Campaign of the International Amnistia against the preconception the immigrants in Portugal
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Campaign of the International Amnistia against the preconception the immigrants in Portugal
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Paul Young "Wherever I Lay My Hat"
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Gala de Fados - Cine-Teatro António Lamoso. Sandra Correia canta "Fado Primavera", de David Mourão Ferreia e Pedro Rodrigues, acompanhada à guitarra por Mário Henriques e à viola por Manuel Reis.
Rédigé à 17:15 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 17:00 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Rédigé à 16:56 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 16:52 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'école de Gralhas où j'ai suivi ma "4e classe"... que de jolis souvenirs.
Quelques photos avant qu'elle ne devienne définitivement la Mairie du village, par manque d'enfants scolarisés
Les hivers rudes, le froid, la neige, le ciel bleu et ...le printemps, les parfums...
Nos jeux dans la cour de l'école, "o piao", "o espeto", nos premiers amours...
Le verre de lait chaque matin, la fête des châtaignes, les sculptures en pommes de terre...
Les balloches du dimanche après-midi, ABBA, BONEY M, les pattes-d'ef...
Les disctés, les premiers de la classe, les petits cancres ...
Les copains, les copines... l'amitié.
Merci à Ricardo Moura pour ces quelques clichés
Rédigé à 21:35 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Rédigé à 19:34 dans Ti Zefa | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Peintures de Ricardo Passos
Découvrir ses oeuvres sur ART MAJEUR et sur MATER 2007
Le Centre International Arts Emotions, a le plaisir de vous présenter des oeuvres du peintre portugais Ricardo Passos.
Du 4 au 26/04 (du mercredi au dimanche)
Arts Emotions - 471, route d'Annemasse
74160 Collonges sur Salève
Rédigé à 16:20 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Kate Bush "Wuthering Heights"
Rédigé à 16:18 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Au programme de cette 11° édition : 2 semaines de festival du cinéma brésilien du 29 avril au 12 mai 2009 ! La première semaine, du 29 avril au 5 mai, les films de fiction. La seconde semaine, du 6 au 12 mai, les films documentaires.
L’année 2009 étant celle du cinquantenaire de la naissance de la Bossa Nova, le Festival du Cinéma Brésilien de Paris en profite pour célébrer l’événement. A la programmation documentaire s’ajouteront trois films retraçant l’histoire de la Bossa Nova et ses plus grands représentants : "Coisa mais linda" de Paulo Thiago, "Vinícius" de Miguel Faria et "A Casa de Tom" d’Ana Jobim.
Parmi les invités, des réalisateurs confirmés tels que Walter Lima Jr. ou Domingos de Oliveira et des réalisateurs prometteurs plus jeunes, tel que Matheus Souza. Avec son film "Os Desafinados", Walter Lima Jr. célèbre à sa façon la Bossa Nova en racontant l’aventure de cinq amis qui fondent un groupe de musique et à qui il sera donné de se produire au prestigieux Carnegie Hall de New York. Hors compétition, un outsider à suivre de près : Laís Bodanzky et son "Chega de saudade"."
Extrait du site http://www.cinemaniac.fr/
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Re-édition des Editions Chandeigne
"Le fado, chant de Lisbonne, fait aujourd’hui partie du paysage musical international.
Témoignage d’une culture spécifiquement urbaine, s’il trouve aujourd’hui les conditions pour s’apprécier à grande échelle, grâce à des disques ou des concerts qui permettent à une poignée d’artistes de scène de vivre de leur art, ce chant est aussi, et avant tout, une pratique locale, un chant qu’on interprète de manière spontanée, entre amateurs. Comme toute expression d’origine populaire, les contours du fado semblent flous : on le dit gai et triste, misérable et aristocratique, révolté et conservateur. Il est parfois cérémonieux, parfois provocateur ; il laisse pensif ou invite à la danse. Au hasard des rues de Lisbonne, il s’échappe par éclats d’une taverne d’habitués, il résonne toute la nuit dans une association de quartier ; il s’affiche aussi sur la devanture d’un restaurant cherchant à attirer le touriste. Ses lieux semblent toujours comme retranchés du réel : on chante dans la pénombre, toutes portes closes. On écoute absorbé, accoudé à une table, parfois un peu voûté, laissant à l’imaginaire le soin de compléter les ombres, au rythme de son for intérieur. Les guitares appellent le silence, sorte d’intervalle entre le temps du dehors et ce rêve absent que réinventent les voix. Fadistas et guitarristas, souvent de noir vêtus, s’apprêtent ; les femmes revêtent parfois leur châle sombre.
Dans cet univers où les frontières de la scène s’effacent, on invite l’étranger à s’associer au rituel, en lui rappelant : « N’est pas fadista seulement celui qui chante, mais aussi celui qui sait écouter ».
Mais les gens de fado - ceux qui côtoient le fado au quotidien - défendent l’unité inaltérable de leur chant, soudé par une appréhension particulière des choses de la vie : une « Étrange manière de vivre », qui se perpétue depuis l’apparition du fado, dans le second quart du XIXe siècle."
Le livre est accompagné d’un cd audio d’environ 50 mn d’enregistrements de fado vadio (fado populaire) comme illustration musicale, réalisé en partie en collaboration avec les « Carnets nomades » de Colette Fellous.
Rédigé à 16:01 dans Livres | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 20:32 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Produçao e realizaçao de Claudia Rodrigues, Francisca Veiga e Pedro Gancho
Musica de Chuchurumel
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John Miles "Music"
Rédigé à 13:40 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:30 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Hommage par
Jean-Jacques Lafaye, impresario et écrivain
et Rui Martins Ferreira, essayiste
Projection de photographies d’Amália Rodrigues
et exposition bio-bibliographique
Evocation d’Amália par Line Renaud
“Guitarradas” par Miguel Carvalhinho et Custódio Castelo
LE 20 AVRIL A 18h30
A l'Espace Bibliothèque du Centre Culturel Calouste Gulbenkian à Paris
Rédigé à 13:24 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 19:38 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 10:29 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Recordo-me o delicioso folar da minha avo Julia
Rédigé à 10:25 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
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Magnifica composiçao de Manuel Alegre, interprete Mafalda Arnauth
"Mas não há forma não há verso não há leito
para este fogo amor para este rio.
Como dizer um coração fora do peito?
Meu amor transbordou. E eu sem navio"
Rédigé à 10:23 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:32 dans DEBAT | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:19 dans Ti Zefa | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Suite à la publication du 7ème épisode de "Portugal, um retrato social" Paola nous donne son sentiment et point de vu, que je trouve pertinent et souhaite vous faire partager.
Photo de Bruno Abreu
« Une vidéo intéressante où l'on comprend une fois de plus ce paradoxe portugais, la dureté de la vie d'il n'y a pas si longtemps, un souvenir indélébile, une marque pugnace qui gronde encore au fond de la mémoire, la blessure d'une souffrance, pauvreté et soumission, et l'orgueil de la croissance des 20 dernières années, la fierté de s'en être sorti... Mais le Portugal doit-il s'enorgueillir de ne plus être incompétent ? D'apporter au citoyen le minimum basic (éducation, protection sociale, alimentation, insertion) ? A fleur de peau... Certains entendront peut-être avec ce document que le Portugal est entré dans le 21éme siècle, dans l'Europe et est comparable aux pays incarnant la démocratie, la richesse, la justice, qu'il faut continuer la course... Pourtant, je crois qu’on n’aborde pas les questions de fond et l'on traite les problèmes comme un médecin traite un symptôme sans s'intéresser à la cause, à l'histoire.
Le reportage se termine sur les mots d'un chirurgien qui vente les mérites du service (ouvert jusqu'à 16h... bon y'a des urgences opératoires qu'il évoque sans s'attarder... ne parlons par de l'efficacité, non surtout pas !) mais il va surtout vite parler du mérite au service, arguant qu'il n'y a pas de salaire égal à travail égal (on voit son positionnement), et prônant la méritocratie !
Hé bah on est pas sorti de l'auberge au Portugal !
Ce pays qui m'est si doux contraste tant avec ces relents d'autoritarisme, il y a comme un arrière goût qui m'indispose.
Ce galop en avant se fait dans un esprit hyper consumériste et super matérialiste, pour beaucoup de Portugais.
Quelle dommage de n'avoir pas su s'éduquer à la liberté..."
Rédigé à 21:27 dans DEBAT | Lien permanent | Commentaires (14) | TrackBack (0)
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Je reviens du concert de Mafalda Arnauth, je suis tombée sous le charme de cette merveilleuse artiste, qui m'a touché...
Cette musique m'a remplie d'émotion...
Son site http://www.mafaldarnauth.com/
Un nouvel album "Flor de fado" à découvrir...
Rédigé à 00:26 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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