Cela fait 10 qu'Amalia Rodrigues nous a quitté...hommage à la Reine du Fado.
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Almada Negreiros à la première conférence futuriste, en 1917
Colloque international Le Futurisme et les avant-gardes au Portugal et au Brésil, organisé par les Départements de portugais des universités Paris-Sorbonne/Paris IV et Paris Ouest Nanterre La Défense.
VOIR programme
29/10 - Maison de la Recherche
28, rue Serpente
75006 Paris
30/10 - Université Paris Ouest Nanterre La Défense
Bâtiment K
200, av. de la République
92001 Nanterre cedex
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Photo de Zelia Paulo Silva
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"Chaque année, le PCP (Parti communiste portugais) organise un festival très fréquenté, la Fête d'Avante! (Festa do Avante!). Elle s'est déroulée jusqu'aux années 1990 aux alentours de Lisbonne (Feira Internacional de Lisboa, Ajuda, Loures) ; elle se tient dorénavant sur un terrain acheté par le Parti grâce à une campagne de dons, près de Seixal. Le PCP considérait qu'il s'agissait là du seul moyen d'éviter le refus systématique des propriétaires des terrains — refus qui empêcheront la Fête de se tenir en 1987.
La Fête accueille des centaines d'artistes et de groupes qui viennent jouer sur les cinq scènes, ainsi que des débats, une foire des livres et de la musique, des représentations de théâtre (Avanteatro), des stands gastronomiques et des évènements sportifs. Plusieurs partis communistes du monde y tiennent aussi des stands[20]. Elle attire ainsi plusieurs centaines de milliers de visiteurs chaque année.
De nombreux artistes célèbres, portugais ou non, se sont produits à la Fête, dont Chico Buargue, Baden Powell de Aquino, Ivan Lins, Zeca Afonso, Buffy Sainte-Marie, Johnny Clegg, Charlie Haden, Judy Collins, Richie Havens, Tom Paxton, The Band, Dexys Midnight Runners, Hevia, babylon circus, Brigada Víctor Jara, Adriano Correia de Oliveira, Carlos Paredes, Jorge Palma, Manoel de Oliveira et beaucoup d'autres[21].
La préparation de la Fête est le travail d'une année, qui recommence à chaque fois que l'édition précédente s'achève. Des centaines de membres et sympathisants du PCP, pour la plupart des jeunes, installent chaque année la petite ville qu'elle constitue." sources WIKIPEDIA
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Photo de Karina Bertoncini
"Ouvrier travaillant sur chaussée - PA balai et pieds - un balayeur - éboueurs - ouvriers sur poutrelles - GP pelle jetant sable - GP ouvrier - ouvrier dépavant rue - DP travaux - Mr COMPTE chef de travaux : "La main d'oeuvre française s'adapte mal à ses travaux. On ne sait ce qu'on ferait si il n'y avait pas de main d'oeuvre étrangère. On essaie de promouvoir mais c'est difficile." - DP ouvriers au travail - un travailleur marocain : "J'ai pas de qualification" - DP de travaux publics - PANO BH sur ruelle misérable - GP façade Hotel Oriental - joueurs de cartes nord africains - DP bidonville - le travailleur Marocain : "Je suis venu sans contrat j'ai été embauché et le patron m'a mis en règle" - Mr ROUCHON, Chef d'Entreprise : "Il y a des portugais qui arrivent avec passeports de tourisme, on leur obtient des cartes de travail." - DP de travaux." Extrait de l'INA
Voir video de l'INA ICI
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"Entre muitas..." Photo de Luna"
"Com mãos se faz a paz se faz a guerra
Com mãos tudo se faz e se desfaz."
Manuel Alegre - excerto do poema "As mãos"
VOIR EXTRAIT DE VIDEO DE L'INA "Interview de jeunes Portugais de la seconde génération, cherchant par tous les moyens à éviter d'aller faire la guerre" ICI
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Linda William "Traces"
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Film Documentaire de José Vieira France - 2009 - 1 h 15 mn
Réalisation : José Vieira - Scénario : José Vieira - Image : José Vieira - Montage : Albane Penaranda - Son : José Vieira
"C'est l'histoire d'un village où presque tous les habitants ont émigré à la recherche d'une vie meilleure. Les uns sont partis pour toujours, d'autres sont revenus. À travers les dialogues et les récits des gens qui habitent le village au mois d'août, le film tente de comprendre qui sont ces hommes et ces femmes devenus, un jour, brutalement des étrangers, à jamais des déracinés et qui portent en eux la rupture avec leur univers familier ?"
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"Este domingo, pelas 15 horas, é inaugurada, no núcleo sede do Ecomuseu de Barroso (Montalegre), a exposição Batata - O "minério" de Barroso da autoria de José Enes Gonçalves, João Canedo e Ecomuseu de Barroso.
É inaugurada este domingo à tarde, pelas 15 horas, a exposição subordinada ao tema "Batata - O "minério" de Barroso da autoria de José Enes Gonçalves, João Canedo e Ecomuseu de Barroso tendo o Eng.º Vilhena de Gusmão como comissário. Uma oportunidade para revisitar uma parcela importante do desenvolvimento económico deste concelho com um produto, outrora, principal referência da marca Montalegre."
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Sons e Ruralidades 2008.
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FLEETWOOD MAC "BIG LOVE"
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J'ai lu avec un immense plaisir "Negrinha" une Bande Déssiné de Jean-Christophe Camus et Olivier Tallec. Pour les amoureux de BD, tout comme moi, celle-ci est à lire sans plus attendre. (merci à la librairie "Au Labyrinthe" à St Germain en Laye, spécialisée en BD, pour cet excellent choix !)
Le style d'Olivier Tallec "est toujours aussi élégant ; son trait, à la fois fragile et délicat. Ses couleurs, surtout, sont resplendissantes dans cette histoire. Les teintes du Brésil l’ont visiblement inspiré puisque qu’on sent que l’illustrateur s’est fait plaisir à travailler autour d’une palette de couleurs à la fois lumineuse et chaleureuse."
"Pour ce qui est de l’histoire, Jean-Christophe Camus signe une jolie chronique de vie. Maria est une jeune métisse de 13 ans, élevée par une mère surprotectrice. Cette dernière veut absolument offrir à sa fille une vie heureuse, dans les beaux quartiers — blancs — de Rio. Pour cela, elle est prête à tout sacrifier, même sa famille restée dans une favela voisine. Mais, un jour, la jeune fille va vouloir découvrir cette part de sa vie cachée…
Negrinha est une belle réflexion sur la négritude, émouvante et sensible. Le Brésil y est décrit naturellement avec ses richesses culturelles et humaines, mais aussi ses contradictions et ses fractures. On aurait sans doute aimé y rester encore un peu plus mais le voyage est de toute façon déjà très beau." extrait du site INITIALES
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Rédigé à 09:20 dans musica classica lusofona | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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from tiago pereira
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Dalida "Mourir sur scène"
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Présentation du dernier livre de Manuel do Nascimento http://manueldonascimento.unblog.fr/
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Versão galega de Uxia do "Verdes são os Campos" poèma de Luis de Camões
Gala da Homenagem a Zeca Afonso, em Abril de 2007, na TV Galícia.
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"Mário Botas tem permanecido no esquecimento, até agora...
O isolamento de Portugal contribuiu para a falta de acesso à informação no domínio das artes, o que levou a um atraso significativo do país neste campo. Portanto, Mário Botas cresceu num país ainda muito fechado sobre o Mundo. Mas, tendo consciência desse facto tentou actualizar-se. Os seus interesses eram vários desde a Literatura, a Arte, a Música, o Teatro ou a Medicina. Licenciou-se em Medicina, com alta classificação, dedicando-se à Arte devido a uma leucemia incurável. Iniciou a sua carreira artística em 1971. A sua obra reflecte os conhecimentos adquiridos e as conversas com os seus amigos. Com o aproximar da sua morte, as suas aguarelas assumem completamente «o descuidado rigor de um diário ou de uma confissão», segundo a sua última entrevista que concedeu a Almeida Faria, um mês antes de morrer. A sua obra é realizada num período de doze anos, até 1983, data em que morre.
Em Setembro de 1984 foi instituída a Fundação Casa-Museu Mário Botas na Nazaré." Facebook
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Les 15 danseurs/percussionnistes brésiliens du Balé de Rua reviennent enfin en France du 22 au 26 septembre au Casino de Paris. Une occasion à ne pas louper puisque la troupe repartira ensuite pour une tournée mondiale.
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Lorsque j’étais enfant, les fêtes religieuses du village étaient surtout pour moi l’occasion de mettre une jolie robe, de me retrouver attablée avec toute la famille autour d’un repas gargantuesque , de danser au son des haut-parleurs grésillant sur les derniers tubes à la mode , d’assister à la procession où l’on promenait des Saints décorés de tissus satinés aux couleurs flashies … mais de toutes les processions auxquelles j’ai pu assister avec mes parents si je devais en retenir une ce serait celle en l’honneur de Notre Dame de Fatima, et plus précisément la procession de l’Adieu.
Je me rappelle encore de l’émotion ambiante et des larmes de tous ces gens agglutinés à l’entrée de l’église qui agitaient leur mouchoir au passage de la Vierge qu’on ramenait à sa demeure. Je me souviens également des larmes de ma mère au son du cantique de l’Adieu, qu’elle ne parvenait plus à chanter étranglée par l’émotion.
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The Art of Noise "Moments in love"
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O meu nome é Carlos Domingomes. Nasci em França em 1980. A minha história é idêntica á de muitos portugueses. Os meus avós e os meus pais emigraram para França na década de 60 e 70. Em 1983, quando eu tinha apenas 3 anos de idade, os meus pais resolveram regressar a Portugal. O resto da família manteve-se em França, até aos dias de hoje. Vinte anos depois, em 2003, o meu avô faleceu. E foi só após a sua morte que descobri a sua verdadeira história: que Joaquim Gonçalves tinha sido um dos maiores passadores de homens a salto para França durante a ditadura Salazarista. Tinha passado milhares de homens, conterrâneos, desesperados, pobres, em busca de uma vida melhor para si e para as suas famílias, numa época em que sair do país sem autorização, era punido como crime muito grave.
Au Revoir Portugal! é um retrato histórico de 5 episódios ( filmes), sobre a emigração portuguesa para França nas décadas de 50/60/70. Durante este período saíram do país, clandestinamente, cerca de dois milhões de portugueses. Tratou-se do maior êxodo e da maior hemorragia humana que alguma vez a História de Portugal conheceu.
Esta é portanto a história de todos esses homens que resolveram partir em busca de uma vida melhor para si e para as suas famílias, contadas na primeira pessoa. Relatos sofridos que mostram a forma dolorosa e arriscada como os portugueses partiam do país.
Esta é uma história sobre Portugal, uma história dos homens que o meu avó ajudou a levar para França, e é também a sua história e a minha, e estou certo que em qualquer outro ponto do Mundo o espectador encontrará um português com uma história parecida.
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Je tiens à remercier Victor Marques d’avoir accepté cette interview pour le blog « aldeia de gralhas »
Olà Victor,
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Mes parents viennent de Gondemaria et Avanteira, deux villages situés au centre du portugal vers Ourém, à 15 km de Fatima et 50 km de la mer la plus proche (Nazaré).
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
La première chose qui me vient c’est l’odeur des eucalyptus. Quand j’entre dans le village de ma grand-mère maternelle ce parfum me fait faire un bond dans mon enfance, c’est systématique !
Mes souvenirs sont tous liés à cette époque où nous allions nous baigner dans les lavoirs pendant que nos mères lavaient leur linge, où nous nous lavions les pieds au coin du feu avec grand père et plein d’autres petits souvenirs pittoresques.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
J’aime le Portugal comme on aime sa mère. Malgré que je sois né à Paris et que j’ai le cœur rempli de France c’est du sang portugais qui coule dans mes artères, je suis irrésistiblement attiré, j’y suis chez moi, je m’y sens légitime. Ce qui me fait aimer le Portugal c’est les gens que je connais là bas et qui t’accueillent toujours avec tendresse, c’est un cocoon en quelque sorte.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
Les fêtes de villages étaient attendues avec effervescence. Je me souviens des kilomètres parcourus à pied en pleine forêt avec ma sœur et une poignée d’amis. Heureusement le projet blair witch n’existait pas encore mais on s’amusait à se faire peur. Quand il m’arrive de refaire les mêmes trajets en voiture je me dis qu’on était vraiment dingues !
Aller un second parce que c’était trop bien l’époque « das descamisadas ». On se retrouvait le soir entre gens du village pour enlever la peau du maïs, boire « ginginha », chanter et écouter les vieux raconter des histoires de leurs temps ou les commérages. La tradition était d’aller chez chaque voisins qui avait du maïs et de l’aider à notre tour ce qui pouvait durer plusieurs soirs. Gamins on se cachait sous les peaux sèches et ados on draguait la jolie voisine ;-)
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Oui mais dés que je ne parle pas un long moment, j’ai du mal à trouver mes mots, les tournures grammaticales et même les conjugaisons ! J’ai été élevé par ma mère non francophone à l’époque alors j’ai parlé portugais avant d’entrer à l’école. Plus tard en primaire j’ai suivi des cours de portugais mais c’est là que ma rébellion anti communautariste a commencé ! J’ai toujours parlé portugais par la suite mais je n’ai commencé à chanter en portugais que vers l’âge de 19 ans. C’est là que j’ai réellement découvert mon attachement et mon amour profond pour cette langue. J’ai ensuite repris des cours avec mon amie Paula Gonçalves et depuis je navigue entre des moments plus ou moins lusophones. Il faut dire qu’avec la sortie de mon album j’ai du m’y remettre.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
Mon grand père paternel est arrivé à la fin des années 60 accompagné de son fils ainé (mon père). Ils ont travaillé dans les chantiers et vivaient dans les bidonvilles de Villiers sur Marne. Il y a de très beaux reportages sur la diaspora portugaise. As barracas comme ils les appelaient, étaient situés un peu partout en ile de France, les gens y arrivaient par connaissances, c’est ainsi que des personnes du même village se retrouvaient à 1800km de chez eux mais entourés et solidaires. Je suis très fière de mes parents et de leur courage, je suis sédentaire et confortable comparé à ce qu’ils ont du vivre. Ma mère à rejoint mon père au début des années 70 fuyant la dictature et je suis né en juillet 74 juste après la révolution.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu…
Oups j’ai un peu répondu dans la question précédente ! Par contre pour ce qui est de mon vécu il a été douloureux. J’ai subi, comme beaucoup, les préjugés, moqueries et sarcasmes ravageurs de mes camarades de classe toute ma vie scolaire. Très jeune, la question « tu préfère la France ou le Portugal ? » me mettait mal à l’aise car je ne comprenais pas pourquoi il fallait choisir. L’adolescence d’un petit Victor portugais a été riche en bagarres et conflits (en France mais aussi au Portugal). Et puis on s’habitue à être tantôt le portugais et tantôt le français, c’est une richesse formidable.
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Je suis Français. Je parle, pense et vi ici. Je suis culturellement intégré, Paris est ma capitale et je fais visiter cette ville à mes amis étrangers comme si c’était la mienne. Je suis français pour tout un tas de raisons inexplicables, je le ressens ainsi c’est tout. Malgré tout ma famille est portugaise, j’adore cette langue et je suis proche de tout ce qui concerne le Portugal mais je n’ai pas le désir d’aller y vivre. Avec l’âge par contre nous sommes rattrapés par des réalités telles que les héritages et partages de biens et je sais que mon futur est encore lié à ce pays pour longtemps et j’espère pouvoir transmettre cet amour pour mes racines à mes enfants.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Là tout de suite sans réfléchir je pense à un « pastel de nata » que j’ai mangé juste en bordure do Tejo sous un soleil éblouissant alors que je venais de me lever. Je sais ça fait cliché mais j’ai ce moment gravé dans mes rétines, va savoir pourquoi. Je pense à musique et tous les artistes que j’affectionne. Je pense à mes grands parents et leurs histoires, leurs légendes.
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
Je pense que non à cause de l’état d’esprit de jeunes. Je pense qu’à long terme je ne supporterai pas. Je sais aussi qu’il y a un grand nombre de personnes qui sont hostiles au retour des émigrés. Par contre y retourner de temps en temps ou même y rester quelques mois pour la promo de mon album par exemple… OUI !
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
Azeitona, açucar, oxala, le mélange des langues est une richesse culturelle savoureuse.
Merci Yvonne !
Victor Marques
Pour découvrir JAOARA
Rédigé à 14:26 dans Parole aux lusodescendants | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Mayra Andrade en concert à LA CIGALE à PARIS le 02 octobre 2009
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Rédigé à 18:35 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:37 dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Em vias de extinção o Burro de Miranda tem na Associação para o Estudo e Protecção do Gado Asinino (AEPGA) a esperança para a continuidade futura de uma raça oriunda das terras do Planalto Mirandês. A organização de passeios de burro; encontros entre os amantes do afável animal; o apadrinhamento de burros nascidos nos centros de acolhimento, são alguns das actividades da AEPGA, focadas por Miguel Novoa, responsável associaçao"
ler a entrevista do CAFE PORTUGAL AQUI
Photo de TIAGO BARATA
Site da Associação para o Estudo e Protecção do Gado Asinino AQUI
Rédigé à 13:07 dans Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 12:30 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 19:38 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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