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Salazar discursa em Braga...
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"Les jeunes émigrés portugais de la deuxième génération vivant dans les grands ensembles de banlieue, vus par les yeux d'une assistante sociale à propos de la marche des beurs." INA
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"Ce reportage fait le point sur la situation au Portugal, au moment où celui qui dirigea pendant 36 ans un régime autoritaire conservateur et nationaliste, le président Antonio de OLIVEIRA SALAZAR, doit renoncer au pouvoir, en raison d'une hémorragie cérébrale.
Court extrait de l'interview d'un partisan du régime..." INA
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"Folia à solta na pitoresca aldeia de Tourém em mais uma celebração do Carnaval. Populares saíram à rua em ambiente descontraído e de boa disposição. A sátira esteve "afiada"."
"O mau tempo não demoveu o povo de Tourém a sair à rua na celebração do Carnaval como tem sido apanágio nos últimos anos. Ambiente festivo em volta de temas que a organização decidiu invocar indo, muitos deles, ao encontro de algumas preocupações e necessidades dos habitantes desta aldeia do concelho de Montalegre." Ricardo Moura para CM MONTALEGRE
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"Dois concelhos, Montalegre e Vieira do Minho, uniram-se nos festejos do Entrudo na mítica Ponte da Misarela, em Sidrós, concelho de Montalegre. Uma iniciativa carregada de simbolismo, com as boas-vindas à Primavera e à fertilidade. No limiar do Minho e de Trás-os-Montes, «o povo recupera os caretos, a sátira popular e desfia uma tradição que queima o Entrudo e conduz à personificação da Primavera, numa bela jovem que benze os caretos». Agostinho Vassalo, membro da organização, referiu que «o povo desfila em cortejo espontâneo, com máscaras e roupas tradicionais, preparadas antecipadamente para este dia». O Entrudo da Misarela pretende reaproximar as duas margens do Rabagão, em torno de uma mesma ideia: recriar o Entrudo enquanto celebração da Primavera. Uma evocação à fertilidade, com origens no período pré-romano, leva velhos e novos a percorrer os escarpados trilhos até à ponte que, por sua vez, encerra uma carga mítica enorme, que confunde referências religiosas e pagãs." Ricardo Moura para CM MONTALEGRE
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Petit village dans la Région d'Amarante (Portugal)
Un village perdu dans la montagne d'Aboboreira, qui regorge d'histoires. Une terre isolée mais une terre avec une âme et ses gens qui resistent...
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Rédigé à 11:27 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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A l'espace Lusophone "SUR UN R DE FLORA" - Paris, du 20 février au 03 avril 2010
"Né en Ile de France en 1979, Vincent Deschamps découvre l’art du tirage noir et blanc pendant les années lycée. Au fil du temps, il approfondit la prise de vue et s’essaye à plusieurs techniques, du studio à la rue. Finalement il trouve son domaine de prédilection : photographier l’être humain dans son authenticité, tel qu’il vit au quotidien.
En 2008 Vincent s’est rendu au Cap Vert. Au large des côtes sénégalaises, le « Petit Pays » de Cesária Évora, indépendant depuis 1975, conserve l’empreinte très forte des traditions portugaises. Au carrefour de l’Europe, de l’Afrique et de l’Amérique du Sud, on y retrouve les influences mêlées des trois continents et un métissage racial et culturel d’une grande richesse.
L'archipel se divise en deux séries d'îles : au sud les îles de Sotavento (Brava, Fogo, Santiago et Maio) et au nord les îles de Barlavento (Boa Vista, Sal, São Nicolau, Santa Luzia, São Vicente et Santo Antão). Si les complexes commencent à s’installer sur les plages, on trouve encore au Cap-Vert des morceaux de bout du monde, une nature à la beauté sauvage, rude parfois, et surtout la gentillesse des insulaires."
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Carl Douglas "Kung Fu Fighting"
Rédigé à 21:08 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Pendant environ six mois, les garçons du village écrivaient des vers aux filles. Mourrait alors un animal au village et à travers des vers, celui-ci était divisé symboliquement entre chaque fille. On critiquait ainsi un aspect physique ou moral de chacune d’elles. Traditionnellement, ces vers étaient lus le mardi de Cendres ou le Dimanche Gras.
Actuellement, les filles écrivent également des vers aux garçons."
"Durante cerca de seis meses, os rapazes da aldeia escreviam quadras às raparigas. Um animal morria na aldeia e, através das quadras, era dividido, simbolicamente, pelas raparigas. Assim, criticava-se um aspecto físico ou moral de cada uma delas. Tradicionalmente, eram lidos na Terça-Feira de Cinzas ou no Domingo Gordo.
Actualmente, as raparigas também fazem motes aos rapazes. Em 1993, no Domingo Gordo, depois de terem desfilado com a vaca, feita de papel, que ia ser, depois, dividida, as raparigas leram os seguintes motes aos rapazes de Covas do Barroso."
Pedimos a vossa atenção
Para o que vamos contar:
Os compadres mataram uma vaca
Para de carne se poderem fartar.
Andava o pobre animal
No lameiro a pastar,
Quando eles se lembraram
De a vida lhe tirar.
Depois de ela estar morta,
Começou a discussão:
Uns queriam-na levar toda,
Outros diziam que não.
Por fim chegou o marchante,
Que pôs termo à questão
Dizendo: - Sou eu quem parto
E faço a divisão.
Ficou tudo em silêncio,
Para ver o que saía.
- Ninguém há-de ficar mal -
O marchante assim dizia.
I. O Paulo do Treze,
Por ser novo na função,
Ia pegar nos rins
Mas deram-lhe um empurrão.
II. O Agostinho do Castro,
Por ser muito envergonhado,
Diz que não queria que o vissem
Pegar na caroca do rabo.
Extrait du site COVAS DO BARROSO
Et photo de Gérard Fourel
Rédigé à 21:01 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 22:37 dans Télévision | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Ana Moura "Leva-me aos Fados"
Rédigé à 14:15 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:04 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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le Site PENICOS DE PRATA
Cordes, Discours et Phallus - Musique coquine ..., sonnets avec des garçons et des filles ..., "poésies cochonnes !"
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Le Théâtre 13 consacre une semaine au fado : des artistes venues spécialement du Portugal ou résidant en France.
Bévinda, nous offre un tour d'horizon des plus beaux titres de sa carrière : depuis Fatum, son premier album, où elle incarne le fado traditionnel, jusqu'au récent Luz, où à la gravité de la tradition se mêle une écriture musicale et poétique contemporaine.
Sofia Ribeiro a grandit à Porto. Après un parcours dans le jazz, la bossa nova ou la musique improvisée, la chanteuse a décidé de retrouver ses racines pour nous offrir un fado traditionnel.
Amélia Muge, entre fado et racines africaines, la voix chante les traditions rurales du Portugal et les poètes lusophones sur un fond de souvenirs d'enfance africaine.
Le trio Carina Salvado fait vibrer en chantant la saudade, la tendresse, les petites histoires du quotidien et redonne à cette musique portugaise toute sa sensibilité. Au-delà des frontières et des clivages esthétiques, ce trio mêle avec brio le fado à toutes les envies musicales pour un résultat prenant.
Maria Teresa, avec sa simplicité et son chant envoûtant, voyage à travers tous les territoires de la lusophonie du Portugal au Brésil en passant par le Cap-Vert et l'Angola.
Cinda Castel chante le fado accompagnée par un duo de musiciens dans la pure tradition fadiste de Lisbonne.
16/02 : 20h30 Bevinda
17/02 : 20h30
18/02 : 19h30 Amélia Muge
19/02 : 20h30 Carina Salvado
20/02 : 19h30 Maria Teresa
21/02 : 15h30 Cinda Castel
Théâtre 13
103A, boulevard Auguste Blanqui
75013 Paris
Réservations : 01 45 88 62 22
Source Agenda LUSO.FR
Rédigé à 12:40 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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« Ouvert depuis six mois, l’écomusée du Barroso (Ecomuseu do Barroso) a déjà enregistré 20 mille visiteurs. À Montalegre, flottent dans l’air des secrets et croyances. On fait un clin d’œil au surréel. Ce qui, en fin de compte, dans ce coin, est naturel.
« Ici, la consigne, c’est qu’il faut toucher à tout ! ». On se trouve à l’Ecomusée du Barroso. L’accent chantant des paroles de Sofia Dias est l’entrée dans un monde décrit par des sons, odeurs et images. À l’intérieur, entre les murs du musée, on entrevoit la réalité qui se vit sur la plaine de Barroso.
« Notre musée ne s’intègre pas dans un concept traditionnel. À partir du moment ù les visiteurs pénètrent Barroso, ils pénètrent aussi le musée. Les roches, les gens, les oiseaux, les ponts, les arbres… tout fait partie de l’ensemble ! ». C’est avec passion que Sofia fait la visite guidée, transmettant à ses visiteurs l’envie de vouloir faire partie des habitudes et coutumes de la région. "C’est le but. Ça, c’est juste un apéritif. Car les visiteurs vont vraiment connaitre le musée qu’à la sortie, lorsqu’une fois dehors et en parlant avec les gens, lorsqu’ils verront le paysage, lorsqu’ils toucheront les arbres. »
À l’intérieur, où on se trouve, les villages de Montalegre sont présentés sur des placards informatifs et informatisés. Juste à l’entrée, un énorme et moderne placard rotatif nous conduit aux quatre coins du musée. Il suffit de toucher l’écran et suivre son envie. Se trouve à la disposition des visiteurs des images des villages de Pitões das Junias, Paredes do Rio, Tourém e Salto. Il est possible d’entrer dans les anciennes maisons de Pierre, regarder ce qui se cache dans les coffres, suivre des pistes, presque glisser sur les pierres. « L’objectif de ce musée a toujours été de joindre le plus traditionnel, le plus conventionnel aux nouvelles Technologies”, a dit David Teixeira, directeur de l’écomusée. L’idée porte ses fruits. Six mois après son ouverture, le musée a déjà reçu plus de 15 mille visiteurs. “La majorité de nos visiteurs sont de
Eduarda Freitas et Mariana Pinto - EXPRESSO
Rédigé à 12:33 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 12:29 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Il était une fois une guerre... Une nuit sombre, un jeune soldat déserte. Tonia, une transsexuelle vétéran des spectacles de travesti à Lisbonne, voit s'effondrer le monde qui l'entoure. Son statut de star est menacé par la concurrence des jeunes artistes. Pressée par son jeune copain Rosário d'assumer l'identité de femme et de se soumettre à l'opération qui la fera changer de sexe, Tonia lutte contre ses convictions religieuses les plus intimes. Si elle souhaite devenir la femme que Rosário désire tant, elle sait aussi que devant Dieu elle ne pourra jamais le faire. Et son fils, qu'elle avait abandonné encore enfant, devenu déserteur, vient à sa recherche. Tonia découvre qu'elle est malade. Pour s'éloigner de tous ses problèmes, elle part à la campagne avec Rosário, sous le prétexte de rendre visite au frère de son petit ami. Rosário prend la route de son enfance mais n'arrive pas à trouver le bon chemin. Après s'être égarés, ils se retrouvent dans une forêt enchantée, un monde magique où ils rencontrent l'énigmatique Maria Bakker et sa copine Paula. Et cette rencontre va tout faire basculer..." tiré du site EVENE.FR
Rédigé à 12:23 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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retrouver ce média sur www.ina.fr
Portrait du chanteur de fado Germano ROCHA. Devant des ouvriers de la banlieue parisienne, dans un centre commercial de Marly-le-Roi, il interprète un chant portugais en s'accompagnant à la guitare, puis une chanson intitulée "Le fado de Lisbonne". Germano ROCHA raconte que c'est dans ce centre commercial que Jean VITOLD l'a découvert. Germano ROCHA chante sur des petites routes de banlieue. Il rencontre des ouvriers portugais sur le plateau de Champigny, dans un bidonville, et chante pour eux.
Production
Producteur ou coproducteur:
Office national de radiodiffusion télévision française
Générique
Réalisateur:
Czarnes, Frédéric ; Rocha, Germano
Rédigé à 18:02 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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retrouver ce média sur www.ina.fr
Journal A2 20H - 12/11/1975
Images illustrant départ armée portugaise de Luanda, la dernière déclaration de l'amiral L. CARDOSO, file camions militaires passant, les soldats des F.A.P.L.A. Mains entre grades portugais et Angolais-[différents plans] cérémonies indépendance drapeau-discours du Président Agostino NETO à zéro heure le 11 nov 75-int. Foule Angolais faisant signe de la victoire-
Production
Producteur ou coproducteur:
Antenne 2
Générique
Journaliste:
Lor, Edouard
Rédigé à 17:46 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 17:17 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Trailer do documentário “Pare, Escute, Olhe”, realizado por Jorge Pelicano sobre a defesa da linha ferróviária do Tua em Trás-os-Montes, prémio para Melhor Documentário no DocLisboa 2009
Trailer du film documentaire "Arrêtez, Écoutez, Regardez", réalisé par Jorge Pelicano sur la défense de la ligne ferroviaire du Tua dans la région de Tras-os-Montes, prix du Meilleur Documentaire 2009 au festival DocLisboa
Rédigé à 17:03 dans Actualité, Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Gaivota" 1965
Rédigé à 12:52 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Deolinda est un projet né en 2006 à Lisbonne. Ils nous livrent Canção ao lado (la chanson d'à côté), un premier album irrésistible qui évoque une suite d'histoires et de scénettes de la vie quotidienne lisbonnaise. Sorti fin 2008 au Portugal, cet album est devenu immédiatement un phénomène et a obtenu très rapidement un disque de platine. "
"Joué en live lors de flamboyants concerts, Canção ao lado, très intrigant concept-album, draine des audiences de trentenaires, mais aussi de grands-parents, de jeunes enfants... Le secret d'une telle popularité réside dans des prestations exubérantes, parfois comiques, des mélodies douces et entraînantes, des guitares doucement mélancoliques, une musique truffée de références émotionnelles au fado et à d'autres traditions musicales moins proéminentes. Les chansons racontent le personnage de Deolinda, toujours expliquées par Ana Bacalhau, la dynamique et charismatique chanteuse qui incarne Deolinda au fil de ses histoires. "
Extrait du site LUSO.FR
en concert le 05 février à 20h00
àL'Halambra
21, rue Yves Toudic
75010 Paris
Le site de DEOLINDA
Rédigé à 14:58 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Les gens de Covas do Barroso préservent avec la beaucoup de fierté un ensemble de croyances populaires qui se sont transmises de génération en génération. L'isolement de ces gens et le manque de médecins ont au fil des années, fait naitre des prières et autres remèdes pour se défaire des problèmes de santé les plus fréquents."
Photo de Joao Castelo Branco
« As gentes de Covas do Barroso preservam com muito orgulho um conjunto de crenças populares que têm vindo a ser transmitidas de geração
Reza para Cortar o Coxo
Para que se possa fazer esta reza, é necessário que a pessoa que a vai fazer já tenha morto, pelo menos uma vez, uma toupeira com as mãos, com nove pancadas na cabeça. Esta reza tem que ser feita nove vezes, enquanto se traça uma cruz sobre o coxo:
Jesus, santo nome de Jesus.
Credo em cruz.
P’ra tudo o apliquei,
Sapo, sapão, cobra, cobralhão,
Bicho de toda a nação.
Corto-te o rabo, corto-te a cabeça,
Pelo poder de Deus e da Virgem Maria,
Nunca este mal entraria em...........
Pelo poder de Deus e da Virgem Maria,
Apelo para o Senhor São Tiago.
Assim como vem o bem e o amor,
Pelas cinco chagas de Deus Nosso Senhor. Amen.
(Reza-se um Pai Nosso, uma Avé Maria e uma Salvé Rainha)
Extrait du site COVAS DO BARROSO
Rédigé à 14:55 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:50 dans Sports | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:34 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Les derniers préparatifs achevés, la 19ème édition de
Photos de Joana Abreu
Rédigé à 13:19 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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DOCES "Amanha de manha"
Rédigé à 14:52 dans tempo das cassetes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Concert de Maria Inês Guimarães , à l'occasion de la sortie de son deuxième CD, Primavera.
Avec :
Maria Inês Guimãraes, pianiste, musicologue, compositeur
Bruno Wilhelm, saxophone, soprano
Harry Swift, contrebasse
Paul Mindy, percussions
La musique brésilienne instrumentale présentée dans le nouveau CD de Maria Inês Guimarães pourrait être qualifiée de "choro contemporain". Mais, par la diversité des approches utilisées : improvisation libre ou structurée, thèmes classiques et compositions propres, Maria Inês s'affranchit des frontières entre musique classique contemporaine et choro traditionnel en créant une musique sans limites géographiques ou de genre. Ce disque sort chez Intégral Classic.
Le 29 janvier à 20h30
à L'Archipel
17, bd de Strasbourg
75010 Paris
Son site MARIA INES GUIMARAES
Rédigé à 14:19 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"CLAUD é Mulher,
É vida de um sonho que canta...
É da Terra de várias cores onde não há desgostos de amor...
Não tem fronteiras, nem barreiras, é vontade de ser quem é...
Ouve o pensar do seu cantar e canta o que está a pensar...
Traz no canto um filme antigo, a fala, o gemido, a glória, o protesto, o movimento ou um gesto...
Acorda devagar, num tempo que não dorme, que tem pressa, que dá corda à vida para chegar...
E corre atrás dela... em viagens sucessivas, por caminhos sem fim...e o Mundo, que vontade de ser do Mundo!!!!
CLAUD sente futuro, a tradição, pinta de novo a cor antiga, é calma aparente e aprecia o que é presente...
Vive destas “loucuras” todas e só espera poder pensar, que tudo o que pensa é tudo o que é só seu, e que tudo o que canta é de tudo e de todos...
É assim que ri de alegria e chora de contente...Longe ou perto de toda gente...o que interessa é a força de todas estas coisas...
CLAUD é isso...e já não é pouco..."
"Claud is Woman
It's life of a dream who sings...
It's from the Earth of multiple colors where there are no heartbreaks...
It doesn't have frontiers or barriers, it's a being who you are...
Hears the thinking of the singing and sings what is thinking
Brings in the song an old film, a whisper, glory, the protest, the movement or a gesture...
Wakes up slowly, in a time that doesn't sleep, who is hurried...
And runs after her... in never-ending trips through endless paths... and the World wanting to be World!
Claud feels the future, tradition, paints with new the old color, it's a soothing calmness and appreciates the present...
Lives off all this "madness" and hopes to think, that all she thinks is hers alone and what she sings is of everyone...
She laughs of joy and cries of happiness... Away or close to everyone... what matters is the power of all this.
Claud is all this... and that's so much..."
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Rédigé à 22:13 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La "Revista" est un type de théâtre, au goût remarquablement populaire, qui marqua l'histoire des arts scéniques, au Brésil et au Portugal, et qui avait comme principales caracteristiques la présentation de numéros musicaux, faisant appel à la sensualité et à la comédie légère avec des critiques sociales et politiques et qui connut un franc succès au milieu du XXème siècle.
A Revista é um género de teatro, de gosto marcadamente popular, que teve alguma importância na história das artes cénicas, tanto no Brasilcomo em Portugal, que tinha como caracteres principais a apresentação de números musicais, apelo à sensualidade e a comédia leve com críticas sociais e políticas, e que teve seu auge em meados do século XX.
Em termos gerais, consta de várias cenas de cariz cómico, satíricoe de crítica política e social, com números musicais. É caracterizada também por um certo tom Kitsch- com bailarinos vestidos de forma mais ou menos exuberante (plumas e lantejoulas), além da forma própria de declamação do texto, algo estridente. Algumas revistas marcaram épocas - no Estado Novoportuguês, por exemplo, o espectáculo de revista conseguia passar mensagens mais ou menos revolucionárias e de crítica ao regime vigente. Estão nessa situação algumas revistas protagonizadas, por exemplo, por Raul Solnado, no Parque Mayer- a "catedral da revista à portuguesa".
A primeira Revista à Portuguesa subiu ao palco do extinto Teatro Gymnasio, nos finais do séc. XIX.
Actualmente o Teatro de Revista subsiste apenas no Parque Mayer, mais concretamente no Teatro Maria Vitória.
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"Dani Selva est un artiste parisien d'origine portugaise. Issu d'une famille de musiciens de Fado, il est bercé par la musique traditionnelle depuis l’enfance. L’importance de la guitare et de la voix dans cette musique le conduiront à choisir ces instruments comme moyen d’expression artistique.
Son intérêt se porte alors sur les musiques du monde comme le reggae et la musique brésilienne, puisant dans les très riches métissages musicaux et culturels qu’elles comportent. Dani enregistre ses deux premiers titres "Proud of your roots" et "Politiquement camouflé" primés dans le cadre de l'opération "Paris jeunes talents" en 2002. Il se forme à l'école ATLA (Paris 18) en guitare brésilienne et en chant et obtient parallèlement une maîtrise de Lettres à l’université de Saint-Denis. La rencontre avec le bassiste guadeloupéen Chromatic sera déterminante: lui permettant de présenter en duo ses compositions dans les cafés-concerts de la capitale.
Il devient musicien professionnel dans les années qui suivent notamment en proposant son répertoire de musique brésilienne au Club Méditerranée, puis fait la rencontre du percussionniste brésilien Dada Viana et du guitariste portugais Philippe de Sousa. De ce combo aux origines diverses naît le premier single autoproduit « Me tresser les tifs » réalisé par Laurent Macé. Dani travaille actuellement sur l’enregistrement de son premier album aux sonorités résolument world. Les textes écrits en français ou en portugais sont teintés d’ironie, engagés, et surtout emplis d’espoir."
Découvrez l'univers sucré métissé de Dani Selva sur DANI SELVA avec des titres tels que "Seconde Génération", "o meu mundo é", "aimer comme ça", "que deus me perdoe"...
Rédigé à 14:46 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"João Só escreveu a primeira música aos 15 anos e desde então nunca mais parou. Em 2008 juntou-se aos Abandonados e agora decidiram aventuram-se no lançamento de um disco, que acaba de chegar ao mercado discográfico.
São 11 temas em que João Só fala sobre «rapazes, raparigas e as chatices que tudo isso implica». Diz que a inspiração lhe vem de coisas simples que lhe acontecem no dia-a-dia: coisas como «conversas com amigos».
O jovem de Coimbra garante, no entanto, que este não é só mais «um projecto para gravar e vender discos». Garante que o que o move é o desejo de «fazer boa música na nossa língua, que, às vezes, pode ser um bocadinho traiçoeira».
"A Marte..." é o melhor exemplo disso mesmo: dia a dia, rapazes e raparigas e português traiçoeiro... " ZION
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Les poteries noires de Bisalhães, tipiques de cette région de Tras-os-Montes, possèdent une technique unique de traitement. C'est aussi l'un des principaux produits de l'artisanat de cette région.
O Barro negro de Bisalhães, típico de Vila Real, possui uma técnica única de tratamento, Este, é também, um dos prinicpais produtos de artesanato da região.
O barro, depois de britado é espalhado na eira para secar ao sol. De seguida, é transportado para os "pios" de pedra e moído, até se desfazer em pó, retiram-se as impurezas, mistura-se com água e amassa-se. Depois, o oleiro dá-lhe forma na roda de oleiro e, antes que esta seque, ornamenta-se com flores e outras formas.
A cozedura faz-se num forno aberto no chão (soenga). Colocam-se as peças, e cobrem-se com rama de pinheiro verde, a que se ateia fogo. Quando este começa a ficar com aspecto avermelhado (em brasa), abafa-se o fogo com caruma, musgo e terra escura, para que não se libertem fumos e seja obtida a cor negra característica.
foto do site MOCHOS E CORUJAS
Encontra-mos diferentes tipos de louça negra: a "churra" (que é mais grosseira, negra e sem brilho) e a "gogada" (que é fina e sem defeito).
Também se fazem miniaturas nesta louça.
Extracto do site LENDAS E TRADICOES sites consultados: Wikipédia, Lifecooler
Foto de modelos tondela
Rédigé à 14:22 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:10 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Carlos Seixas (Coïmbra, 11 juin 1704 - Lisbonne, 25 août 1742) était un compositeur portugais fils de Francisco Vaz, organiste de la cathédrale de Coïmbra, et de Marcelina Nunes. En 1718, suite à la mort de son père, il prit sa succession. En 1720, il s'installa à Lisbonne où il donna des cours de clavecin. Puis il fut nommé organiste, position qui lui permit d'entrer à la Chapelle Royale. Il devint également professeur de musique chez les familles les plus nobles. Bien qu’il fût en relation avec un maître napolitain, Seixas n’a pas adopté le style italien qui dominait à l’époque.
Domenico Scarlatti, venu au Portugal en 1721 en tant que premier maître de la Chapelle Royale et professeur de l'infante Maria Bárbara de Bragança, considérait Seixas comme un des meilleurs enseignants qu'il ait connu.
Au sommet de sa carrière, il fut nommé membre de l'ordre de Saint Iago, capitaine de l'ordonnance de la cour et chevalier de l'Ordre du Christ en 1738. La position qu'il a acquise malgré son origine plébéienne prouve son talent.
Seixas s’est marié en 1732 et a eu deux fils et trois filles.
La plupart de ses œuvres ont disparu dans le tremblement de terre qui a dévasté Lisbonne en 1755. Seules trois pièces orchestrales et quelque 100 sonates pour clavier ont survécu, plus une poignée d'œuvres vocales à usage liturgique (beaucoup plus conservatrices en comparaison de sa musique instrumentale)." Source WIKIPEDIA
Rédigé à 13:21 dans musica classica lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Entrez dans l'univers de Rodrigo de Matos sur son site RODRIGO CARTOON
"Rodrigo, o autor do "Humoral da História" no site do Expresso, aceitou mais uma vez o convite para fazer o cartoon da noite eleitoral a partir da Redacção. Veja como foi o trabalho do humorista, em tempo real, das projecções aos resultados finais"
Rédigé à 15:37 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La population portugaise à Paris et en idf
Actualités régionales Ile de France - 10/10/1979 - 02min22s
Production
Producteur ou co-producteur:
France Régions 3 Paris
Générique
Journaliste:
Rotival, Dominique
Présentateur:
Morin, Gérard
Rédigé à 14:06 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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retrouver ce média sur www.ina.fr
Point contrepoint - 11/11/1969 - 06min53s
« De nombreux Portugais se sont installés au bidonville de Nanterre, ils sont interviewés sur la guerre que mène leur pays pour défendre ses colonies et leurs rapports avec les Français, itw de l'un d'entre eux travaillant chez Renault et se plaignant du racisme des Français, des jeunes de la 2ème génération de chez Renault refusent d'aller faire leur service militaire pour éviter de faire la guerre. »
Production
Producteur ou co-producteur:
Office national de radiodiffusion télévision française
Générique
Réalisateur:
Romero, Isidro
Journaliste:
Dias, Jose
Rédigé à 13:22 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 14:42 dans EUROVISION | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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