palais de la Pena, la semaine prochaine), ou tout simplement épier le réveil amoureux des oiseaux qui dès le petit matin chantent et dansent dans le ciel. Un ciel témoin de tant des baisers d’amours secrets dont la mémoire du temps s’embelit chaque jour.
L’amour et le mystère sont partout. Est-ce la folie des êtres ou bien celle de l’amour, qui fait naitre des palais somptueux, pour qu’un regard amoureux se pose sur les hommes et que des lèvres amoureuses viennent déposer sur d’autres lèvres le feu sacré d’un baiser éternel?
Venez plonger dans l’ivresse des rêves. Dans le domaine de Montserrat, il y a un palais où chaque pierre a été posée avec passion, avec le cœur ébloui de ceux qui voient naître leurs rêves pour l’éternité.
C’est Sir Francis Cook, vicomte de Monserrat qui demande, en 1858, à l’architecte James Knowles de faire les plans. Sir Cook confie l’élaboration des jardins au peintre William Stockdale, au botaniste William Nevell et au maître jardinier James Burt.
Aujourd’hui encore, si on se promène dans le domaine, on entend battre le cœur de ceux qui ont caressé chaque morceau de terre, chaque pierre, chaque rêve, pour que l’humanité s’en souvienne longtemps après. Comme un fougueux baiser de jeunesse qui vous brûlerait le coeur pour toujours…" Du bleu dans mes nuages
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 21:17 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 16:51 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 16:45 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
A Lisbonne, voici un musée qui vaut le détour. Bienvenue au Museu do Fado !
« Fado », toile de José Malhoa (1910)
Le fado est à Lisbonne ce que le blues est à La Nouvelle-Orléans : une expression musicale ancrée dans le passé de la ville. Inauguré en 1998 dans le quartier de l’Alfama, le Musée du fado de Lisbonne rend un très bel hommage au genre – désormais inscrit auPatrimoine mondial de l’Unesco – et à ses instruments.
Les instruments du fado sont la viola (guitare espagnole classique), pour la cadence et le ton, et la guitarra, sorte de mandoline à 12 cordes jumelées, qui sert aux arpèges et aux accompagnements.
Le Musée du fado de Lisbonne présente l’influence culturelle et sociale du fado depuis ses origines, à son utilisation dans le cinéma de censure au 20e siècle.
Grâce aux moyens audiovisuels déployés et au riche fond documentaire du musée, on explore l’histoire et l’atmosphère qui accompagnent le fado, ses interprètes et ses musiciens. Le parcours pédagogique est réussi. Et, résultat des courses, le Musée du fado est un musée pas barbant du tout.
Une visite incontournable pour qui veut découvrir les origines et l’évolution de cette authentique mélodie lisboète. Idéale au lendemain d’une soirée de fado émoticône wink.
A voir aussi : la librairie-boutique du musée qui propose un large choix de disques et d’ouvrages, ainsi que de nombreux souvenirs originaux (bijoux fantaisie, gravures, cartes postales, etc.).
Largo do Chafariz de Dentro, 1. Métro : Santa Apolonia. Tram 28.
Fermé le lundi. Réductions avec la Lisboa Card.
http://detoursdumonde-blog.com/
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 16:18 dans FADOS, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"Em Belas existe um doce que se tornou famoso muito rapidamente! Ou seja, não é um daqueles casos em que não sabemos a origem, quando ou mesmo quem inventou! Os fofos de Belas são uma receita caseira de uma pasteleira que um dia, decidiu rechear o tradicional pão-de-ló com um creme. E que bem resultou! Essa pasteleira era a mãe de Liberdade Fonseca que hoje continua, com a família, a fazer estas iguarias!
Apesar de não terem atingido a projecção nacional e internacional de outros doces tradicionais, os Fofos de Belas são uma importante referência na riqueza gastronómica de Sintra. Estes bolos, tão loiros como apetitosos, fazem a delicia de quem os descobre conduzindo a Belas muitos dos seus apreciadores.
Estes pequenos pães-de-ló, recheados de creme e polvilhados com açúcar, são confeccionados na famosa Fábrica dos Fofos de Belas, criada há já quatro gerações por uma família que faz questão de manter esta receita inédita. Nasceram por criação da mãe de Liberdade, actual proprietária, que se lembrou de acrescentar um creme ao pão-de-ló, cuja massa também passou a ser um pouco mais pesada. Inicialmente chamados Fartos de Creme, a alteração do nome surgiu naturalmente pelo obvio de serem fofos e confeccionados em Belas. Afinal, é das coisas simples que se fazem, por vezes, verdadeiras iguarias
Agarrados a uma fama legítima e apenas vendidos numa pequena leitaria localizada no cruzamento da estrada nacional com o centro da povoação, para quem não sabe, dificilmente adivinha, pelo aspecto exterior da loja, o verdadeiro “manjar dos deuses” que ali se fabrica. Um balcão antigo de pedra e madeira e três mesas igualmente de pedra constitutem a decoração deste espaço onde nesceram e ainda hoje confecionados e vendidos os tradicionais Fofos de Belas.
No início, há cerca de duzentos anos, naquela casa fabricava-se e vendia-se apenas pão saloio e marmelada. O que é hoje uma leitaria, era outrora uma padaria já, então, muito procurada por abastadas famílias de Lisboa. "
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 15:59 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"L’usine de poterie artistique Bordallo Pinheiro a été fondée en 1884 à Caldas da Rainha, d’abord sous l’appellation “Fábrica de Faianças das Caldas da Rainha”. Cette marque est plus qu’une conception de siècle responsable d’une galerie de pièces en céramique utilitaire et décoratif qui sont devenus une référence dans le monde entier.
"La Fabrique Bordallo Pinheiro de Céramique Artistique a été créé avec l’objectif de revitaliser les arts traditionnelles, les croisant avec la modernité de nombreux styles qui prédisent l’avenir, mais, surtout, avec l’originalité de son créateur, Rafael Bordallo Pinheiro. Ainsi est née la production artistique de pièces qui sont, jusqu’à aujourd’hui, inséparable de notre imagination et de références culturelles à caractère universel.
La Fabrique Bordallo Pinheiro utilise presque toutes les techniques centenaires de reproduction des modèles et continue a récupérer son héritage irremplaçable. À la fois c’est une entreprise innovante qui a le même esprit novateur et qui produise produits contemporaines, développant son prestige dans les nombreux marchés où la marque se trouve.
Bordallo Pinheiro opère à Caldas da Rainha, où la siège de l’entreprise se localise, et a un bureau à Lisbonne." extrait du site http://www.visitcentrodeportugal.com.pt/
Bordallo Pinheiro Rua Rafael Bordallo Pinheiro, nº 53 • Caldas da Rainha
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 15:35 dans Culture, Découverte_, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Horário: Sexta e Sábado das 10:00 às 21:00 - Domingo a Quinta das 10:00 às 19:00
Rédigé à 15:23 dans Découverte_, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"Le Mercado da Ribeira, qui vient de rouvrir ses portes à Lisbonne, va sans doute devenir l'un des meilleurs endroits pour se régaler à petits prix dans la capitale portugaise.
Imaginez un projet un peu fou de réunir en un seul lieu toute la fine fleur de la gastronomie portugaise. Eh bien, c’est chose faite ! On retrouve dans cette somptueuse halle de verre et d’acier de nombreux stands où tous les chefs prodigieux de Lisbonne se sont réunis.
A vous de faire votre choix entre un plat d’Henrique Sa Pessoa, chef de l’Alma, ou Alexandre Silva qui officie habituellement dans Graça chez Bica do Sapato. Plus besoin de courir ! Ils sont tous là, la quarantaine rayonnante, proposant des plats entre 6 et 10 €. Si, si, vous avez bien lu...
Viandes, fruits de mer, charcuterie, fromages, pâtisserie, tout y passe. Les petits s’amuseront de leurs burgers gourmets, les becs sucrés passeront la tête au goûter, et les amateurs de vin s’arracheront les bouteilles sélectionnées. Après, on s’installe sur les grandes tablées, et on déguste tout cela, dans un joyeux brouhaha.
Possible aussi de ramener quelques victuailles et même des livres. C'est déjà l’un de nos endroits préférés à Lisbonne."
Mercado da Ribeira : av.24 de Julho. Jeu-sam 10h-2h, dim-mer 10h-minuit
Guide du Routard du 22-05-2014
Photos de Maria-Yvonne Frutuoso©
Rédigé à 15:12 dans Découverte_, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 15:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 16:37 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Paola Afonso travaille surtout autour du Portugal, sur la région de ses origines (elle est née en France, ses parents sont Portugais du Nord Est du pays, une région appelée Tras-os-Montes), sur Lisbonne, Barcelone (elle a un capès d’espagnol) et Paris (où elle vit), elle aime beaucoup photographier ces trois villes.
En 2010, elle a commencé à rédiger un livre qui réunissait toutes les chansons de son village d’origine au Portugal, des chansons chantées par tous, à n’importe quelle heure du jour et tout au long de l’année.
Ses parents sont tous les deux originaires d’un même village dans le Nord-Est du Portugal, appelé le Tras-os-Montes. L’immigration a fait qu’on ne lui a pas transmis la culture orale dans laquelle ses parents ont pourtant grandi.
Elle a découvert grâce à certaines personnes restées dans mon village combien la poésie et le chant faisaient le quotidien de mes ancêtres. Ils s’inspiraient et vivaient au rythme des mots, inventaient des images poétiques pour vivre.
Une des parties du livre la satisfaisait moins, celle où se trouvaient énumérées une cinquantaine de chansons d’amour, introduites par un simple paragraphe. Elle décidait d’en extraire seize dont les paroles et la musique lui plaisaient le plus. Puis, elle a imaginé une histoire inspirée des chansons dans laquelle chacune d’elles trouverait sa place.
Un livre a commencé à prendre forme.
D’abord, un livre leporello (livre accordéon) uniquement illustré par des linogravures colorées inspirées de souvenirs, de paysages et de formes venues de la grande variété graphique des azulejos, typiques des façades portugaises. Puis, un autre entièrement écrit à la main, contenant les textes des chansons en langue originale et leur traduction, ainsi que les partitions musicales.
un site à découvrir http://paolafonso.com/accueil.html
Rédigé à 16:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
O traje da mulher nazarena é de extrema riqueza, quer pela sua história, quer pela sua harmonia estética. Rico ou pobre, de festa ou de trabalho, o traje feminino da Nazaré ainda é bastante usado no dia a dia desta terra de pescadores, cheia de lendas, mitos e tradições.
As sete saias fazem parte da tradição desta terra tão intimamente ligada ao mar. Diz o povo que representam as sete virtudes, os sete dias da semana, as sete cores do arco-íris, as sete ondas do mar. A sua origem não é de simples explicação, no entanto é conclusiva: as sete saias da mulher da Nazaré estão sempre relacionadas com a vida do mar.
As nazarenas tinham o hábito de esperar os maridos e os filhos da volta da pesca na praia, sentadas no areal, passando aí muitas horas de vigília. Usavam as várias saias para se cobrirem, as de cima para protegerem a cabeça e ombros da maresia e as restantes a tapar as pernas, estando deste modo sempre “compostas”. Dizem os antigos que as mulheres usariam as sete saias para ajudar a contar as ondas do mar (isto porque “o barco só encalhava quando viesse raso, ora as mulheres sabiam que de sete em sete ondas alterosas o mar acalmava; para não se enganarem nas contas elas desfiavam as saias e quando chegavam à última, vinha o raso e o barco encalhava”).
L’habit des femmes de Nazaré est extrêmement riche de par son histoire ou son harmonie esthétique. Riche ou pauvre, pour les fêtes ou le travail, l’habit de la femme Nazaréenne est encore largement utilisé dans la vie quotidienne dans cette terre de pêcheurs, plein de légendes, de mythes et les traditions.
Les sept jupes font partie de la tradition de cette terre si étroitement liée à la mer. Le peuple dit que cela représente les sept vertus, les sept jours de la semaine, les sept couleurs de l'arc-en-ciel, les sept vagues. Les sept jupes de Nazaré sont toujours liées à la vie de la mer.
Les Nazaréennes avaient l'habitude d'attendre les maris et les enfants de retour de la pêche sur la plage, assises sur le sable, et passaient de nombreuses heures à veiller. Elles utilisaient les divers jupons du haut pour se protéger la tête et les épaules de l'air marin et les autres pour couvrir leurs jambes. Les anciens racontent que les vieilles femmes utilisaient les sept jupons pour aider à compter les vagues.
fotos do site http://fashionstatement-mulherescomestilo.blogspot.fr/
Rédigé à 15:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Voz: Carla Lopes
Piano Digital e Programações: Rui Tinoco
Guitarra Acústica: Ricardo Costa
Baixo Acústico: Jorge Ribeiro
Bateria e Percussões: Zagalo
Rédigé à 15:16 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Shut up Claudia fala de sexo num tom irónico e sem tabús. Apesar deste lado mais promíscuo, Shut Up acredita em estórias de amor.
No fundo, acaba por ser um desabafo de alguns acontecimentos reais e ao mesmo tempo, o resultado de uma experiência de vida diluída num imaginário pictórico.
Rédigé à 16:37 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS, illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
« As fortes vagas migratórias registadas a partir dos anos 60, tiveram como consequência um despovoamento muito significativo das aldeias e vilas do interior de Portugal. A partir dessa altura, o modo de vida passou a ser ritmado por um momento de forte afluência registada nos mêses de Agosto e um período de 11 meses de muitas casas fechadas e ruas quase desertas.
Porgressivamente tournou-se cada vez mais difícil de preservar os laços daqueles que partiram, com a terra das origens. Não obstante, estes laços têm-se mantido tanto mais sólidos quanto mais forte se apresenta o caracter genuino da natureza e das tradições que nelas vigoram.
Na raia Sabugalense, a escassos kilómetros de Vilar Formoso, existe uma tradição muito peculiar, que tem fortemente contribuido para a visita anual dos jovens descendentes dos naturais da região : a capeia arraiana. Trata-se de uma manifestação tauromáquica com prática secular que se caracteriza e singulariza das demais formas populares de manifestações tauromáquicas, pelo facto de a lide do touro bravo ser efectuada colectivamente, com o recurso ao Forcão.
Há na capeia três tempos fortes : o encerro, a lide do touro com o forcão e a lide dos jovens a pé (recortes). Alguns resgistos desses momentos , captados pelo fotógrafo Rui Teixeira, que descubriu esta tradição em 2011 :
Mais pormenores em : http://raiar.pt/index.php/fr/capeia »
Por Domingos Ricardo
Rédigé à 22:25 dans Povo portugues, Temoignages, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"O Norte é a nossa verdade. Ao princípio irritava-me que todos os nortenhos tivessem tanto orgulho no Norte, porque me parecia que o orgulho era aleatório. Gostavam do Norte só porque eram do Norte. Assim também eu. Ansiava por encontrar um nortenho que preferisse Coimbra ou o Algarve, da maneira que eu, lisboeta, prefiro o Norte. Afinal, Portugal é um caso muito sério e compete a cada português escolher, de cabeça fria e coração quente, os seus pedaços e pormenores. Depois percebi. Os nortenhos, antes de nascer, já escolheram. Já nascem escolhidos. Não escolhem a terra onde nascem, seja Ponte de Lima ou Amarante, e apesar de as defenderem acerrimamente, põem acima dessas terras a terra maior que é o "O Norte". Defendem o "Norte" em Portugal como os Portugueses haviam de defender Portugal no mundo. Este sacrifício colectivo, em que cada um adia a sua pertença particular - o nome da sua terrinha - para poder pertencer a uma terra maior, é comovente. No Porto, dizem que as pessoas de Viana são melhores do que as do Porto. Em Viana, dizem que as festas de Viana não são tão autênticas como as de Ponte de Lima. Em Ponte de Lima dizem que a vila de Amarante ainda é mais bonita."
Miguel Esteves Cardoso
Située près de l'embouchure du Fleuve Lima, à 65 Kms au nord de Porto et à 50 Kms de la frontière de Valença, Viana do Castelo fut fondée au XIIIè siècle par Afonso III, roi du Portugal, qui lui donna le nom de Viana da Foz do Lima.
La mer a toujours été sa raison d'être : elle vint à avoir 70 navires marchands et, à l'époque des Grandes Découvertes (XVè et XVIè siècles), depuis les chantiers de Viana partaient des navires et des caravelles sur les routes des Indes et des Amériques, et revenaient chargés de sucre, de bois noir, d'ivoire et autres trésors exotiques. João Álvares Fagundes, originaire de Viana fut le pionnier de la navigation à Terre Neuve, sur l'Atlantique nord. Sans le savoir, il allait tracer la voie, au culte de la morue et aux nombreuses façons de la manger au Portugal.
Au milieu du XXè siècle une flotte de morutiers allait être construite aux chantiers de Viana do Castelo pour la pêche à la morue dans les eaux froides des mers du nord. Le tombeau de João Álvares Fagundes se trouve dans la Chapelle de Santo Cristo, à l'intérieur de l'Église Matrice de Viana do Castelo.
Jusqu'au XVIè siècle, le bourg fut exclusivement au peuple, la noblesse ne pouvant pas s'installer ici. En lui ouvrant enfin ses portes, Viana s'enrichit avec les glorieux Palais, les églises et les couvents, les fontaines publiques et autres fontaines qui constituent un héritage patrimonial notable, digne d'une visite. En 1848 la reine D. Maria II éleva Viana au rang de ville et lui donna le nouveau nom de Viana do Castelo. Jolie ville, extravertie et joyeuse, Viana do Castelo a su conserver la richesse de ses traditions de racine populaire.
Les Fêtes de Senhora d´Agonia, l'un des plus beaux pèlerinages du Portugal, sont une explosion de joie à ne pas manquer. VisitPortugal
Photos de Cristina Branco
Rédigé à 09:25 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
A Ana Cláudia poderia ter sido bailarina ou actriz, mas a música falou mais alto e licenciou-se em Jazz pela Escola Superior de Música de Lisboa. Um ano depois de ter integrado a colectânea Novos Talentos Fnac com “O Caminho Dela”, lança o seu disco de estreia "De Outono", pelo selo da NOS Discos.
“Na categoria das coisas mais valiosas, há duas que são cruciais: o tempo e a memória. O tempo é irrecuperável. A memória persiste até ficar.
Mas vamos ao que interessa. A doce voz da Ana Cláudia é o baloiço de madeira em canções de qualidade ímpar com letras de quem não finge sentir. Estamos perante uma monstruosa lição de canto para qualquer um de nós, e com a produção desarmante do Ben Monteiro, ‘De Outono’ aperalta-se para preencher o lugar que há muito o aguardava. Aqui não há margem para discussões sobre gostos ou apreciações. Aqui não é dada sequer a hipótese a uma outra margem. Só há espaço para entrar, despir tudo e contemplar a brilhante atmosfera para onde somos transportados a cada pulsação de avanço, como um rio que transborda todas as memórias que merecem estar à tona.
‘De Outono’ é seguramente o disco pop mais certeiro que uma voz feminina ameaça lançar desde o princípio da década de noventa. Esta é uma entrada a pés juntos no panorama musical português. O que faz falta já não é animar a malta. O que faz falta são os discos únicos. E, em passo calmo, é isso que a vertiginosa Ana acaba de conseguir. Sorrindo, pode esperar de si tudo o que bem quiser ser. O mundo agora já pode fechar. Ouvimos e tombamos de uma pequena árvore como uma folha de Outono que voa, levanta, poisa, levanta, esvoaça, voa, sobe e sobe, torna a poisar. Podem as gentes insensíveis tentar calcá-la mas será para sempre o que foi: a mais bonita folha de Outono a rodar como um pião no coração.”
- Pedro de Tróia
Rédigé à 09:38 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Si vous êtes fan de « bolas de berlim » , la «Casa Bolas de Berlim » a à vous offrir la typique « bola de berlim », mais également revisitée et fourrée à la garniture sucrée de votre choix .
Visitez et découvrez la diversité des saveurs avec lesquelles vous pourrez fourrer votre gâteau préféré : crème d'œuf , crème française , chocolat , orange, citron , pomme et cannelle , mangue , kiwi , fraises et autres...
Rua de S. Victor, n.º 190 a 198
4710-439 Braga
Rédigé à 17:06 dans Découverte_, Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 16:30 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 15:32 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Conçu à l'origine pour célébrer la Reconquête, le couvent des Templiers de Tomar (Convento de Cristo), situé à 50 minutes de Coimbra, est devenu en 1334 le siège de l'ordre des Chevaliers du Christ, et se transforma à l'époque manuéline en un symbole inverse, celui de l'ouverture du Portugal à d'autres civilisations.
Patrimoine Mondial de l'Humanité
World Heritage Site by UNESCO
Photos de Taylor Moor
Rédigé à 15:24 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Ils sont grecs, portugais, italiens, turcs et polonais. Depuis sa première édition en 2010, Chantiers d’Europe révèle des artistes venant de pays européens secoués par l’histoire contemporaine. Consacrée aux découvertes, cette 6e édition continue à soutenir une génération d’artistes, souvent peu représentés en France, en les programmant dans plusieurs lieux de Paris et de sa région.
Les éditions précédentes ont montré l’immense vertu, pour les artistes eux-mêmes, de cette visibilité offerte à Paris. Blitz Theatre Group, 1927, Tânia Carvalho, entre autres, ont ainsi pu profiter de leur participation aux Chantiers d’Europe pour développer des liens et poursuivre leur chemin à travers l’Europe, même le monde.
En 2015, l’art et son partage sont plus que jamais indispensables pour affirmer notre désir d’être ensemble et de construire – autant que de questionner –, par cette force de l’art, un territoire commun à la fois poétique et politique. Réinventer, redessiner notre citoyenneté européenne, partager cet élan avec des Grecs, des Italiens, des Polonais, des Portugais et des Turcs.
À l’occasion du 90e anniversaire de la Cité internationale universitaire de Paris et de son projet de paix, alors que l’Europe fait face à une remise en question de ses valeurs structurelles, Chantiers d’Europe 2015 poursuivra son questionnement : quel est le rôle de l’art et de la culture ? Comment partager et transmettre ce qui nous est commun ? Comment définir l’Europe aujourd’hui ?
Chantiers d’Europe 2015 créera de nouveaux espaces de rencontres, de croisements, d’échanges entre artistes et publics. Discuter l’Europe, c’est mieux comprendre son histoire et analyser son présent pour envisager ensemble un futur.
Plus qu’un festival ou une plate-forme, Chantiers d’Europe est un temps fort. Celui de la rencontre de l’autre, de la confrontation des formes et des idées : un lieu de transmission, un laboratoire où la recherche et l’essai sont les étapes primordiales du devenir.
Avec Chantiers d’Europe 2015, Paris sera au mois de juin, le cœur de l’Europe avec des croisements multiples, ceux des pays, des disciplines artistiques et des lieux.
Emmanuel Demarcy-Mota
THEATRE DE LA VILLE- PROGRAMME
Photos de Estelle Valente
Gisela João en concert au Théatre de la Ville le 11 juin à 20h30
Rédigé à 21:54 dans concerts | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 17:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Les Fêtes de Lisbonne auront lieu du 30 mai au 04 juillet
Site de Nuno Saraiva
Photos extraites du site de http://p3.publico.pt/
Rédigé à 17:13 dans illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Na vida de Graça Bordalo Pinheiro, sempre houve um enorme prazer e uma profunda preocupação. O prazer é a arte, que descobriu na tradição familiar e aprofundou na licenciatura da Escola Superior de Belas Artes de Lisboa. A preocupação são as crianças deficientes e a forma como podem, através da arte, integrar-se melhor no mundo que as rodeia.
Ao longo de toda a sua carreira, Graça Bordalo Pinheiro investigou os melhores métodos para despertar os sentidos em crianças com deficiência visual, paralisia cerebral ou trissomia 21. Tirou o curso do Instituto Aurélio C. Ferreira para trabalhar com alunos deficientes visuais; foi bolseira da Fundação Calouste Gulbenkian e do Swedish Institute; especializou-se em Técnicas de Ensino para Invisuais na Tomtebodaskolan, em Estocolmo e Uppsala; e trabalhou no Ensino Integrado (Divisão do Ensino Especial) do Ministério da Educação. No início dos anos 80, foi responsável pela Oficina de Apoio Didáctico, da direcção dos serviços de Educação de Macau, e fez a adaptação dos programas de Educação Visual para alunos cegos e amblíopes. Organizou vários workshops sobre artes plásticas e crianças deficientes, e deu inúmeras acções de formação para professores e alunos. Trabalhou com o conceituado pedagogo Calvet de Magalhães nas salas de apoio do ensino integrado (pioneiras de um projecto modelo) e como professora de Desenho e Educação Visual. Foi bolseira da secretaria de Estado da Cultura e fez um estágio no Atelier de Arte du Verre e na Soluver S.A., em Leudelange, Luxemburgo. Entre tudo isto, trabalhou no seu atelier, que é, a par das crianças, aquilo que lhe dá verdadeiro prazer. Agora decidiu começar a expor o seu trabalho.
http://www.gracabordalopinheiro.com/home.html
Rédigé à 16:19 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 16:02 dans Découverte_, Musique | Lien permanent | Commentaires (1)
Reblog
(0)
|
| |
|
Exposition ouverte lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 9h à 18h
Samedi et dimanche de 11h à 18h
Fermée les mardis à la Fondation Calouste Gulbenkian
39 bd de La Tour Maubourg, 75007 Paris
*Pélerinage du jubilé du Bom Jesus de Matosinhos, Congonhas do Campo, Minas Gerais, 1950 par Marcel Gautherot
*Dévot de Lemanjá, Rio de Janeiro par Marcel Gautherot
*Escalier de la Galerie Preste Maia, São Paulo, 1947 par Thomaz Farkas
*Indien Kayapó, 1957 par José Medeiros
Ce catalogue présente le remarquable travail de quatre grands photographes brésiliens qui sont parvenus à capter le long cheminement du Brésil vers le modernisme, de 1940 au coup d’État militaire de 1964. Quatre noms paradigmatiques par leur diversité d’origine, de style, d’intérêt et par leur teinte cosmopolite :
Révolutionnant le photoreportage traditionnel, Marcel Gautherot (1910-1996) – parisien d’origine ouvrière et avec une formation en architecture – est à l’origine de nombreux clichés mythiques sur le Brésil. Son travail sur les rituels folkloriques et sur la forêt vierge révèle un équilibre parfait entre l’intrigue narrative et l’impact visuel. Ses photographies des bâtiments d’Oscar Niemeyer de Brasília ont marqué l’apothéose du modernisme brésilien.
José Medeiros (1921-1990) – Brésilien de naissance – est considéré comme le plus grand photojournaliste brésilien des années 1940-50. Ses photoreportages ont capté aussi bien la vie à Rio de Janeiro, sur la plage, pendant le Carnaval, que les événements et les rituels de la haute société carioca. Ils contrastent avec ses photoreportages sur l’Intérieur du Brésil, révélant le culte magique du candomblé et l’intrusion de la technologie dans le monde des Indiens.
Connu pour sa vision austère de la forme, Thomaz Farkas (1924-2011) – Hongrois né à Budapest dans le milieu de commerçants juifs de matériel photographique – a débuté en photographiant le Estádio do Pacaembu à São Paulo. Son oeuvre met en avant la recherche de nouveaux langages visuels. Vers la fin de sa vie, il a réussi à développer un style plus photojournalistique, comme le révèlent les panoramiques pris lors de la construction de la nouvelle capitale, Brasília.
Les photographies industrielles d’Hans Gunter Flieg (1923) – juif allemand de Chemnitz qui a fui le nazisme – dressent un historique de l’industrialisation au Brésil. Intérieurs d’usines, produits industriels, ses images sont des interprétations picturales classiques de la remodélisation du pays à l’ère de la technologie.
Conservées à l’Institut Moreira Salles à Rio de Janeiro, ces photographies mettent en lumière tout un pan de l’histoire contemporaine brésilienne. Exposées précédemment au musée de la photographie de Berlin, elles seront du 5 mai au 26 juillet 2015 à la Fondation Calouste Gulbenkian de Paris. Une exposition des photographies de Marcel Gautherot aura lieu en 2016 à la Maison Européenne de la Photographie.
Aux Editions Chandeigne
Prix : 29,00 €
Rédigé à 15:52 dans Culture, Découverte_, PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 20:02 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 19:16 dans Histoire, Traditions, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 18:47 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 18:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 17:55 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Le Couvent des Carmes (Convento do Carmo en portugais) est situé sur le Largo do Carmo à Lisbonne. Il domine le Rossio près du château Saint-Georges. Le 1er novembre 1755, le tremblement de terre détruisit une grande partie de l'église et du couvent, qui ne fut jamais totalement reconstruit. Le toit de la nef de l'église a disparu pendant le tremblement de terre, et seuls les arcs en ogives transversaux qui le soutenaient sont visibles aujourd'hui. Le choeur dont le toit a résisté au séïsme est aujourd'hui un musée archéologique.
En savoir plus sur A view on Cities
Rédigé à 12:54 dans Culture, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
A Igreja de São Lourenço, em Almancil, é uma obra-prima do Barroco europeu. Um objeto que dá corpo literal à expressão "ouro sobre azul". E, contudo, vista de fora, a igreja de São Lourenço é um edifício banal inscrito numa povoação pouco atraente, Almancil, concelho de Loulé, Algarve.
Rédigé à 12:49 dans Culture, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
"O acordeão diatónico – em Portugal conhecido por concertina – é um instrumento concebido na primeira metade do século XIX, e seguidamente aperfeiçoado por diversos construtores europeus, que ainda hoje ecoa memórias de uma outra forma de habitar o espaço musical: um tempo anterior ao disco, à rádio. Continua, porém, a ser uma máquina de construir sonhos; e, por isso uma máquina de inventar futuros possíveis, de fazer sentidos.
Desde maio de 1989 Artur Fernandes, Filipe Cal, Filipe Ricardo e Francisco Miguel organizaram-se em torno de um sonho: o de desenvolverem as suas aptidões como executantes enquanto investigavam as possibilidades de afastar o instrumento do folclore tradicional, respeitando o que então entendiam como a “vontade da concertina”, mas fazendo para ela uma música nova. Esses tempos conduziram a um nome para o quarteto e ao primeiro disco homónimo, Danças Ocultas (1996), com um repertório onde predominavam as composições de Artur Fernandes."
Rédigé à 12:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Jusqu’au 26 juillet 2015 à la Fondation Calouste Gulbenkian - Paris
José Meideiros, Novice, Salavador, 1951. Peinte de points blancs qui font référence à Oxalá, dieu de la création, elle porte la plume rouge (ekodidé) du rituel d'initiation. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Thomas Farkas, Plage de Copacabana, Rio de Janeiro, 1947. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Marcel Gautherot, Jangadeiro, Aquiraz, État du Ceará, vers 1950. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Comprendre et voir le Brésil. Pas celui d'aujourd'hui, mais le Brésil s'ouvrant à la modernité dès les années 1940. Irrigué par des vagues d'immigrants persécutés venus d'Europe, le Brésil connaît une transformation radicale. C'est ce que montre la Fondation Calouste Gulbenkian à travers l'exposition de quatre photographes aux multiples origines. Que ce soit l'ouvrier français de gauche Marcel Gautherot, le photojournaliste brésilen né dans le Nordeste José Medeiros, le Hongrois Thomaz Farkas et le juif allemand Hans Gunter Flieg, chacun a su capter la mutation de ce pays-continent.
http://www.focus-numerique.com/
http://www.gulbenkian-paris.org/
Rédigé à 11:54 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 11:40 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Rédigé à 11:32 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0)
Reblog
(0)
|
| |
|
Les commentaires récents