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Rédigé à 21:28 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS, PHOTO et PHOTOGRAPHES, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Incrustée dans la Montagne d'Açor (espace de paysage protégé), où abondent les panoramas éblouissants, les sources et les pâturages, le village historique de Piodão rappelle une crèche en raison de la forme harmonieuse de ses maisons disposées en amphithéâtre et qui, la nuit avec l'illumination, constituent une de ses plus belles images.
La marque de ce village montagneux aux rues étroites et sinueuses est le schiste, matériau abondant dans la région, utilisé pour la construction des maisons et le sol des rues, et qui forme une tache de couleur uniforme interrompue par le bleu foncé des fenêtres et des portes de certaines maisons. Cette note de couleur dissonante à une origine pratique, en effet, on raconte que l'unique magasin qui fournissait la population n'avait que de la peinture bleue et compte tenu de l'isolement du village il n'était pas facile pour les habitants de se déplacer vers d'autres lieux. En réalité c'est l'isolement et les difficultés de déplacement qui ont préservés intactes les caractéristiques de ce très ancien village.
Parmi le groupe de petites maisons de deux étages se distingue l'église matrice consacrée à Notre Dame de la Conception, blanchie à la chaux, avec ses singuliers contreforts cylindriques, que la population a érigé au XIXè siècle avec son or et argent.
Compte tenu de sa localisation cachée au pied de la montagne, Piodão fut autrefois un abri idéal pour les fugitifs de la Justice, on suppose même que l'un des assassins de D. Inês de Castro, qui aurait réussi à échapper à la colère de D. Pedro I (XIVè siècle) se serait caché ici.
Village historique n'ayant pas joué un grand rôle dans l'Histoire du Portugal, Piodão est devenue plus connue récemment du fait de sa position scénographique amoncelée dans la montagne d'Açor, motif suffisant pour justifier une visite.
Rédigé à 21:20 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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É com uma marca em nome próprio que Ana Fatia soma conquistas no mercado internacional. Desenvolveu uma criação de mobiliário inspirada na anatomia humana e produzida em parceria com a Indústria Portuguesa.
Diplômée en Design Industriel par l’Ecole Superieur d’Arte et Design de Caldas da Rainha, elle débute sa carrière professionnelle en tant que Designer en 2009 avec la première édition d'Action for Age promu par ExperimentaDesign et le Programme Gulbenkian pour le Développement Humain. Parallèlement, elle travaille à ModoDesign , un studio de design industriel.
Depuis 2008, elle fait des recherches sur le Design Social, un outil innovateur. De produits industriels aux services, de la communication à la typographie, elle utilise sa créativité pour explorer tous les domaines de la conception. La curiosité est le point essentiel à la découverte.
Rédigé à 20:57 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 20:05 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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"Haverá sempre um quando e um onde para começar um novo grupo: uma cidade, como Coimbra, um ano qualquer, como 2010 ou 2011, ou um encontro entre cinco pessoas e uma ambição comum.
Dos Macadame diremos que começaram onde começa uma mesa comprida de madeira, em horas e horas passadas a ouvir outra gente cantar, tocar, ouvir e contar a música que depois fizeram sua. Então, quatro rapazes e uma rapariga, de formações tão diferentes, acabaram por se encontrar no gosto pela música tradicional. Um gosto que cresceu até se transformar numa espécie de paixão inquebrantável, daquelas que nos revolvem os sentidos e nos fazem ver as coisas de que gostamos como ninguém as vê.
Talvez por isso mesmo pareça que os Macadame não procuram reinventar a música tradicional, prestar-lhe uma homenagem criativa, enérgica ou reverente. Parece, antes, que ao ouvi-los conseguimos ouvir a mesma música que nos é familiar, mas contada por quem adquiriu aquele jeito enlevado de a ouvir e mostrar: sem pó nem maquilhagem, sem rugas nem artifícios, sem mais do que o filtro fino da experiência de quem a ouve como a ouve, e assim mesmo a pretende partilhar."
Rédigé à 19:53 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Numa das muitas vezes em que passeava a pé pelo Porto, Joana Abreu encontrou a ideia de que precisava para a tese de mestrado que está prestes a concluir. De tanto observar as fachadas dos edifícios, conta a jovem de 23 anos ao P3, apercebeu-se das inúmeras falhas no revestimento de azulejos. Começou a registar e a fotografar os vazios nas paredes, até que se decidiu a preenchê-los, em Maio último. Improvisou azulejos — feitos de madeira, a partir de colagem — e preencheu 14 falhas em prédios da Baixa do Porto. Joana explica o processo: “Tiro uma fotografia ao padrão, trato-o em Photoshop, imprimo em papel e colo por cima da madeira com acabamento”. Ao padrão alterado acrescenta ainda versos de autores portugueses conhecidos e outras mensagens. “Preencher Vazios” — que já tem perfil no Facebook e no Instagram — integrou a tese de mestrado de Joana em arte e design para o espaço público pela Faculdade de Belas Artes da Universidade do Porto. Até agora, a estudante já colocou 14 azulejos de madeira pela cidade — alguns já se perderam e tiveram de ser substituídos — e pretende continuar a fazê-lo nos próximos meses.
Rédigé à 19:45 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS, Culture, Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0)
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Foto de Filipe Silva
Situé sur un îlot au milieu du Tage, le Château d’Almourol est un des monuments les plus emblématiques du Portugal, par sa symbolique et son paysage environnant.
Son histoire rappelle la Reconquête du territoire pendant le Moyen Age. Quand les chrétiens sont arrivés ici, en 1129, le Château existait déjà sous le nom d’Almorolan, et faisait partie des terres remises à la garde des Templiers, sous les ordres de Gualdim Pais. D’après une inscription qui se trouve à l’entrée du Château, les travaux de reconstruction datent de 1171.
Conjointement avec les Châteaux de Tomar, de Zêzere et de Cardiga, il formait la ligne défensive du Tage.
A la suite de la cessation de l’Ordre des Templiers et de la fin de la nécessité d’une défense territoriale, il a fini par tomber dans l’oubli. Il a finalement été récupéré par le courant Romantique du XIXème siècle, qui a orienté sa restauration et lui a donné son aspect actuel.
Rédigé à 19:37 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 19:04 dans illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
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A Vila de Caminha, amanheceu dia 26 de maio, o dia em que se celebra a Festa do Corpo de Deus, com as ruas cobertas de tapetes de flores. Esta tradição muito característica desta Vila do Alto Minho, atrai todos os anos milhares de pessoas, motivadas pela beleza dos tapetes floridos e enfeitados com serrim pintado, verdes e sal.
Este ano, o Município de Ponta Delgada deu também o seu contributo na elaboração dos tapetes. Depois de em anos anteriores terem sido convidados os municípios de Arraiolos e Viana do Castelo. http://olharvianadocastelo.blogspot.fr/
Rédigé à 18:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Às vezes vai à janela
Para ver se passa alguém
Com o coração desfeito
Baixinho, chama por ela
Se não responde ninguém
Volta para dentro do peito
Rédigé à 18:20 dans FADOS | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 18:06 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
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J’ai eu l’occasion et le plaisir de découvrir ta nouvelle exposition ‘119’ au Salon de la Photographie Contemporaine à Paris…
Après deux ans d’absence, comment t’es venue la thématique sur l’enfance en danger ?
Oui! Deux ans c'est le temps qu'il m'a fallu pour faire naître 119, cette thématique est le fruit d'une histoire qui m'a touchée et qui est malheureusement à ce jour toujours d' actualité, je constate que cela n' a pas évolué, il y a toujours des enfants qui sont victimes de violences et agressions sexuelles et le sujet est encore tabou. L' adulte en parle après avoir compris que ce n était pas normal .... mais l' enfant vit dans sa peur et à du mal à parler et quand il parle souvent, on ne le croit pas.
Pourquoi avoir appelé ton exposition ‘119’ ?
119 est le numéro de téléphone d' urgence en France pour dénoncer les violences sur les enfants. Il m'a semblé évidant de l'appeler comme cela, de plus il y a l'information qui passe, j' ai constaté que beaucoup de personnes ne le savent pas.
Comment c’est monté ce projet ? Raconte-nous …
Ce projet est arrivé suite à un cauchemar que j ai fait dans ma période de vide artistique, quand je n'y croyais plus. Au réveil je me suis dit: c est ca! Tu dois en parler.
Quel message souhaites tu faire passer auprès du public ?
Un message d' information face à la souffrance et l'impuissance de l enfant. Je souhaiterais que nous soyons plus vigilants aux comportements de nos enfants car souvent ils n'en parlent pas, ils ont peur de blesser, de faire du mal autour d eux, ils se prennent à tord pour des coupables alors que ce sont eux les victimes. 80% des agressions sont faites au sein de la famille et proches des familles. Souvent, très souvent quand ils prennent la parole on ne les croit pas.
Où pourrons nous voir tes photos prochainement ? Quels sont les projets ?
Je vais essayer d' exposer en novembre pour le mois de la photographie de Paris dans notre consulat de Paris, comme je le fais habituellement. J'espère que la réponse sera positive. L' objectif serait de faire des conférences autour de ce sujet et en parler le plus possible pour ne plus accepter et ne plus se taire. J aimerais aussi aller dans les écoles ici comme au Portugal.
Rédigé à 17:48 dans Découverte_, Entre nous..., PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
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Lino : le coiffeur non officiel de Codeçoso, ici dans ses œuvres, en août 2001.
Cet homme, originaire de Meixedo (village jumelé avec Codeçoso), était à la fois : agriculteur, éleveur, spécialiste des greffons en arbres fruitiers, beaucoup d’autres choses encore et, coiffeur à domicile !
Sa main était très légère et ne tremblait pas malgré ses 80 ans et plus. Lorsqu’il coupait les cheveux de certains de ses « clients », il ne manquait de leur demander s’ils sentaient l’action du ciseau ou de la lame sur eux !
Personne ne se plaignait et il était toujours très fier et très heureux de s’accorder le compliment suivant, au sujet de sa dextérité manuelle : « Ma main (celle qui officiait) est plus légère et plus habile que celle de la plupart des hommes et même plus douce que celle de nombreuses femmes ! »
Chaque année, j’avais le privilège de vérifier l’exactitude de cette auto célébration méritée !...
Germana : cette femme était d’une grande beauté, avec un visage aux traits fins et au regard si doux.
Ce qui est très frappant, chez les habitants de cette région montagneuse du nord du Portugal qu’est la province du Barroso, c’est la profondeur de leurs rides sur les visages. Le climat froid et rigoureux en hiver, sec et venteux en été, la vie au plein air et l’ardeur au travail, tout cela creuse la peau et engendre des rides qui sont comme des marqueurs du temps qu’il fait et du temps qui passe…
Tia Germana semblait bénie « des dieux » tant ses 80 printemps (et plus) faisaient d’elle un petit bout de femme à la beauté préservée des outrages et des rigueurs de ce temps sans pitié !
Je me souviens l’avoir croisée un jour, alors qu’elle portait une bien lourde charge dans ses bras endoloris. Je lui ai proposé tout naturellement mon aide ; aide qu’elle refusa gentiment mais fermement ! Pourquoi cela ? « Parce que ce labeur est de ma responsabilité ! », me répondit-elle.
Tia Germana endossait à bras le corps toutes ses taches, jusqu’au bout…
João do Canto : il fut « Presidente da junta », c’est-à-dire « Maire » des villages jumelés que sont Meixedo et Codeçoso, entre les années 1976 & 1984
Cet homme à la personnalité affirmée, ne se laissait surtout pas marcher sur les pieds ! Son fort caractère était tempéré par un grand cœur et doté d'une générosité immense.
Tio João do Canto, comme un certain nombre d’autres de la région nord du Portugal, a vécu quelques années en France, avant de repartir définitivement vers sa terre natale
Un responsable politique de premier plan au Portugal, s’exprimant sur la mentalité complexe des barrosãos, a déclaré il y a quelques années à leur propos :
« Les gens du Barroso, durant un conflit avec vous, sont capables de vous jeter à la rivière, au cours de la rixe ; puis, de se jeter eux-mêmes à l’eau pour vous secourir !.. »
Ce portraits des barrosãos, et singulièrement des éléments masculins, semble avoir été taillé sur mesure pour Tio João do Canto, tant l’homme était pétrit de dualité, de la dureté du granit et de la générosité de cette terre qui sait rendre au centuple pour peu qu’on l’aime !...
Francisca : La douceur même !
« Un p’tit bout de bonne-femme au caractère bien trempé, mais d'une douceur extrême ! »
« Toujours un coucou de sa fenêtre pour nous dire bonjour ! »
« Une femme très discrète, qui laisse derrière elle beaucoup de douceur ! »
Voici certains témoignages dits par des habitants de Codeçoso qui ont bien connus Tia Francisca !
Assurément une très douce personne !
Francisca n’est plus, mais pour certains vivants, il est « des absents qui ont toujours corps » ; Tia Francisca est l’une de ces absentes !...
Les portraits sont de Jean Dias, originaire de Codeçoso, Montalegre
Rédigé à 17:28 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0)
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Os romanos estiveram de regresso a Braga. A cidade acolheu, de 28 a 31 de Maio, o "Braga Romana", um evento que pretende recriar o quotidiano de Bracara Augusta. A iniciativa estende-se por várias ruas do centro da cidade e inclui dois cortejos históricos e uma recriação de um mercado da época.
O Evento “Braga Romana”, tem o propósito de comemorar os primeiros tempos de vida daquela que foi a Opulenta Cidade Bracara de Augustus.
Terminadas as Guerras Cantábricas que puseram fim à conquista da Península Ibérica, e instalada a pax romana, o Imperador Romano César Augusto funda três cidades no Noroeste da Hispânia, Bracara Augusta, Lucus Augusti e Asturica Augusta.
Bracara Augusta terá sido presumivelmente fundada entre os anos 16/15 a.c. na região dos Bracari, situada entre os rios Lima e Ave.
A nova Cidade Imperial deve o seu nome de BRACARA ao povo indígena que ocupava o território, e o epíteto de AUGUSTA, em homenagem ao Imperador que a fundou, tendo sido sede do Conventus Bracarensis, inserido na provincia Tarraconense.
Ao longo dos séculos, Bracara Augusta vai ganhando preponderância, chegando mesmo no século IV, com o Imperador Diocleciano, a Capital da nova província da Galécia.
Como cidade imperial, desenvolveu gradualmente importantes funções comerciais, juridicas, religiosas, politicas e administrativas, propiciando o aparecimento de variados espaços públicos de caracter lúdico.
Neste sentido, a “Braga Romana” pretende recriar o universo romano, em particular o quotidiano dos denominados Bracaraugustanos.
É caso para dizer em Braga seja Bracaraugustano! Vista-se a rigor, delicie-se com iguarias romanas revisitadas para si, encante-se com os bailarinos e dance ao som da música do Deus Lupercus, divirta-se com as pantominas dos actores, embriague-se com os sucos de Baco, aprenda estratégias nos jogos, saúde a Júpiter, honre a Marte com os Legionários e usufrua dos produtos artesanais.
Reviva Bracara Augusta!
Photos du site http://badio.pt/ et https://www.cm-braga.pt/
Rédigé à 17:11 dans Histoire, Povo portugues, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 16:31 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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