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« Júlio Pomar est né à Lisbonne en 1926.En 1942, il entre à l’école des Beaux-Arts de Lisbonne, puis à celle de Porto. Pendant ses études, il conçoit des dessins au fusain et marqueur sur papier calque. En 1946 il fait partie d’un mouvement de résistance étudiante contre le régime de Salazar qui lui vaut un séjour de
quatre mois en prison.
Par la suite, Júlio Pomar voyage en Espagne et en Italie où il découvre l’œuvre de Goya et celle des Maîtres de la Renaissance italienne en particulier Uccello et Piero Della Francesca qui marqueront son travail.
En 1963, il s’installe à Paris. Depuis la chute de la dictature portugaise, Júlio Pomar se partage entre la France et le Portugal. Plusieurs rétrospectives, notamment à Lisbonne, à Bruxelles, à Rio et à São Paulo, puis à New York, ont permis à un vaste public de découvrir cet artiste majeur.
« Ses tableaux des années 1940-1950 qui s'inséraient dans un art de protestation socio-politique, ensuite les séries des Tauromachies et des Courses, des Portraits, des Natures mortes, des œuvres érotiques, etc. font de lui un des plus importants peintres portugais du XX° siècle. » (La Différence) »
Tiré du site BIBLIO MONDE
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Maria Emília Rosa conta as peripécias de um amor impossível
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Les UHF font partie des groupes fondateurs du rock portugais qui a émergé au début des années 1980. Batterie forte, paroles incisives, un regard social, politisé, et des chansons d'amour. Auteur de grands succès au Portugal au cours de ces trois dernières décennies, le groupe continue à enregistrer des disques et de se produire sur scène.
Après le fado, la musique populaire brésilienne et le jazz, le Centre Culturel Calouste Gulbenkian présente aujourd'hui, dans le cadre de la Fête de la musique, le rock portugais permettant ainsi aux parisiens de découvrir les tonalités acoustiques d'une musique impressive, urbaine, fondue dans la mélopée d'une poésie portugaise déclamée.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Réservation indispensable au 01 53 23 93 93.
le 21 juin à 18h30
Centre Gulbenkian
51, avenue d'Iéna
75116 Paris
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Rédigé à 18:48 dans EUROVISION | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 09:39 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:31 dans Ti Zefa | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé à 20:43 dans Nouveaux Sons | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En concert le Mercredi 16 juin à la Scène Bastille. Dani est un jeune artiste franco-portugais originaire du 18eme à Paris. Auteur-compositeur-interprète, il entremêle les genres, les rythmes, les langues, fidèle à l’idée qu’en musique, il n’y a pas de frontières entre les peuples. Un son « world » où la guitare portugaise du fado dialogue avec les percussions brésiliennes sur des grooves caribéens. Une voix chaude, des textes poétiques, un mélange savamment orchestré. Une musique avec sa propre identité à découvrir et à faire connaître au plus grand nombre… Dani Selva, sort son premier album « Seconde Génération », c’est sur scène, accompagné de ses 9 musiciens qu’il souhaite fêter l’événement. Alors venez profiter d’Une interprétation à l’énergie propagatrice !
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Rédigé à 14:27 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 10:52 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"é o que ficou... mulher" foto de Carlos Pedro
« Quem canta seu mal espanta, quem chora, seu mal aumenta »
Qui chante, son mal enchante. Qui pleure, son mal augmente.
« A cavalo dado não se olha a dente »
Si on vous donne un cheval, vous ne regardez pas l'état de ses dents
« Para um bom entendedor meia palavra basta »
A bon entendeur, peux de mots suffisent.
« Não é porque uma andorinha morreu que acaba a primavera
Ce n'est pas parce qu'une hirondelle meurt, que le printemps est fini
« Não é porque o passarinho estar na gaiola que o impede de cantar
Ce n'est pas parce que l'oiseau est en cage, que cela l'empêche de chanter
« Escuta os conselhos dos outros e segue os teus »
Écoute les conseils des autres et suit les tiens
Extraits du site http://erada.e-monsite.com/
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PORTUGAL A PÉ (PORTUGAL ON FOOT) - DIÁRIO DE VIAGEM DO JORNALISTA NUNO FERREIRA (EX-EXPRESSO, EX-PÚBLICO) QUE EM FINAL DE FEVEREIRO DE 2008 INICIOU EM SAGRES A TRAVESSIA A PÉ DE PORTUGAL.
Journal de voyage du journaliste Nuno Ferreira qui, partant de la ville de Sagres (sud du Portugal), débute fin février 2008 la traversée du Portugal à pied
Decouvrez le Blog de Nuno Ferreira ICI
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Rédigé à 18:30 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 00:24 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Bonnie Tyler "it's a heartache"
Rédigé à 22:09 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 17:52 dans EUROVISION | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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retrouver ce média sur www.ina.fr
SOIR 3 - 30/07/1985
A CLERMONT-FERRAND, dans l'entreprise MICHELIN, un certain nombre d'ouvriers portugais se préparent à rentrer au PORTUGAL, et ce en bénéficiant de la loi sur l'aide au retour : dans le cas présent une allocation de 150.000 francs.
[Différents plans] Famille portugaise faisant sa valise / Consulat du PORTUGAL. / Portugais dans salle d'attente. Formulaire de demande d'aide au retour. Interview Manuel BARCELOS : reste. Antonio JACOME : "15 millions, c’est pas beaucoup". / Façade banque portugaise. Interview Joao DA SILVA, responsable portugais de banque portugaise
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Recolhas de Pedro Mestre
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Recolhas de Pedro Mestre
Velhos tocadores de Viola Campananiça
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Rédigé à 14:50 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Biografia OSCAR DA SILVA
Rédigé à 14:15 dans musica classica lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Realizou-se no núcleo sede do Ecomuseu de Barroso, em Montalegre, um workshop (é uma reunião de grupos de trabalho interessados em determinado projecto ou actividade para discussão e/ou apresentação prática do referido projecto ou actividade) fotográfico de Georges Dussaud.
FASCÍNIO CONTINUA
Uma troca de saberes e experiências entre o fotógrafo e alguns curiosos que não perderam a ocasião para ouvirem um relato extraordinário de um artista que apareceu no Barroso por acaso mas que desde logo se apaixonou pela terra: «posso dizer que o fascínio por Barroso continua. Pelo carácter rude e autêntico da região. Há mudanças, claro, mas o carácter do barrosão continua muito forte». Georges Dussaud destacou ainda o comunitarismo: «a solidariedade entre as pessoas ainda continua apesar de algumas diferenças com o passado. Por exemplo, a ideia do Ecomuseu de Barroso foi excelente. Faz com que o passado não seja esquecido. Nele podemos ver como a prática comunitária é bem viva numa região única».
MEMÓRIA DO BARROSO
NAS FOTOS
Interrogado sob a forma como caracteriza as fotos sobre o Barroso, o fotógrafo reconhece o alto valor cultural que representam para a região: «olho para as minhas fotos como algo interessante. Ajudam para a criação da memória desta terra. Nelas podemos observar a luminosidade, a arquitectura das casas, entre tantas coisas...». Por fim, Dussaud confessou que as pessoas não ficam indiferentes ao trabalho produzido por um estrangeiro: «penso que o facto de ser estrangeiro, faz com que as pessoas fiquem ainda mais sensíveis. Ficam mesmo emocionadas...são muito carinhosas para comigo».
Texte et Photos de Ricardo Moura
Site de Georges Dussaud http://www.dussaud-g.fr/
Rédigé à 13:47 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Photo de Marcos Marins "Branquinha"
"Matar o bicho" est une expression très connue du peuple portugais qui consiste à avaler le matin à jeun un verre de spiritueux ou eau de vie pour "tuer le ver qui picote dans l'estomac au levé du jour!"... plus l’alcool est fort et plus celui-ci pourra désinfecter et stériliser les muqueuses de l'estomac des bactéries qui se seraient multipliées pendant la nuit!
L’expression existe également en français « boire un coup de gnôle pour tuer le ver »
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Le « pão-de-ló » est un gâteau fait maison dont les ingrédients se battaient à la main. C'était le travail de certaines femmes, aux bras forts et énergiques, qui pendant presque une heure battaient les œufs et le sucre jusqu'à ce qu’ils les transforment en mousse crémeuse et délicate. La tâche était laborieuse et l’entraide indispensable, et ce afin de partager l'effort, mais aussi pour plaisir de créer une nourriture festive, qui venait casser la monotonie et la pauvreté des tables.
Rédigé à 13:01 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Quem é Fernando Moura?
Fernando Gonçalves de Moura, nasceu no lugar do Barracão, concelho de Montalegre,
em 14 de Novembro de 1930, de um lar de 6 irmãos. Fez a quarta classe, para o que teve
de andar de escola em escola, porque nem todas as aldeias tinham professora. Mais tarde
completou o sexto ano no ensino recorrente. Foi quase tudo na vida em que um Barrosão
se pode envolver: Começou como pastor de ovelhas e de cabras. Seguiu-se um período
em que teve de trabalhar ao balcão do comércio do Pai – o Abel Moura – que era a
estação de serviço da época, no cruzamento do Barracão, onde se fazia o transbordo dos
passageiros das camionetas para Braga, Chaves e Montalegre. Entretanto envolveu-se nas
mais diversas modalidades do desporto. Foi ciclista, atirador de malhão, apaixonado (até
hoje) pelas «chegas de bois», caçador, um acérrimo adepto do F. C. do Porto…
Em 1951 prestou serviço militar no Bat. Caç. 1, sendo «impedido» do então capitão
António de Spínola, durante seis meses. Ao fim de 32 meses regressou ao Barracão, onde
arregaça as mangas. Comprou uma camioneta comercial, distribuindo todo o tipo de
produtos regionais: batata, vinho, presunto, hortaliças, enfim, tudo o que a terra dava.
Em 1959 casa com Ana Lima de Moura, de Vila Verde da Raia, professora em várias
escolas de Barroso. Dela teve três filhos: A Cacilda Moura, hoje professora catedrática da
Universidade do Minho, o Fernando Abel e a Dina Paula. Ao filho cedeu a distribuição
do gás e a parte agrícola, mantendo ele a gestão do posto de combustíveis e a
representação de seguros, em que se profissionalizou.
Em 1995 publicou o seu primeiro livro: «Barroso e as chegas de bois», onde relata 167
«chegas». Na Rádio Montalegre mantém, desde há anos, o programa «Espaço Público –
chegas de Bois» de que recentemente a RTP fez uma reportagem, ao vivo, para todo o
espaço onde ela chega. No associativismo tem uma acção notável: social, cultural,
desportiva, recreativa, profissional e até genealógica, uma vez que se lembrou de realizar
anualmente a festa dos «Mouras».
Fundou o Clube de Caça e Pesca, a Associação etnográfica «O Boi do Povo», a
Associativa de Caça do Leiranco etc.
«A Vida de um Barrosão», livro que ora aparece, é o corolário de toda esta vivência que
o honra e honra todos os Barrosões, vivam eles onde viverem.
Rédigé à 11:28 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 11:21 dans Nouveaux Sons | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Du 30 avril au 5 juin 2010
à l’Espace Lusophone "Sur un R de Flora"- 160 BLD DE CHARONNE - 75020
« En s’immergeant dans cette culture, nous sommes continuellement fascinés par les images défilant devant nos yeux. A chaque voyage, je vis l’Inde, la ressens comme si elle était une partie de moi.
La frontière entre l’enchantement et la désillusion est mince. Et l’éblouissement serait sans doute le terme le plus juste. Eblouissantes les couleurs des saris traînant sur le sol. Eblouissants les ciels dorés du désert, qui dégagent une douce atmosphère dans les temples, les rues, sur les dunes souffrant au vent. Eblouissants les éléphants traversant l’autoroute avec nonchalance, les vaches sacrées ruminant du plastique, les sâdhus impassibles dans leurs tunique couleur safran. Eblouissants enfin ces gens, dans les immenses agglomérations, se déplaçant comme des constellations dans le cosmos.
Paradoxalement, le sombre est omniprésent dans la culture indienne. Le noir et le blanc sont profondément ancrés dans la religion. On le constate dans le panthéon avec Krisna, décrit comme bleu sombre ainsi que l’exprime son nom (« noir » en sanskrit), ou le « rouge » du grand Shiva désigne en réalité un teint pâle et la peau claire.
Notre regard est cependant davantage attiré par les couleurs vives, le faste de Bollywood ! On choisi souvent de ne voir que ça. Le blanc et le noir paraissent plus austères, plus pauvres et naturellement plus misérables.
Pourtant, selon Yves St Laurent il n’existait pas un noir, mais des noirs : noir ébène, noir des nuits sans lune, noir divin et immortel de Krishna, noir minéral de l’onyx.
Sans artifice, les photos de l’exposition INDE : Recto Verso dévoilent des regards et des instants, pétris par des cultures ancestrales.
On recherche parfois la sagesse et la force du sacré, la dimension spirituelle du karma, sans savoir que certaines images ne peuvent pas être capturées. Certaines scènes de vie ne nous appartiennent pas : elles échappent à notre regard. »
(Texte de Manuel Gomes)
Rédigé à 14:58 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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de 9 de Maio a 3 de Julho no Ecomuseu de Barroso
Abre ao público este domingo, pelas 16h30, no núcleo sede do Ecomuseu de Barroso, em Montalegre, uma exposição de pintura da autoria do conhecido artista Alfredo Cabeleira. Os trabalhos podem ser observados até ao próximo 3 de Julho.
Uma exposição de pintura intitulada "Identidade Barrosã", de Alfredo Cabeleira, abre portas este domingo à tarde nas instalações do Ecomuseu de Barroso, Montalegre. Um conjunto de telas, expostas até 3 de Julho, que retratam o passado e presente da região barrosã.
Alfredo Cabeleira nasceu em Castelões, aldeia do concelho de Chaves.
Em 1987 inscreve-se no Instituto Parramon, Barcelona, onde frequentou e concluiu um concurso de desenho e pintura.
Posteriormente o seu trabalho transformou-se numa contínua procura de temos rurais. Desde então contam-se entre as diversas manifestações mais de duas centenas de exposições realizadas em vários pontos do país e do estrangeiro.
Em 1994, com o apoio da Câmara Municipal de Montalegre, fundou a “Escola Grafiti de Iniciativa à Pintura”, onde exerce também a docência no âmbito do Desenho Artístico.
Muitas das suas obras fazem parte de colecções particulares.
Em 1996, foi-lhe atribuído o prémio de Pintura Flaviense 96 e o diploma de Mérito Artístico Podium 96.
Em 1999, patrocinado pela Câmara Municipal de Boticas, exerce durante 3 anos um curso básico de desenho e pintura nessa mesma localidade.
É sócio fundador da Associação “Amigos das Artes de Trás-os-Montes e Alto Douro”
É membro da Sociedade Nacional de Belas Artes.
É sócio fundador da Tamagani- Associação de Artistas Plásticos do Alto Tâmega e Val de Monterrei.
Rédigé à 13:29 dans pintura lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Un mardi, une terrasse de café de Ménilmontant...
Un de ces jours où le timide soleil parisien caresse la foule cosmopolite agglutinée, où une douce brise parvient à éclipser le grondement du métro. Un lendemain de concert pour Fernando Cavaco, Sergio Krakowski et Ricardo Herz. Cette (ré)union , c'est ici Paris, Rio, Sao Paulo assises à la même table, le son terriblement urbain de Terça Feira Trio.
Si leur musique puise son intemporalité dans le répertoire du Choro, les trois zigues du Terça Feira Trio se nourrissent à Paris du Jazz, des musiques d’ici ou d’ailleurs et en écument les scènes - et ce, quel que soit le jour de la semaine, au final.
Un cavaquinho sensible et audacieux qui défie les mélopées du violon, sur un canevas percussif soigneusement brodé par les sonnailles du pan deiro. Le public n'a d'autre choix que de se laisser emporter dans ce voyage musical, jusqu'à ce que se révèle, qui sait, l'ineffable.
Le son de Terça Feira Trio se glisse donc dans les interstices des rythmes traditionnels brésiliens et se dévoile dans un métissage actuel. Entre musique populaire et érudite, matisses samba, teintes forró flirtent ici impunément avec le jazz.
Nous vous proposons ici leur lecture de la musique, ce trait d'union transatatlantique, à leur image: moderne, espiègle et virtuose. " extait de http://www.leuropeen.info/
Découvrez Terça Feira Trio sur leur site www.myspace.com/tercafeiratrio
Rédigé à 13:13 dans concerts | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'association France Timor Leste
fête le 8e anniversaire de l'indépendance de l'ancien territoire portugais.
Participeront à cette soirée Frédérique Calendra, maire du 20e arrondissement, Hermano Sanches Ruivo, conseiller de Paris, Carlos Semedo, président de l'association France-Timor Leste, Patrick Chesnet, journaliste et Christine Cabasset, enseignant-chercheur.
Mairie du 20e
Salle des Mariages
6, place Gambetta
75020 Paris
Merci de confirmer votre participation : 06 81 78 76 13
Rédigé à 13:06 dans DEBAT | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 12:49 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Sara Antunes
Licenciou-se em Artes Plásticas – Pintura, pela Faculdade de Belas-Artes da Universidade de Lisboa (FBAUL), em 2006.
Auto-retrato | 2005
técnica mista s/papel
85 x 60,5 cm
S/título | 2005
técnica mista s/tela
27 x 78 cm
assinado no verso
por entre a janela | 2008
(1 de série de 2)
técnica mista s/tela
assinado canto inferior esquerdo
50x50cm
Rédigé à 12:42 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 10:23 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Menina foste. Virgem nascente. Teu condão é sentimento; e Teu coração um dia deste num solene sofrimento.
meu poema p’ra ti componho.
Meu coração Teu Ser exorta,
como se vivesse num sonho.
Teu lema sempre foi amar;
A Virgem teu seio inspirou,
da faculdade de criar.
Gratidão hoje te dou.
Tua virtude é sagrada,
teu Amor é sem limite;
teu segredo é ser amada,
como a paixão o permite.
Teu Ser Divino eu adoro.
Três doces letras teu nome tem,
a contemplá-lo me demoro,
tão nobre és QUERIDA MÃE.
(À minha querida mãe, com Amor
e um abraço do tamanho do mundo.
Horácio Ernesto André – Maio 1991)
Rédigé à 09:56 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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