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Patrick Juvet "Magic"
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Photo de Maria Perez
Le vendredi 3 décembre à partir de 20h00 au restaurant SuR un R de FloRa est situé 160, boulevard de charonne 75020 Paris
“Tudo é fado, tudo é vida” “Tout est fado, tout est vie” : une promenade en musique dans l’histoire et le présent du fado portugais.
Les interprètes
Conceição Guadalupe est entrée dans le monde du fado en gagnant un concours à Paris voici dix ans. Voici ce qu’en dit João Silveirinho, par ailleurs polémiste redouté : « J’ai entendu Conceição Guadalupe pour la première fois peu de temps après son succès à un concours de fado qui marquait ses débuts artistiques, alors qu’elle animait chaque semaine les soirées de fado du restaurant Le Parc. C’était à l’aube de ce siècle. Ce fut, et c’est toujours, un bien joli cadeau reçu par le monde du fado. Une sensualité qui manquait, peut-être depuis l’époque, voici plus de soixante ans, de la grande fadiste et théâtreuse Herminia Silva. Une voix et un style sortis de sa nature, sans références à qui que ce soit de connu. Une présence captivante, fondée sur une totale implication dans ce qu’elle exprime. Conceição ne « fait pas le job », comme on dit : elle se livre et se met en jeu à chaque fois ».
Jose Rodrigues accompagne regulierement les fadistes de la region parisienne, dans la plupart des lieux de fado franciliens. C est l un des meilleurs specilaistes de la gitare portugaise mais aussi un musicien accompli dans d autres reperoires en tant que clarinettiste. Accompagnateur attentif, il sait mettre en valeur, avec modestie et surete, les inflexions des interpretes.
Casimiro Silva est un pilier du monde parisien du fado depuis 25 ans. Dans le fado, la guitare classique (la « viola ») assure le soubassement rythmique des chansons. Casimiro tient impeccablement ce rôle. Il est aussi un chanteur de talent, tant dans les ballades que dans les fados les plus traditionnels. Bon compagnon qui plus est, il est unanimement appréciéet respectés par ses pairs et dans le cercle des amateurs de fado.
Militant politique, ancien élu parisien, universitaire, Jean-Luc Gonneau, comme son nom l’indique n’est pas portugais. Il fait partie de la petite phalange de non lusophones qui aiment le fado au point de le chanter. L’hebdomadaire Lusojornal a pu le qualifier d’ « intellectuel du fado ». Il avoue ne pas savoir si c’est un compliment. Son répertoire allie des grands classiques du fado et des textes peu connus, anciens ou modernes. C’est lui qui jouera le guide dans la promenade historique de ce soir.
Comme il est presque de tradition, il est probable que d’autres interprètes passeront faire un tour. Parmi lesquels la talentueuse Karine Bucher, une autre “française du fado” et, sous réserves, le souriant et subtil Paulo Manuel.
Rédigé à 23:27 dans concerts, FADOS | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"DESCRIÇÃO Belo exemplo de uma canção de segada. Durante a ceifa (segada), homens e mulheres entoavam canções, ao ritmo do trabalho, que se prolongavam por horas. Estas canções eram entoadas por dois grupos que se alternavam nos versos cantados.
Recolhida em Caçarelhos, Vimioso, Trás-os-Montes."Memoria Media
Rédigé à 23:06 dans Découvrir Tras-os-Montes, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 23:03 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 23:00 dans Povo portugues, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Du 20 au 27 novembre, la médiathèque et d’autres structures du quartier Floréal/Saussaie/Courtille vont proposer, dans le cadre d'une Invitation au voyage, de découvrir le Portugal.
La manifestation Invitation au voyage, qui se déroule chaque automne dans le quartier Floréal Saussaie Courtille, se déroule cette année du 20 au 27 novembre et a pour destination le Portugal. Ce choix s’est imposé à la suite d’une forte demande d’habitants du quartier et de l’avis des professionnels et des nombreux partenaires de la manifestation.
Organisée par la médiathèque Gulliver, la maison de quartier Floréal, les directions municipales de la jeunesse et de la culture, le collège La Courtille et plusieurs associations (dont Radio Déclic, Les Mots à la bouche ou encore Partenaires pour la ville), cette invitation à découvrir le Portugal se décline à travers plusieurs initiatives.
Magnifique exposition de photographies
Parmi celles-ci, une magnifique exposition de photographies est installée dans la salle d’animation de la bibliothèque Gulliver du 20 novembre au 31 décembre. Ces photos, en noir et blanc, sont l’œuvre de Gérald Bloncourt et ont été prises dans les années 1960 et 1970 dans la banlieue parisienne et au Portugal.
Pour une vie meilleure, c’est le nom de l’expo, est constituée de tirages grands formats tirés de l’ouvrage éponyme publié à l’occasion de l’exposition présentée en 2008 au Museu Colecção Berardo à Lisbonne.
Né en Haïti en 1926, Gérald Bloncourt, devenu photographe après avoir été exilé de son pays par la dictature en 1946, vit et travaille à Paris.
Il découvre les bidonvilles de la région parisienne
C’est là qu’il découvre les bidonvilles de la région parisienne et qu’il a l’idée de montrer la vie de ces immigrés portugais, venus pour reconstruire la France après la guerre. Il se rend également au Portugal, sous la dictature de Salazar et lors de la Révolution des œillets en 1974, et s’attache à montrer ce peuple qui lutte, « pour une vie meilleure ».
Ses photos témoignent d’un regard profondément humain et fraternel avec cette population, ici et là-bas, souvent misérable et toujours digne.
Immigrés aux abords d'un bidonville de la région parisienne achetant des matelas d'occasion - 1964
Immigré portugais dans bidonville de la région parisienne - 1967
Portugais immigré lisant un journal de son pays dans un baraquement de chantier du bâtiment en région parisienne - 1967
Immigré portugais dans un bidonville de la région parisienne - 1965
Jour de lessive - Immigrés portugais étendant leur linge. Ils habitent dans ce baraquement de chantier du bâtiment. - Région parisienne - 1970
Immigré portugais traînant son sac de charbon dans la neige en région parisienne - Il rejoint son bidonville - 1964
Rédigé à 22:51 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Margarida GUERREIRO
Rédigé à 22:24 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Por Isaura Nunes
A história de quem gosta de viver mesmo quando nunca pode andar. As aventuras de Isaura quando adquiriu cadeira de rodas.
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Rédigé à 14:41 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En Concert le 17 décembre à 20h
Malgré son jeune âge, Mayra Andrade est déjà considérée comme l'une des voix capverdiennes les plus talentueuses.
Documentaire réalisé au Brésil à l'occasion de l'enregistrement du second album de la chanteuse cap-verdienne Mayra Andrade, "Storia, storia...". Un pur moment de bonheur en attendant son live parisien
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Rédigé à 14:34 dans concerts | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Le jeudi 16 décembre à 18h au Centre Calouste Gulbenkian
Débat et rencontre avec Maria Antónia Pinto de Matos
directrice du Musée national de l'azulejo de Lisbonne
"L'azulejo portugais constitue un lieu de rencontre des cultures et des civilisations qui dépassent non seulement l'espace géographique du Portugal, mais aussi celui de l'Europe, incorporant les nouveautés apportées d'Orient et du Brésil.
Du monde arabe, il a hérité de son nom et de ses formes géométriques, jeux rythmiques de l'esthétique islamique venus de Séville dans la première
moitié du XVIe siècle.
Utilisé au Portugal depuis cinq siècles, l'azulejo a notamment conquis la rue dans la seconde moitié du XIXe siècle, en revêtant, dans une production industrialisée, les façades des édifices citadins. Il a ainsi marqué l'identité urbaine des grandes et petites villes du Portugal, phénomène qui, encore une fois, s'est étendu jusqu'au Brésil.
De nos jours, l'azulejo est re-interprété à travers des œuvres d'artistes qui mélangent des univers personnels et continuent de travailler ce matériau céramique, en actualisant continuellement cet art profondément enraciné dans la tradition."
Rédigé à 14:23 dans Culture, DEBAT | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photo de Alfredo Almeida Coelhao Da Cunha
Mardi 30 novembre à 19h au Centre Calouste Gulbenkian à Paris
ancien Président de la République portugaise
Homme d´État portugais et européen, Mário Soares a été depuis toujours l'un des plus ardents avocats du renforcement des liens entre le Portugal et l'Europe. En tant que Premier ministre, il a d'ailleurs été le principal signataire du traité d'adhésion du Portugal à la Communauté européenne en 1985. Dans le cadre du cycle de conférences européennes, il nous transmettra sa conception des relations entre le Portugal et l'Europe.
présenté par
Antonio Coimbra Martins
chercheur, ancien ministre de la Culture du Portugal,
ancien directeur du Centre culturel Calouste Gulbenkian
entrée libre dans la limite des places disponibles
réservation indispensable au 01 53 23 93 93
Rédigé à 14:15 dans DEBAT, société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:59 dans musica classica lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:53 dans Actualité, société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Les paysages urbains sont les thèmes privilégiés de l'imaginaire photographique d'Edgar Martins. Ses images explorent les transformations radicales du territoire, de l'espace naturel et l'aliénation de l'homme dans son environnement.
L'artiste s'approprie les lieux banals et les transforme en espaces oscillant entre le factuel et le fictionnel, entre le concret et le métaphorique. Une cité industrielle, une autoroute déserte, une plage nocturne, une piste d'aéroport ou un horizon urbain se métamorphosent ainsi en scènes abstraites où le temps semble suspendu. Ces images évoquent un vide inquiétant. La vie est absente.
Edgar Martins est actuellement l'un des photographes portugais les plus remarqués et prolifiques, reconnu aussi bien au Portugal qu'à l'étranger. Cette première exposition individuelle dédiée au photographe en France est également la plus grande en date."
Au Centre Calouste Gulbenkian à Paris
du 20 ocotobre au 18 décembre
du lundi au vendredi de 9h00 à 17h30
le samedi de 13h00 à 18h00
Rédigé à 13:15 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 20:43 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Vira dos Malmequeres" por KATIA GUERREIRO
Rédigé à 09:51 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Le 5 octobre 1910, l'avènement de la première République mit fin à quasiment neuf siècles de monarchie au Portugal. Avant le coup d'État militaire de 1926, le pays vit seize années à la fois de troubles et de grande excitation : difficultés à asseoir une République, gestion financière souvent catastrophique, participation à la Grande Guerre, courtes périodes de rébellion, mais également explosion des avant-gardes artistiques et littéraires, émancipation des femmes, modernisation des villes, liberté de la presse. Retour sur cette période d'effervescence que 48 ans de dictature avaient reléguée dans l'oubli.
Débat avec Jean-Noel Jeanneney, ancien ministre, ancien président de la BNF, et Eduardo Lourenço, essayiste, membre du Conseil d'administration de la Fondation Calouste Gulbenkian." LUSO.FR
Le 18 novembre à 18h30
Centre Gulbenkian - 51, avenue d'Iéna, 75116 Paris
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"Interview en français de Vieira DA SILVA et de Arpad SZENES chez eux. Ils parlent de la télé couleur, de la peinture. Divers plans de toiles de VIEIRA DA SILVA."
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Fontainhas, bidonville capverdien de Lisbonne
Thalassa : le magazine de la mer - 17/01/2003
On suit Ana Rita notre porteuse du marché au poisson da Ribeira, à Cais do Sodre, chez elledans son quartier, au bidonville de Fontainhas
Rédigé à 09:30 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Portrait d'un dirigeant de la maison de la jeunesse d'Antony qui s'occupe de transmettre la culture portugaise aux jeunes enfants portugais installés en France. On assiste aux répétitions de danses traditionnelles.(document en portugais)"
Rédigé à 09:26 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Teresa Canelas nasceu em Angola, na cidade de Nova Lisboa (actual Huambo) em 1973, e vive no Porto. Engenheira de profissão, o seu interesse pela Fotografia surgiu em 2005 e desde então tem-se dedicado à variante da lomografia. Nesta especialidade tem desenvolvido trabalhos experimentais de grande criatividade utilizando as máquinas «Holga» e «Diana»."SITE
"Visões et sobreposições III"
"Cidades Lomograficas : Porto (antigo e moderno)"
"Lugares sonhados (quinta do Valado, Douro vinhateiro)"
"Viena Calling (Porto)"
"Viena Calling (Porto)"
Rédigé à 09:10 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Joanna "Amanhã Talvez"
Rédigé à 08:47 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photos de Cristina Afonso
« Sei que acendes labaredas no meu peito que tornam em cinzas as palavras antes que me cheguem aos dedos, ao papel...
Trago à flor dos lábios o teu nome desenhado pelos beijos que ainda guardo, como uma menina pequena guarda meio rebuçado... nas mãos fechadas o toque dos teus dedos.
Por uma vez que o amor é completo, pode afastar-nos o tempo e o espaço, mas levo-te no corpo quando parto.
Leva-me contigo, no sopro do vento os beijos que ainda não te dei, as carícias que ficam presas aos dedos por falta de coragem ou de tempo.
Foge-me a voz, faltam palavras e desvia-se tímido o olhar, não sabes que te envolvo em pensamento no veludo de um abraço. quero crer que assim te posso guardar, num mundo desenhado à medida, dos sonhos e desejos...
Fica comigo nesse mundo desenhado, se nos afasta o mundo verdadeiro. O tempo que me importa? Os momentos preciosos em que te cruzo valem mais do que toda uma vida onde a tua ausência foi procura, busca incerta, solidão sem nome. O teu rosto e o teu nome vieram dar sentido e completar as peças que faltavam ao meu puzzle.
Guarda-me contigo além desses instantes que roubamos ao tempo e ao espaço de uma vida que vivemos sem que seja a nossa.
Tu és quem eu sempre procurei. Amo-te e faltam-me as palvras para te dizer quanto... »
Por Cristina Branco
Rédigé à 16:12 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Rédigé à 15:37 dans concerts | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le 13 novembre à 20h00 au Café de la Danse
« Deolinda est un projet né en 2006 à Lisbonne. Ils nous livrent Canção ao lado (la chanson d'à côté), un premier album irrésistible qui évoque une suite d'histoires et de scénettes de la vie quotidienne lisbonnaise. Sorti fin 2008 au Portugal, cet album est devenu immédiatement un phénomène et a obtenu très rapidement un disque de platine.
Joué en live lors de flamboyants concerts, Canção ao lado, très intrigant concept-album, draine des audiences de trentenaires, mais aussi de grands-parents, de jeunes enfants... Le secret d'une telle popularité réside dans des prestations exubérantes, parfois comiques, des mélodies douces et entraînantes, des guitares doucement mélancoliques, une musique truffée de références émotionnelles au fado et à d'autres traditions musicales moins proéminentes. Les chansons racontent le personnage de Deolinda, toujours expliquées par Ana Bacalhau, la dynamique et charismatique chanteuse qui incarne Deolinda au fil de ses histoires.
Avec son deuxième album, Dois selos e um carimbo, Deolinda affine son style, se laisse aller à quelques embardées samba, sirtaki ou ranchera et trouve l'équilibre parfait entre la tradition portugaise et une forme de pop européenne. » LUSO.FR
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Cette année, à l'occasion des cérémonies du 11 Novembre, un hommage sera rendu aux soldats portugais tombés au champ d'honneur en France durant la première guerre mondiale. Cet hommage a lieu à la mairie du 14e arrondissement de Paris, en présence de l'ambassadeur du Portugal Francisco Seixas da Costa.
Cette initiative, à laquelle Hermano Sanches Ruivo ne doit pas être étranger, le conseiller de Paris étant également conseiller délégué chargé des Anciens Combattants, s'inscrit aussi dans le cadre des commémorations du centenaire de la République portugaise.
Le 11 novembre à 11h30 à la Mairie du 14e - 2, place Ferdinand Brunot - Paris
Rédigé à 15:21 dans Culture, Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"La vie en rose" Grace Jones
Rédigé à 15:15 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 15:08 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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« As pêras passas, também chamadas “presuntinhos” devido à sua forma e cor, costumavam produzir-se na região de Viseu a partir da variedade de pêra São Bartolomeu. Eram um raro mimo doce que adoçava as noites frias junto à lareira, e que, aos pastores, servia de suplemento alimentar.
Nos tempos em que a alimentação seguia o ritmo das estações e o mercado dos bens alimentares era limitado, era essencial preservar o que a terra dava e fazer durar os produtos até à colheita seguinte. A secagem dos frutos insere-se nesta lógica de conservação, permitindo o seu uso nos períodos de maior escassez.
Actualmente, porque há alternativas de fruta fresca todo o ano, a sua secagem perdeu essa funcionalidade, mas o meticuloso processo de criação de uma «passa» confere aos frutos sabores e texturas únicas. Perdidos os quadros culturais que lhe davam sentido, resta às peras passa, à semelhança das famosas poires tapées francesas, tornadas produto gourmet, reinvindicarem o seu lugar em mesas exigentes e constituirem-se como património gastronómico e de saberes que a terra, o clima e os gestos das gentes souberam criar e que é de toda a importância preservar. » MEMORIAMEDIA
Rédigé à 15:04 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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