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"Karam” (edição Cumbancha 2009) é um disco de música tradicional mandinga que irá certamente projectar o nome de KIMI DJABATE em palcos europeus e norte-americanos. O Kimi Djabatéacaba de ver o seu álbum editado pela editora norte-americana Cumbancha, responsável pelo êxito internacional do malogrado Andy Palácio.
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« L’exposition ‘La Petite Fille de l’Immigrée’ (installation, photographies et documents vidéo) conçue par Elsa Pereira est présentée du 5 au 16 septembre, à l’Espace Malraux, à Joué-Lès-Tours (38).
«Au mois de juin de l’année dernière, j’ai rendu visite à ma grand mère. Elle habitait dans un petit patelin à côté de Bourges. Nous parlions ensemble et il m’a sauté aux yeux, pour la première fois, qu’elle ne parlait que portugais. Elle avait oublié le français» écrit Elsa Pereira. «Elle était redevenue portugaise. En une fraction de seconde, j’ai eu peur de la perdre et de ne pas l’avoir connue vraiment. J’ai eu peur de n’avoir jamais connu son histoire». C’est pour cette raison qu’Elsa Pereira a décidé de «lui parler intimement. Je lui ai demandé s’il était possible que je revienne quelques jours chez elle, à l’automne, pour que nous parlions un peu ensemble.
Elle ne m’a pas répondu franchement, mais elle n’était pas contre». Elsa Pereira est revenu au mois d’octobre. «J’ai passé trois jours chez elle, avec elle et elle m’a raconté son voyage, son arrivée en France et la vie difficile au cul des vaches ici dans le Berry. En partant, émue aux larmes, je lui promis de faire un spectacle sur nos deux vies, il s’appellerait ‘La Petite Fille de l’Immigrée’, elle m’a souri perplexe, je suis partie revigorée et heureuse».
La grand-mère d’Elsa Pereira est morte deux mois plus tard, la nuit de Noël. «J’ai appris que je n’avais pas de temps. La fragilité et l’imprévisibilité de la vie m’avaient fait signe» explique la comédienne. «C’est donc avec urgence que j’ai commencé à contacter d’autres grands-mères portugaises venues en France, puis d’autres grands-pères puis ensuite d’autres petits-enfants. Et le projet de ‘La Petite Fille de l’Immigrée’ était né».
Pour pouvoir être libre de se déplacer, partout, tout le temps, pendant un an, Elsa Pereira a choisi d’utiliser le matériel qu’elle avait chez elle: son portable, une petite caméra, un pied de caméra, un micro et son appareil photo.
Cette exposition n'est pas la retranscription d'un travail sociologique mais «une rêverie intime en mémoire de ma grand mère portugaise».
Le spectacle, quand à lui, sera présenté les 23 et 24 février à l’Espace Malraux, à Joué-Lès-Tours. » article extrait du LUSOJORNAL
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Rédigé à 10:10 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Martika "Toy Soldiers"
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Lisboa vu par JORGE ALFAR
un émorme coup de coeur pour ce photographe
Lisboa - Jardim da Estrela
Lisboa - Elevador da Bica
Lisboa - Rossio
Découvrez ses photos sur JORGE ALFAR
Rédigé à 19:39 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Altina Ribeiro est l’auteur du livre « Le Fado pour seul bagage ».Ce premier roman narre son histoire personnelle, son parcours, sa vérité. Ce roman est fragmenté en plusieurs thèmes clés, représentant des faits, des personnages, de A découvrir.
Photo de Tiago B.W. "Estrada de ferro para o nada"
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
Mes parents sont de Trás os Montes. J'y suis née également. C'est une région montagneuse parsemée de petits villages au charme fou, devenus malheureusement déserts.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
J'adore le Portugal. Quand on y va, on le traverse du nord au sud. J'aime les paysages du nord, Trás os Montes et Minho (région très verte où coulent lacs et rivières). J'aime beaucoup Lisboa, son Alfama, son Tejo, ses plages de sable fin. Les Portugais sont très accueillants et se mettent en quatre pour vous rendre service.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
La première année que je suis retournée au Portugal, cinq ans après mon immigration en France, j'avais 14 ans. Lorsque ma soeur et moi quittâmes la maison d'une cousine qui nous avait hébergées pour la nuit pour rejoindre la nôtre, les gens du village étaient si contents de nous voir qu'il nous a fallu plusieurs heures pour parvenir à notre destination. Nous étions l'attraction du village car nous étions les premiers enfants à être partis.
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Je parle, je lis et j'écris portugais, avec toutefois quelques lacunes. J'ai commencé ma scolarité dans mon village et j'ai pris des cours de portugais en France. Je le parle dès que j'en ai l'occasion pour ne pas oublier ma langue maternelle.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
Mon père est arrivé en France en 1963, clandestinement. Ses compagnons de voyage et lui ont fait appel à un passeur. Son voyage, à pied, dans des camions à bestiaux, a duré une semaine.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu …
L'immigration portugaise, un vaste sujet qui demande plus que quelques lignes. C'est d'ailleurs pour cela que j'en ai écrit un livre... Je suis arrivée en France en 1969. Mon père est allé nous chercher ma mère, ma soeur et moi. Notre trajet s'est déroulé en voiture, mais nous devions contourner les frontières à pied.
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Je me sens portugaise malgré ma naturalisation française pour des raisons pratiques.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Le Portugal = soleil, accueil incomparable.
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
J'aimerais vivre au Portugal pour le climat et vivre dans mon pays.
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ? Passei umas férias maravilhosas este ano no meu país.
Merci Altina !
Rédigé à 15:49 dans Parole aux lusodescendants | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 16:11 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"«Slow Time Love» é o novo single dos Portuenses Blind Zero e tem corrido muito nas rádios durante todo o verão. O tema serve de apresentação ao novo disco «Luna Park», que será editado ainda neste mês de Setembro.
O sétimo álbum de originais surge quatro anos após «The Night Before And A New Day». Este ano, a banda liderada por Miguel Guedes, comemora já 15 anos de carreira com este muito prometedor LUNA PARK." ZION
Cá vai a musiquinha... Espero que gostem
Rédigé à 13:28 dans Nouveaux Sons | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Brigitte Virtudes sera en concert le 14 septembre à 20h30 auThéatre Montmartre Galabru
4 rue de l’armée d’orient, Paris, Ile-de-France 75018
Co-récital Maïk Darah / Brigitte Virtudes Deux univers, deux chanteuses, un seul spectacle...
Brigitte Virtudes née au Portugal, a passé son adolescence à Lyon. Le théâtre est sa passion.
Passant par le conservatoire de Lyon puis par la rue Blanche, elle peaufine son apprentissage avec le chant. Doublages, tournages, scènes, concerts classiques, comédies musicales; cette diversité lui permet de continuer avec passion son métier de comédienne et de chanteuse.
Découvrez Brigitte Virtudes et Maïk Darah sur leurs sites
http://www.brigittevirtudes.com/
http://www.myspace.com/luzalma
http://www.myspace.com/maikdarah
Rédigé à 10:58 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 11:28 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"De 3 a 6 de Setembro, pacata aldeia de Vilar de Perdizes volta a encher-se de gente. Congresso de Medicina Popular continua a ser um chamariz turístico passadas que estão mais de duas décadas.
"Feira esotérica, que funciona como ponto de encontro de curiosos, aventureiros, atrevidos, pseudo-intelectuais, arrivistas, mágicos, curandeiros, bruxos, adivinhos e de muitos outros. Os visitantes que acorrem a terras de Vilar de Perdizes por altura do Congresso são às centenas. De entre as atracções é de salientar as conferências e palestras de temática diversa, venda e demonstração de artesanato, sessões terapêuticas, queimada das bruxas e animação de rua. O mentor do evento é o padre Fontes e os apoios à realização são dados pelo Ecomuseu de Barroso - Câmara Municipal de Montalegre."
Foto e texto extractos do site http://www.ecomuseu.org/
Rédigé à 19:51 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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un film documentaire de Noémie Mendelle France
présenté au Festival du Filme de Femmes en 2004
""Solange... com saudades" casse le silence de milliers de femmes portugaises qui ont émigré du Portugal vers la France dans les années 50, 60, 70.
Le film est conduit par des histoires personnelles et des bribes de mémoires, quelques-unes partagées par la réalisatrice. Des mères et des filles témoignent isolément.
Le film établit le dialogue entre deux générations de femmes migrantes qui s'appuie sur la nostalgie du pays et l'exil, le besoin de liberté et de sécurité, la perte de temps et de mémoire."
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"Raizes do meu contentamento" photo de Suzano Magalhaes
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Mon père de Setubal, ma mère de Santarem
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
Moi je sui née dans un petit village près de Santarem dans le Ribatejo, région des taureaux et des beaux chevaux lusitaniens, des corridas, des oliviers et des figuiers. Il y fait assez chaud en été, trop chaud pour moi. C'est une région de rebelles un peu comme moi, sauvage comme les taureaux.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
Oui je l'aime parce que j'y suis née et c'est là que j'ai mes racines. J'y vais tous les ans depuis l'âge de 3 ans, qui est l'âge que j'avais quand je suis arrivée en France.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
Je n'ai pas trop de souvenirs d'enfance, ils sont un peu flous. Mais je me souviens que l'on allait tous les ans à Foz do Arelho ramasser des coques dans une espèce de rivière de la mer puis le soir on cuisinait dans une grande marmite ce qu'on avait réussi à ramasser dans la journée. On faisait la fête tous ensemble. Mais pour aller ramasser les coques il fallait y aller à marée basse et prendre le bateau pour traverser la rivière. C'était de l'autre coté qu'il y en avait le plus. On traversait en barque le matin et le bateau revenait nous chercher plus tard dans la journée avant que la marée monte. Un jour, le propriétaire de la barque nous a oubliés sur l'ile et l'eau commençait à monter bien vite. Les enfants (mes deux cousins, mon frère et moi) ainsi que ma mère, ma tante et ma grand-mère ne savaient pas nager, la panique s'installait au fur et à mesure que l'eau montait. Il a fallu que mon père te mon oncle nage jusqu'à la berge pour appeler le bateau.
Parles-tu Portugais couramment ? Oui
Comment l'as tu appris ? À la maison d'une part, puis j'ai fait des études.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ? Par le train
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu …
Beaucoup de portugais on du quitter le Portugal à cause de la dictature, d'autres parce qu'ils n'avaient pas d'emploi et il fallait nourrir la famille. Certains ont eu la chance de partir légalement cela a été le cas de mes parents, d'autres ont du faire le grand saut pour échapper à la police. Etant arrivée très jeune en France (3 ans) je n'ai jamais eu de problème d'intégration. J'ai commencé l'école primaire à l'âge normal, j'avais des amis. Nous avions une maison correcte, je n'ai donc pas vraiment de chose à raconter sur mon vécu.
Te sens-tu plus français ou portugais ? Les deux en même temps et parfois rien du tout.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ? Au soleil et à la plage
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ? J’y ai déjà vécu pendant 10 ans mais quand on est habitué à vivre en ville et en France, partir à la campagne, c'est toujours difficile les premiers temps, A moins de trouver rapidement un travail qui nous plait et de n'être pas trop loin d'une ville avec commerces divers, activités, distractions, etc.
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
Gosto de Portugal é là que estao as minhas raizes. No entanto penso que a nivel administrativo e a nivel dos médicos ainda ha bastante que fazer.
Eunice Martins a fait des études supérieures de portugais et a travaillé sur les contes de l'auteur Sophia de Mello Breyner Andresen. Elle a toujours adoré les contes et les histoires. Bien souvent, en hiver, son grand-père leur racontait des histoires le soir au coin du feu. Elle pense avoir gardé son âme d'enfant. Récemment elle a commencé la lecture de livres de fantaisie et a eu envie à son tour de tenter le challenge de l’écriture en mélangeant fantaisie, contes et histoires.
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Foi apresentado o livro Prolegómenos II, obra de Bento da Cruz no Auditório Municipal de Montalegre.
"No ano em que o escritor barrosão Bento da Cruz comemora 50 anos de carreira literária, foi lançado Prolegómenos II no auditório municipal de Montalegre. Uma obra que antecede uma outra, a lançar ainda este ano, que fala das Minas da Borralha. Para Fernando Rodrigues, presidente da Câmara Municipal, a melhor homenagem que podemos fazer «ao maior escritor do Barroso de todos os tempos» é ler Bento da Cruz." cm-montalegre
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"Malangatana Valente Ngwenya est sans doute l'artiste le plus renommé - sur le plan international - du Mozambique. De sa nation, il est en tout cas un ambassadeur culturel indiscuté. Né en 1936 au Sud du Mozambique, au village de Matalana, il bénéficia, chose assez rare à l'époque, de l'éducation élementaire par les missionnaires protestants et fréquenta par la suite une école catholique. Cette éducation ne l'éloigna pas de ses racines culturelles : comme tous les garçons Ronga, il fut initié selon les coutumes ancestrales. Il apprit, auprès de sa tante, son oncle et de son grand père, des éléments de médecine traditionnelle. C'est à douze ans qu'il travailla pour la première fois en ville, à Lourenço Marquès (aujourd'hui Maputo), accomplissant divers petits métiers dont celui de "ball boy" au club de tennis. C'est là qu'un membre du club reconnut ses talents artistiques et l'encouragea à étudier l'art, auprès d'un artiste du cercle artistique "Nucleo de arte", João Aires. Il suivit aussi des cours de peinture décorative à l'Ecole industrielle, ayant comme maître le peintre Garizo do Carmo.
Le public eut l'occasion de découvrir ses œuvres lors d'un salon, en 1959, et sa première exposition individuelle eut lieu en 1961. Il avait 25 ans. S'inscrivant dans le courant indigéniste, la publication de ses poèmes dans le journal "Black Orpheu" et dans une "anthologie de la poésie moderne d'Afrique" en 1963 lui valut une notoriété certaine mais il attira aussi l'attention des autorités coloniales. L'année suivante, il fut emprisonné durant 18 mois par la police secrète portugaise qui lui soupçonnait des sympathies pour le Frelimo. En 1971, une bourse de la fondation Gulbakian lui permit d'étudier la gravure et la céramique.
A l'indépendance, il fut chargé de nombreuses œuvres publiques, dont les peintures murales du musée d'Histoire naturelle, du Centre d'Etudes Africaines de l'Université Eduardo Mondlane. Il collabora en outre à l'établissement du Musée national d'art, du Centre d'Etudes culturelles et du Centre pour les arts. Il fut un des fondateurs du "Mouvement mozambicain pour la paix". Son œuvre et son engagement social lui valut de nombreuses distinctions honorifiques tant au Mozambique qu'à l'étranger. Une de ses réalisations les plus intéressantes est l'Association du Centre culturel de Matalana, dont il est actuellement directeur. Cette association est un projet de développement intégré basé sur une formation professionnelle et la création de petites entreprises. Ce projet témoigne d'une approche ethno-anthropologique et écologique intéressante, par notamment, la primauté accordée aux technologies appropriées et à l'aspect culturel et artistique." lire la suite sur AMIGOS DE MOCAMBIQUE
Rédigé à 23:27 dans pintura lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Gérald Bloncourt, expose actuellement au Musée de l'Immigration de Fafe (Portugal) ses clichés de l'immigration portugaise pris en France il y a près de cinquante ans.
"Il nous raconte cette exposition, l'accueil qui lui a été réservé, sa rencontre avec Manoel Oliveira, qui prépare deux films d'un coup et semble bien rire de sa rencontre avec ce gamin de 83 ans, gérald Bloncourt."
"Le reportage ici avec les photos de Manuel Veira et les commentaires débordants de vie et d'humour de gérald Bloncourt que je salue pour l'occasion ainsi que tous ceux qu'il aime." Commentaire de Gérard LAURENT
Rédigé à 18:00 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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leur site http://www.toranjanet.com/
Rédigé à 17:50 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Déouvrez la Bande Annonce ICI
Prologue
" La démarche toute particulière que j’ai entrepris pour ce film, nécessite au préalable, que je présente le contexte qui a donné naissance au projet de réalisation du documentaire Oxalà (expression portugaise signifiant si dieu le veut).
Le besoin de faire un film documentaire retraçant l’arrivée en France d’habitants de Beaubreuil, est né de mon expérience personnelle et de ma rencontre avec différents mondes. La multiplicité des milieux dans lesquels j’ai évolué qu’ils soient sociaux, culturels ou ethniques, m’ont très tôt obligé à me poser des questions de plusieurs ordres, sur ma place dans la société française. Ce sont ces différents paramètres qui guident mon témoignage destiné à mettre en scène les différents protagonistes de l’Histoire, à travers leurs histoires. Pour que l’humanisme transcende l’historique. Pour que la quête spirituelle, en nous dégageant des contingences matérielles, nous réunisse dans un même but de découverte de l’autre. Cela malgré la difficulté qui consiste à représenter la réalité de la diaspora et à mettre en scène son identité.
En France vivent plus de deux millions de personnes d’origine portugaise, soit l’une des plus grandes population d’origine étrangère. Arrivés dans les années soixante pour servir de main d’œuvre lors de l’essor économique, ils ont malgré tout réussi à disparaître dans le tissu social français. Paradoxalement les sociologues désignent cette communauté par une « géographie de l’absence ». En dehors de stéréotypes dégradants on ne sait pas grand chose d’eux."
Merci Gael pour ton invitation. Je serai là pour la projection.
Rédigé à 11:00 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Ana Moura
Rédigé à 10:54 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Grande encenação na aldeia e nos montes de Vilar de Perdizes outrora fonte de histórias, felizes e dramáticas, de contrabando. Ideia cativou muitos curiosos que aplaudiram mais uma iniciativa da Câmara Municipal de Montalegre.
Por Ricardo MOURA do http://www.cm-montalegre.pt
Rédigé à 21:29 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Un espace lusophone à découvrir sans plus attendre...
160, Boulevard Charonne
75020 Paris
01 44 64 96 96
Rédigé à 22:36 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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de Nuno Pires (sous-titres français)
"José et Guiomar n`avaient pas 20 ans lorsqu`ils firent le « grand saut » pour la France, dans les années 1970. Ils ne connaissaient pas un mot de français, mais ils fuyaient la dictature portugaise, à la recherche d`une vie meilleure. Ils n`en oublièrent cependant jamais leur pays, avec l`idée d`y retourner un jour. C`est ce qu`ils firent finalement 30 ans plus tard. Pourquoi à ce moment-là ? Parce que, quelques mois auparavant, leurs deux fils avaient décidé de partir vivre là-bas. José et Guiomar n`avaient donc plus rien pour les retenir en France. A 50 ans, ce n`est pas rien que de changer de vie une autre fois, mais ils se préparent à ce nouveau changement avec autant de courage et autant d`espoir qu`il y a 30 ans. Portrait intimiste, dialogue entre un fils et ses parents, ce documentaire a aussi valeur de témoignage sociologique sur des questions comme celles de l`émigration ou de l`intégration de la communauté portugaise en France."
Rédigé à 22:35 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Exposition de Photos Dates : du 24 juin au 29 septembre 2009 Adresse : Centre culturel Calouste Gulbenkian, 51, avenue d’Iéna, 75016 Paris Accès : métro Etoile, Kléber ou Iéna, bus 30, 31 ou 92 Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 9h00 à 17h30 Renseignements : 01 53 23 93 93, www.gulbenkian-paris.org Entrée libre
Photo de Rita Barros
"Travaillant au sein d’un establishment masculin, les femmes ont dû faire preuve d’énergie et d’ambition hors-normes et prendre plus de risques pour réussir en tant que photographes. L’émergence aprèsguerre d’un pouvoir chauviniste dans les cercles des conservateurs, aux Etats-Unis comme en Europe, n’a pas contribué à améliorer la visibilité des femmes photographes. C’est seulement au cours de la dernière décennie que les femmes atteignent la pleine visibilité – voire une égalité totale – dans la scène photographique.
L’exposition Au féminin tente de contribuer à faire pencher la balance. Il y a déjà eu des expositions et des publications sur des femmes photographes auparavant, mais celle-ci est la première grande exposition entièrement dédiée à la féminité en tant qu’objet et sujet. Non seulement toutes les artistes sont des femmes, mais le thème aussi est la féminité, dans toute sa richesse et sa diversité.
L’exposition rassemble le travail de plus de 100 femmes photographes du monde entier (Australie, Asie, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Afrique, Europe) et couvre l’histoire de la photographie dans tous ses genres, des années 1850 jusqu’à aujourd’hui. Témoignant de sa diversité, les différentes sections de l’exposition explorent des thématiques telles que le portrait, la maternité, le travail, la ville, la figure dans le paysage, le temps libre, la mode et la publicité, le nu, la fiction, les constructions et les métaphores. Mais Au féminin est après tout une exposition d’images photographiques, et non un essai politique sur leurs auteurs."
Communiqué extrait du site GULBENKIAN-PARIS
Rédigé à 20:42 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Eric Carmen "Hungry Eyes"
Rédigé à 20:27 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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photo extraite du site de TELERAMA
A Câmara Municipal de Montalegre inaugurou na Praça do Município, um mural dedicado ao emigrante. Toda a população esteve convidada para assistir a este momento solene.
Rédigé à 20:20 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Foi tornado público, no auditório do Ecomuseu de Barroso - Espaço Padre Fontes, em Montalegre, o livro "Contos do Barroso" de José Dias Baptista. 40 contos de pura tradição rural. Um trabalho, no entender do presidente da Câmara Municipal, que «enaltece a nossa história e a nossa cultura».
© Ilustrações e paginação: Joana Bragança
Rédigé à 20:08 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 19:56 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:52 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Par José Cid
Un grand tube de varitété portugaise qui a déjà quelques années, mais dont tout le monde se rappelle j'en suis certaine
Rédigé à 13:50 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:49 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un film de Maria Pinto
"En France, la réalisatrice filme son père et sa mère, séparément. Ceux-ci témoignent de deux vies en exil, sans projet de retour. Ils monologuent, arpentant un paysage qui semble les engloutir.
Sa voix s'adresse à chacun d'eux pour dire les blessures de l'enfance et les ombres du roman familial. Et tenter d'échapper à ce que l'exil a scellé en destin.
Là-bas, sur les lieux de son enfance portugaise, elle reconstitue les tableaux d'un théâtre imaginaire : des fictions qui s'insèrent dans le film comme des contrepoints oniriques."
Rédigé à 20:06 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Kiki Lima est un artiste capverdien né en 1953, à la fois musicien et peintre. C'est aussi lui qui a « introduit, pour la première fois sans doute au Cap Vert, le principe de l’installation avec une œuvre développée dans l’espace, où entrent en jeu peinture, sculpture et objets réels ».[1]
Dans les années 70, il a émigré au Portugal pour y étudier le droit, mais s'est rendu compte au bout de deux ans qu'il était plutôt attiré par les arts visuels. De nos jours, il vit au Cap-Vert, à Mindelo, sur l'île de Sao Vicente : une île d'où l'on voit des bateaux partir pour faire la traversée de l'Atlantique...
Avec à son actif de très nombreuses expositions individuelles ou participations à des expositions collectives aux quatre coins du monde, il compte parmi les peintres les plus importants de son pays. Par ailleurs, il possède une galerie d'art au Portugal.
En tant que compositeur et chanteur, il a aussi fait deux disques au Portugal : Tchuva et Midj ma Tambor.
Source WIKIDIA
Rédigé à 20:05 dans pintura lusofona | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 20:04 dans Nouveaux Sons | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Mais il y aura encore quelques billets, c'est promis !
"La baigneuse" de Clairemo, une artiste que j'ai eu l'occasion de rencontrer au cours d'expositions et vraiment, j'adore ses créations !
Voir son site CLAIREMO
Rédigé à 20:03 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 12:36 dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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un classique de la musique portugaise interprété par Paulo de Carvalho
Rédigé à 01:00 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Poème de Patrick Caseiro Extrait de son receuil "erealidade"
En fonction des recommandations du fabricant Testons la viscosité de nos sentiments Y'a-t-il des coulures ? Sont-ils rugueux ? Bombons nos torses de bonheur Caramélisons nos sourires moqueurs Nos acryliques pensées Nos émotions, nos émulsions Remplir le godet d'espoir Calculer le temps de vidage Avant l'irrémédiable virage A l'aide d'un filtre ou d'un bas nylon Filtrer, éliminer les impuretés Nettoyage en surface, décapant White spirit désopilant Le pistolet et son godet Le solvant prêt à pulvériser Placer plus haut nos ambitions Ajuster à 3 bars la pression Bien quantifier le chantier Le pistolet à la bonne distance La main hésitante s'élance Régler la valve jaune Puis viser l'hématome Qu'il soit souple, le poignet ! Esquisser une ligne droite Balayer les surfaces Horizontales et inclinées Vaporiser, s'y attarder Nos angles morts, nos encores Losanges aux recoins étranges On soupèse nos torts, nos remords Découvrez d'autres extraits du livre sur son site erealidade
Rédigé à 17:17 dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Victor MARQUES du Groupe JAOARA
Découvrez des extraits de leur Nouvel Album "tempo unico" sur leur blog http://blog.jaoara.com/
Rédigé à 16:55 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La version portugaise du générique
Rédigé à 16:44 dans Télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rosa Mota, née le 29 juin 1958 à Porto, est une ancienne athlète portugaise qui courait sur marathon.
En 1982, elle participe au premier marathon de l'histoire en grand championnat. Bien qu'elle ne soit pas favorite, c'est en fait son premier marathon, elle bat facilement Ingrid Kristiansen pour remporter le titre de championne d'Europe à Athènes.
En 1984, elle obtient dans le premier marathon des Jeux olympiques à Los Angeles une médaille de bronze. Deux ans plus tard, elle conserve son titre européen. Elle obtient ensuite l'année le titre mondial lors des Championnats du monde d'athlétisme 1987 à Rome. Elle réalise ansi le grand chelem, remportant au moins un marathon lors des trois grands championnats.
Elle réalise en 1990 un nouvel exploit en remportant pour la troisième fois le titre européen.
A coté de ses résultats en grand championnat, elle remporte également la plupart des grands marathons internationaux, remportant trois fois le marathon de Boston, deux fois celui de Chicago et une fois celui de Londres. Elle triomphera également à Rotterdam, Tokyo et Osaka.
Ce palmarès en fait certainement la plus grande marathonienne de l'histoire.
Rédigé à 16:40 dans Sports | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Un programme que nous ne manquions jamais..
tout comme l'Eurovision, les Jeux Sans Frontières étaient une manière de se rapprocher un peu du Portugal.
Rédigé à 16:35 dans Télévision | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Quand la douleur s'exprime en musique...
Par un grand, très grand "fadista" CAMANE
Rédigé à 11:28 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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L'artiste peintre portugais Nadir Afonso Rodrigues naît à Chaves le 4 décembre 1920.
En 1946, à Paris, il est collaborateur de l’architecte Le Corbusier. Puis il travaille au Brésil, en collaboration avec l’architecte Oscar Niemeyer. De retour à Paris en 1954, il reprend contact avec les artistes orientés dans les recherches de l’Art cinétique, et développe ses études sur la peinture.
Nadir Afonso expose à la galerie Denise René (1956-1957) et au Salon des Réalités nouvelles en 1958.
En 1965 Nadir Afonso abandonne définitivement l’architecture pour s’occuper de sa peinture, à laquelle il se consacre entièrement.
L'artiste crée surtout des paysages géométriques et particulièrement des paysages de villes.
Rédigé à 11:19 dans pintura lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Tradition et cuisson du pain à l'ancienne dans la région du Barroso
Rédigé à 11:11 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Venda Nova é a primeira freguesia do Barroso para os que nos visitam, desde o Minho via Braga. É também uma sala de visitas do Barroso. A albufeira de Venda Nova privilegia de rara beleza e ar puro esta área do concelho. Soterrada em parte pelas águas, cresceu para as margens e vive, em boa parte, do turismo, do comércio e da pouca agricultura. A Escola Secundária fixou recentemente a juventude escolar. Um complexo hoteleiro prende os primeiros aventureiros de quem demanda terras do Gerês ou do Larouco.
Photo de bi_potugal
"A barragem nasceu da Venda Nova velha onde corria o rio Rabagao. Havia duas pontes romanas , uma chamava se ponte do tem tudo e a outra a ponte do barrela. Havia moinhos, posto da G. N.R e havia tambem uma garagem de carreiras chamada automotora. Passados tempos uma empresa chamada Hica resolveu fazer um aproveitamento das aguas para a energia electrica e foi feita entao a barragem que em 1950 ja estava cheia e ja electrificava muitas povoacoes." Extrait du site http://www.eb1-venda-nova-mtl.rcts.pt/entrada.html
Rédigé à 11:05 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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