"Just What I've Always Wanted" by Mari Wilson
"Just What I've Always Wanted" by Mari Wilson
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"Une des grandes romancières portugaises contemporaines
Lídia Jorge est née en 1946 dans Algarve. Son village natal est Boliqueime (entre Albufeira et Faro). Aujourd’hui, elle s’y retire régulièrement pour écrire. Son œuvre romanesque est un peu la mémoire du peuple et de sa terre, en particulier celle du sud du Portugal"
Lire la suite de sa biographie sur BIBLIO MONDE
Découvrez également ICI un portrait de l'auteur (A2 - 17/03/2000) tiré du site de l'INA
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Photo de Gerald Bloncourt (Dans l'usine Renault Billancourt en grève en Mai 1968 . Ce cri qui retentit d'atelier en atelier de cette immense forteresse ouvrière)
"350 000 Portugais vivent en Ile de France. Ce sont les travailleurs émigrés les plus nombreux, en majorité logés individuellement. On les trouve parfois dans des cités de transit, comme à Stains. Reportage.
Conserver son identité culturelle est essentiel pour la communauté portugaise. A la cité de transit de Stains, en Seine Saint Denis, le mercredi matin est consacré à l'apprentissage du portugais. Cette cité existe depuis 1973 et doit disparaître puisque les 96 familles qui y vivent doivent être relogées. Il existe 150 associations portugaises en Ile de France. On veut aussi faire connaître le Portugal. Interview de Serge CAQUANT, animateur de la cité, sur l'intégration des Portugais, pas nécessaire à ses yeux.
Plus de 60% des Portugais en Ile de France sont des ouvriers non qualifiés dont 44 % travaillent dans le bâtiment et l'automobile. Luis PANCHO est arrivé en 1966, il travaille dans une entreprise qui fabrique du mobilier urbain. Contrairement aux Espagnols qui se sont fixés dans le sud, les Portugais sont les plus nombreux autour de Paris.
Le centre culturel portugais, avenue d'Iéna, existe depuis 1965 et a pour vocation de faire connaître la culture portugaise surtout au niveau universitaire. Interview de José PINA MARTINS, directeur du Centre culturel, sur les liens entre les Portugais et la France."
Extrait du site de l'INA
Voir Actualités régionales Ile de France
FR3 - 10/10/1979 ----> cliquez ICI
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Photo de RUI PIRES
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Photo de RUI PIRES
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histoire de virilité et de force...
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La magnifique Julia Fordham "Happy Ever After"
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Montage de photos de Georges DUSSAUD
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De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Trás-os-Montes.
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
Aride, à rides en hiver,... éclatante, transpirante en été.
Il y a 2 grosses saisons, normalement.
On y mange bien.
On y grandit bien.
J'ai fait du "Reino Maravilhoso" (le royaume merveilleux) de Miguel Torga ma terre d'adoption.
Une belle option.
J'aime la chaleur dans les coeurs, la générosité - même dans les lieux les plus modestes.
Ces montagnes aux cimes qui vous hapent, vous téléportent. On arrive en haut, on bombe le torse, et on existe.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
Je le déteste, parce que je l'aime profondément. Viscéralement.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
Ayant vécu là-bas, je dirais plutôt mes vacances ici, ou ailleurs.
Mais de là-bas je garde un vaste et interminable souvenir sucré. Mon enfance (j'y suis encore quelque peu) est des plus joyeuses, avec un contact privilégié avec les gens. J'ai adoré des vacances avec des cousins, lorsqu'on a visité le Portugal dos Pequeninos, par exemple.
J'ai toujours préféré au contact avec les enfants, celui avec les adultes.
C'est peut-être la raison pour laquelle maintenant la tendance s'est inversée...
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Oui, de par mon métier.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
"A salto". La grande épopée. Mais aussi la classe internationale.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu …
Né en France, parti très tôt au Portugal, puis revenu à l'âge de 16 ans... cela permet d'avoir une perspective assez large et parfois un regard un peu plus distant.
Je pense avoir capté l'essence des deux pays, et suis vraiment fier de ce qu'a bâti la génération de mes parents.
Je ne pense pas que de nos jours les jeunes puissent réellement avoir la vraie perception de ce qu'ils ont enduré.
Mes parents sont de cette génération (mon père a débarqué en 64 à Paris) où les hommes ont avec leurs gros bras fait naitre des bâtiments, donné du relief à paname et environs. Italiens et portugais qui connaissent et partagent le même fado (destinée), jusqu'à en oublier le fardeau, pour y trouver le côté dolce vita.
Ad vitam, cet héritage!
Et les mères portugaises, qui ont malgré elles inversé la pyramide familiale portugaise, car ce sont bien souvent elles qui vont avoir le rôle du papa au foyer. Elles qui auront plus de facilité dans l'apprentissage de la langue. Dans le tissage de liens.
Métissage. Intégration. Interaction. Des mots qui font écho plus dans les nouvelles générations qu'avant.
Normal, tout ça évolue.
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Françugais.
Mieux: dans l'ordre, je dirais Portuçais.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Portucalém. Cal. Sal.
La mer, les mères.
Mon père, mon grand-père, mes pairs, mes repères.
Mon frère, fier.
Carpe diem.
Ambiance familière. Hier.
Demain sans doute..
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
Y ayant déjà vécu, je garde un trés bon souvenir du pays, que j'ai pu parcourir à moultes reprises.
De Bragança à Lisboa (merci Xutos), en passant par Porto, Coimbra... le paysible Alentejo et ses grands espaces... faire bronzette sur les plages du sud... prendre l'envol jusqu'à Madère (que je vous conseille vivement), ce pays est bien souvent méconnu des propres "voisins".
Mais il vaut vraiment le détour !
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
Obrigado pelo convite. Volte sempre.
Continuem a (re)descobrir Portugal, e por arrastamento a vasta comunidade lusofona.
Abraço!
Retrouvez Patrick Caseiro et ses complices sur les sites :
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Ana Moura sera en concert à Paris au Théâtre des Abbesses les 21 et 22 novembre 2008
son site http://www.myspace.com/anamourafado
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Le pain "pao centeio" que faisait ma Grand-mère était un délice...
Photo de JOAO CORROLA
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"Avec son marteau-piqueur
Il creuse le sillon de la route de demain
Il y met du cœur
Le soleil et le gel sont écrits sur ses mains
Le Portugais dans son ciré tout rouge
Qui ressemble à un épouvantail
As-tu vu l'étrange laboureur des prairies de béton
Et des champs de rocailles..."
"Le portugais" interprété par Joe Dassin, Chanson de 1971 - Paroles de Pierre Delaloë
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Mulher a lavar a roupa em tanque de pedra
Photo de JOSE CALHEIROS
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Dead or Alive "You spin me round"
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Photo de GERALD BLONCOURT
"Les jeunes déracinés quittaient leurs villages reculés car la situation économique qu'ils auraient pu trouver à Lisbonne ou à Porto était inférieure à l'emploi qu'il pouvait trouver à Paris. Ils se retrouvaient logés dans des conditions particulièrement difficiles alors que le béton de la période des trente glorieuses coulait à flot. Les maçons portuguais habitaient dans des taudis.
Près de 150.000 personnes ont transité durant ces années par le bidonville de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), qui fut la plaque tournante de l'immigration portuguaise.
A la fin des années soixante, le bidonville portuguais de Champigny était peuplé de plusieurs centaines de milliers de personnes. Rasé en 1971, on trouve aujourd'hui à son emplacement un hyper marché Leclerc, une Halle aux chaussures, un entrepôt de Cândido, importateur de produits portuguais en France.
Pour la sociologue Marie-Christine Volovitch-Tavares, "Il n'y avait bien sûr pas d'eau courante, et les rats cohabitaient avec les hommes, au milieu de la boue. Les pauvres hères qui habitaient les baraques étaient sous-payés. Pour le même travail, ils touchaient un salaire bien inférieur à un ouvrier français. Ils n'avaient donc pas les moyens de se loger ailleurs".
Et le pire, c'était la femme et les enfants restés au Portugal, à qui ils n'imaginaient pas faire partager leur vie de crasse. Plus tard, les femmes commencèrent à rejoindre leurs maris, et c'est au milieu des rats et de la souffrance que naquirent les premiers français d'origine portugaise: les lusodescendants" (Portugais à Champigny, le temps des Baraques Ed.Autrement). "
Tiré du site INFO FRANCE 2
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Photo de CARLOS PEDRO
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Photo de CARLOS PEDRO
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Cliff Richard - We Don't Talk Anymore
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De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
Mes parents sont originaires do Minho près de Guimarães.
Cette région est considérée comme le berceau de la nation (A Guimarães on pourra y lire « Aqui nasceu Portugal ») et compte avec le principal centre religieux du pays :Braga.
Outre la richesse en sites historiques et vestiges romains, on y découvre des paysages très verdoyants et montagneux.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
J’adore le Portugal. Au-delà de ses valeurs habituellement reconnues, les paysages, les plages, le soleil, l’accueil, la gastronomie,…c’est le pays de mes origines, celui de la Saudade, du Fado, de la Mer, des Grandes Découvertes,…
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
JOKER : il ne me vient rien de spécial à l’idée.
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Oui. J’ai été scolarisé au Portugal du CM1 à la 4ème. Puis arrivé en France j’ai continué à prendre des cours. Et puis la musique et la lecture m’aident à enrichir mon vocabulaire.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
Mon père est arrivé en France en 1969. Il est donc parti pendant le régime de Salazar dans des conditions que l’on peut imaginer pour cette période. Ma mère est arrivée en 1971.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu …
Ils ont dû faire face à de sacrés challenges : logement, travail, langue, environnement,…
La première génération s’est montrée discrète et travailleuse, je pense qu’ils sont restés fidèles à leurs valeurs. Volontairement ou pas, mes parents abordent assez rarement ce thème.
Les générations qui ont suivi ont souffert/souffrent de moqueries et autres clichés et certains se défendent aujourd’hui en brandissant banderoles et autres gadgets en vert et rouge pour s’affirmer. Je reste convaincu qu’être portugais ça ne se montre pas, ça se sens. (mais ce n’est que mon humble avis J ).
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Je ressens de très fortes attaches à la culture portugaise, le fait que je chante en portugais n’est pas innocent. D’autre part, j’ai fait mes études en France et j’y vis depuis plus de 15 ans, je ne peux donc pas être imperméable à ses valeurs. Je prends ce que chaque culture a de mieux à m’apporter, c’est une richesse merveilleuse. Mais si tu me demandes qui je supporterais lors d’un match France – Portugal, je te répondrais sans hésiter : Le Portugal ;-)
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Au pays de mon enfance, à ma famille, à sa culture et à ses valeurs que je souhaite transmettre à mes enfants.
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
Oui, je garde cette envie bien au chaud. Je trouve que malgré les difficultés économiques, il s’y dégage une qualité de vie plus saine. Chanter là-bas me ferait également très plaisir, et pour finir mes vieux jours, pourquoi pas m’acheter une « Quinta » et l’aménager en maison d’hôte. Avoir une clientèle étrangère avide de découvrir la beauté des terres, de rencontrer « o povo », visiter les petits villages, découvrir la gastronomie régionale,…
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
«Quem conhece Portugal não esquece. »
Beijinhos bem portugueses.
Carlos MAR SON SITE
Rédigé à 20:28 dans Parole aux lusodescendants | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Magnifica Dulce Pontes
Rédigé à 20:20 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 21:57 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 21:42 dans Cinéma, Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photo de SUPERPOP
La "taberna de Tia Teresa" resemblait un peu à cela...
Lorsque j'étais enfant ma tante Teresa possédait l'unique "taberna-merciaria" du village : une taverne qui faisait office de superette.
Dans ce lieu étriqué et sombre, parfumé aux effluves d'alcool, se côtoyaient les habitués, venant boire leur ‘tit canon de rouge et les femmes et enfants qui venaient faire leurs courses.
On y trouvait de tout dans ces "tabernas" : du pain frais, des casseroles, des fournitures scolaires, de la viande congelée, des gâteaux secs, des bas, du riz, des pates, des conserves, de l'huile etc etc
J'aimais beaucoup y aller avec mon père (qui rendait visite à sa soeur), boire un « sumol » et jouer à ce que l'on appelait "as rifas". C'était, comment vous dire, une sorte de jeu de hasard pour les enfants ... certains s'en rappelleront peut-être.
Rédigé à 16:00 dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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"Les matins d'hivers", Gérard Lenorman
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Rédigé à 13:25 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photo de Tales of an LA addict
Ingrédients: |
Préparation:
1 - Faites dessaler la morue, la veille, dans de l'eau.
2 - Faites cuire la morue et les pommes de terre. Puis, réduisez les pommes de terre en purée et, après avoir essoré la morue dans un essuie, retirez soigneusement la peau et les arêtes. A l'aide d'une fourchette, effilez la morue.
3 - Mélangez la morue et les pommes de terre, ajoutez une bonne quantité de persil haché menu, les oignons et les gousses d'ail aussi finement hachés, les oeufs entiers et un peu de jus de citron; poivrez et salez (si nécessaire).
4 - Formez des beignets à l'aide de deux cuillères à soupe.
5 - Faites frire à feu vif.
6 - Accompagnez d'une salade verte assaisonnée à l'huile d'olive et au jus de citron et aussi de arroz de cenouras (riz aux carottes).
Tour de Main: on peut faire les acras des jours avant et les faire congeler; dans ce cas, on les met directement du congélateur dans la friture.
Source: site de DULCE RODRIGUES
Rédigé à 17:43 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Castanheiros caracterizao a paisagem de outono em Tras-os-Montes.
Homems e mulheres dedicam um mês a apanha do fruto. A castanha é um complemento importante da gastronomia Transmontana
Tras-os-Montes é por excelencia a regiao da castanha
Vejam a reportagem sobre a apanha das castanhas AQUI
Photo de Paulo Jorge Amaral Rebelo Pereira
Rédigé à 16:54 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 21:29 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Ah la la cela ne nous rajeunit pas !
Rédigé à 20:00 dans Télévision | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Amigo
Maior que o pensamento
Por essa estrada amigo vem
Por essa estrada amigo vem
Não percas tempo que o vento
É meu amigo também
Não percas tempo que o vento
É meu amigo também
Em terras
Em todas as fronteiras
Seja bem vindo quem vier por bem
Se alguém houver que não queira
Trá-lo contigo também
Aqueles
Aqueles que ficaram
(Em toda a parte todo o mundo tem)
Em sonhos me visitaram
Traz outro amigo também"
Zéca Afonso
Rédigé à 19:49 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Carlos Mar sera en concert acoustique le samedi 25 octore 2008 à l'Orient Express - 12 rue Claude Tillier, Paris 12ème
Découvrez le sur son site CARLOS MAR ainsi que sur MYSPACE
Découvrez quelques extraits
Rédigé à 18:46 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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J'étais Fan de Kim Wild et l'aime encore
YOU CAME (nouvelle version)
Rédigé à 11:39 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Alheira de Vinhais, num Serão Transmontano" foto de Raul Coelho
Rédigé à 11:30 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 11:53 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photo de Vitor Pereira extraite du site CANCELAS
"Sezelhe, junto com Travassos, é a freguesia onde a desertificação mais se sentiu após a construção da barragem de Sezelhe que tem hoje duas pontes que enfeitam a policromia da paisagem nas duas margens. A sua riqueza é a agro-pecuária devido à irrigação dos lameiros.
A barragem, a caça e a pesca e ainda uma nascente sulfurosa ali existente podem constituir um polo de desenvolvimento importante para a freguesia. O Altar da Moura da Serra indica uma tradição de lendas esquecidas" CM MONTALEGRE
Découvrez Sezelhe sur le blog SEZELHE
Rédigé à 11:42 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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photo extraite du site de Dan Inger www.daninger.com
"Dan Inger, alias Daniel dos Santos, est un chanteur guitariste, auteur compositeur né le 3 juillet 1967. Cet inventeur du Lusoblues qui trouve son énergie dans l'émotion et son aspiration au cœur de ses racines lusitaniennes, écume les scènes d'Europe (New Morning, La Cigale...) et les Centres culturels depuis 1988, assure les premières parties d'artistes réputés (Bill Deraime, Little Bob Story, Dulce Matias...)."
Je remercie Dan d’avoir accepté de parler de ses racines lusophones avec simplicité et sincérité à Aldeia de Gralhas.neufblog De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ? Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région... Dan- Mes parents sont de la région centre, pas très loin de Fatima. C'est une région très verte, pins et eucalyptus y sont rois. Nous avons, comme le reste du pays, châteaux et monastères. Aimes-tu le Portugal et pourquoi ? Dan- Bien sûr que j'aime le Portugal ! C'est dans mes veines et mon histoire. Je suis très fière de la grandeur des rêves de nos aïeux Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ? Dan- Mes souvenirs sont très liés à mon grand-père et aux odeurs de son atelier, des jouets de bois qu'il me fabriquait. De la fête paroissiale de Olival, le grand village auquel appartient notre hameau. Je passais pratiquement deux mois la bas. Ma chanson "Casaria" raconte bien, je crois, ma saudade de cette époque. Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ? Dan- Je parle le portugais comme quelqu'un qui a sa vie en France. Je fais en sorte de toujours faire de mieux en mieux. Les disques de Rui Veloso, Paulo Gonzo etc... m'y aident bien ;). Il m'arrive même de reprendre certaines personnes qui ont la conviction de bien le parler. Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ? Et que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu … Dan- Mes deux grands-pères, ainsi que mon père sont venus avec des contrats de travail dans les années soixante. Comme beaucoup, ils ont vécu dans les bidons villes, mais ils sont restés très discrets sur cette époque. Même si les temps étaient durs, les rêves étaient permis Te sens-tu plus français ou portugais ? Dan- Je pense être les deux, mais je suis chez moi là où l'on m'aime Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ? Dan- A la richesse culturelle qu'il nous faut donner à découvrir Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ? Dan- Il est vrai que j'aimerai passer un peu plus de temps au Portugal, pour y chanter, pour y profiter de la vie, mais pour l'instant ma vie est en France... Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ? « Abração e até sempre ! » Pour découvrir Dan Inger www.daninger.com ainsi que sur
Rédigé à 20:46 dans Parole aux lusodescendants | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Anabela "Cidade até ser dia" (classée 10 ème en final de l'Eurovision 1993)
Rédigé à 22:37 dans EUROVISION | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Trás-os-Montes (1975) sera présenté au Festival de Rotterdam et au Festival de Venise. Suit Ana (Venise 1984). Dans ces films, ils évoquent la noblesse des gens de ces villages perdus, leurs traditions, leur beauté dépouillée, granitique, comme celle de la montagne"
Rédigé à 22:10 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'ai eu l'immense plaisir d'assister hier soir à la première du spectacle de Mariza au Cirque d'Hivers.
Elle nous a offert de l’émotion à l’état pur… une voix parfaite et puissante qui vous transporte au cœur de nos racines, là-bas, en terres lusophones.
Ce n’était plus la France entre ces murs mais le Portugal et ses gens, « gente da minha terra ».
Nous avons eu le privilège avec quelques amis de la rencontrer après le concert, ainsi que Tito Paris, chanteur du Cap Vert au timbre de voix si particulier.
Une soirée inoubliable...
Rédigé à 12:24 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Photo extraite du site CANCELAS dont la particularité est de faire découvrir aux internautes les photos de barrières ou grilles du Portugal rural.
Rédigé à 19:59 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Reo Speedwagon "Can't Fight This Feeling"
Rédigé à 19:41 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Sous l'objectif du très talentueux AGOSTINHO CHAVES
Rédigé à 19:40 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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ORTF - 31/08/1973
Rédigé à 21:04 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 09:02 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Photo de PEDRO BECKEN
"Les vins de Porto sont élaborés à Vila Nova de Gaia qui se trouve sur la rive opposée du Douro, juste en face de Porto. Toutes les grandes maisons de porto y ont leur enseigne. Pour le folklore, des bateaux traditionnels (les barcos rabelos , embarcations à fond plat et à voiles carrées) servant autrefois à acheminer les tonneaux depuis les propriétés viticoles, sont amarrés le long du quai" lire la suite sur
INTERNETTES
Découvrez (c'est juste là) "VINHO DO PORTO" chanson de Carlos Paiao
Rédigé à 11:54 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Tracey Ullman "They Don't Know"
Rédigé à 11:23 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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