Dalida "Mourir sur scène"
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Dalida "Mourir sur scène"
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Présentation du dernier livre de Manuel do Nascimento http://manueldonascimento.unblog.fr/
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Versão galega de Uxia do "Verdes são os Campos" poèma de Luis de Camões
Gala da Homenagem a Zeca Afonso, em Abril de 2007, na TV Galícia.
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Rédigé à 18:10 dans Ti Zefa | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Mário Botas tem permanecido no esquecimento, até agora...
O isolamento de Portugal contribuiu para a falta de acesso à informação no domínio das artes, o que levou a um atraso significativo do país neste campo. Portanto, Mário Botas cresceu num país ainda muito fechado sobre o Mundo. Mas, tendo consciência desse facto tentou actualizar-se. Os seus interesses eram vários desde a Literatura, a Arte, a Música, o Teatro ou a Medicina. Licenciou-se em Medicina, com alta classificação, dedicando-se à Arte devido a uma leucemia incurável. Iniciou a sua carreira artística em 1971. A sua obra reflecte os conhecimentos adquiridos e as conversas com os seus amigos. Com o aproximar da sua morte, as suas aguarelas assumem completamente «o descuidado rigor de um diário ou de uma confissão», segundo a sua última entrevista que concedeu a Almeida Faria, um mês antes de morrer. A sua obra é realizada num período de doze anos, até 1983, data em que morre.
Em Setembro de 1984 foi instituída a Fundação Casa-Museu Mário Botas na Nazaré." Facebook
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Les 15 danseurs/percussionnistes brésiliens du Balé de Rua reviennent enfin en France du 22 au 26 septembre au Casino de Paris. Une occasion à ne pas louper puisque la troupe repartira ensuite pour une tournée mondiale.
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Lorsque j’étais enfant, les fêtes religieuses du village étaient surtout pour moi l’occasion de mettre une jolie robe, de me retrouver attablée avec toute la famille autour d’un repas gargantuesque , de danser au son des haut-parleurs grésillant sur les derniers tubes à la mode , d’assister à la procession où l’on promenait des Saints décorés de tissus satinés aux couleurs flashies … mais de toutes les processions auxquelles j’ai pu assister avec mes parents si je devais en retenir une ce serait celle en l’honneur de Notre Dame de Fatima, et plus précisément la procession de l’Adieu.
Je me rappelle encore de l’émotion ambiante et des larmes de tous ces gens agglutinés à l’entrée de l’église qui agitaient leur mouchoir au passage de la Vierge qu’on ramenait à sa demeure. Je me souviens également des larmes de ma mère au son du cantique de l’Adieu, qu’elle ne parvenait plus à chanter étranglée par l’émotion.
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The Art of Noise "Moments in love"
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O meu nome é Carlos Domingomes. Nasci em França em 1980. A minha história é idêntica á de muitos portugueses. Os meus avós e os meus pais emigraram para França na década de 60 e 70. Em 1983, quando eu tinha apenas 3 anos de idade, os meus pais resolveram regressar a Portugal. O resto da família manteve-se em França, até aos dias de hoje. Vinte anos depois, em 2003, o meu avô faleceu. E foi só após a sua morte que descobri a sua verdadeira história: que Joaquim Gonçalves tinha sido um dos maiores passadores de homens a salto para França durante a ditadura Salazarista. Tinha passado milhares de homens, conterrâneos, desesperados, pobres, em busca de uma vida melhor para si e para as suas famílias, numa época em que sair do país sem autorização, era punido como crime muito grave.
Au Revoir Portugal! é um retrato histórico de 5 episódios ( filmes), sobre a emigração portuguesa para França nas décadas de 50/60/70. Durante este período saíram do país, clandestinamente, cerca de dois milhões de portugueses. Tratou-se do maior êxodo e da maior hemorragia humana que alguma vez a História de Portugal conheceu.
Esta é portanto a história de todos esses homens que resolveram partir em busca de uma vida melhor para si e para as suas famílias, contadas na primeira pessoa. Relatos sofridos que mostram a forma dolorosa e arriscada como os portugueses partiam do país.
Esta é uma história sobre Portugal, uma história dos homens que o meu avó ajudou a levar para França, e é também a sua história e a minha, e estou certo que em qualquer outro ponto do Mundo o espectador encontrará um português com uma história parecida.
Rédigé à 18:07 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Je tiens à remercier Victor Marques d’avoir accepté cette interview pour le blog « aldeia de gralhas »
Olà Victor,
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Mes parents viennent de Gondemaria et Avanteira, deux villages situés au centre du portugal vers Ourém, à 15 km de Fatima et 50 km de la mer la plus proche (Nazaré).
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
La première chose qui me vient c’est l’odeur des eucalyptus. Quand j’entre dans le village de ma grand-mère maternelle ce parfum me fait faire un bond dans mon enfance, c’est systématique !
Mes souvenirs sont tous liés à cette époque où nous allions nous baigner dans les lavoirs pendant que nos mères lavaient leur linge, où nous nous lavions les pieds au coin du feu avec grand père et plein d’autres petits souvenirs pittoresques.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
J’aime le Portugal comme on aime sa mère. Malgré que je sois né à Paris et que j’ai le cœur rempli de France c’est du sang portugais qui coule dans mes artères, je suis irrésistiblement attiré, j’y suis chez moi, je m’y sens légitime. Ce qui me fait aimer le Portugal c’est les gens que je connais là bas et qui t’accueillent toujours avec tendresse, c’est un cocoon en quelque sorte.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
Les fêtes de villages étaient attendues avec effervescence. Je me souviens des kilomètres parcourus à pied en pleine forêt avec ma sœur et une poignée d’amis. Heureusement le projet blair witch n’existait pas encore mais on s’amusait à se faire peur. Quand il m’arrive de refaire les mêmes trajets en voiture je me dis qu’on était vraiment dingues !
Aller un second parce que c’était trop bien l’époque « das descamisadas ». On se retrouvait le soir entre gens du village pour enlever la peau du maïs, boire « ginginha », chanter et écouter les vieux raconter des histoires de leurs temps ou les commérages. La tradition était d’aller chez chaque voisins qui avait du maïs et de l’aider à notre tour ce qui pouvait durer plusieurs soirs. Gamins on se cachait sous les peaux sèches et ados on draguait la jolie voisine ;-)
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Oui mais dés que je ne parle pas un long moment, j’ai du mal à trouver mes mots, les tournures grammaticales et même les conjugaisons ! J’ai été élevé par ma mère non francophone à l’époque alors j’ai parlé portugais avant d’entrer à l’école. Plus tard en primaire j’ai suivi des cours de portugais mais c’est là que ma rébellion anti communautariste a commencé ! J’ai toujours parlé portugais par la suite mais je n’ai commencé à chanter en portugais que vers l’âge de 19 ans. C’est là que j’ai réellement découvert mon attachement et mon amour profond pour cette langue. J’ai ensuite repris des cours avec mon amie Paula Gonçalves et depuis je navigue entre des moments plus ou moins lusophones. Il faut dire qu’avec la sortie de mon album j’ai du m’y remettre.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
Mon grand père paternel est arrivé à la fin des années 60 accompagné de son fils ainé (mon père). Ils ont travaillé dans les chantiers et vivaient dans les bidonvilles de Villiers sur Marne. Il y a de très beaux reportages sur la diaspora portugaise. As barracas comme ils les appelaient, étaient situés un peu partout en ile de France, les gens y arrivaient par connaissances, c’est ainsi que des personnes du même village se retrouvaient à 1800km de chez eux mais entourés et solidaires. Je suis très fière de mes parents et de leur courage, je suis sédentaire et confortable comparé à ce qu’ils ont du vivre. Ma mère à rejoint mon père au début des années 70 fuyant la dictature et je suis né en juillet 74 juste après la révolution.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu…
Oups j’ai un peu répondu dans la question précédente ! Par contre pour ce qui est de mon vécu il a été douloureux. J’ai subi, comme beaucoup, les préjugés, moqueries et sarcasmes ravageurs de mes camarades de classe toute ma vie scolaire. Très jeune, la question « tu préfère la France ou le Portugal ? » me mettait mal à l’aise car je ne comprenais pas pourquoi il fallait choisir. L’adolescence d’un petit Victor portugais a été riche en bagarres et conflits (en France mais aussi au Portugal). Et puis on s’habitue à être tantôt le portugais et tantôt le français, c’est une richesse formidable.
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Je suis Français. Je parle, pense et vi ici. Je suis culturellement intégré, Paris est ma capitale et je fais visiter cette ville à mes amis étrangers comme si c’était la mienne. Je suis français pour tout un tas de raisons inexplicables, je le ressens ainsi c’est tout. Malgré tout ma famille est portugaise, j’adore cette langue et je suis proche de tout ce qui concerne le Portugal mais je n’ai pas le désir d’aller y vivre. Avec l’âge par contre nous sommes rattrapés par des réalités telles que les héritages et partages de biens et je sais que mon futur est encore lié à ce pays pour longtemps et j’espère pouvoir transmettre cet amour pour mes racines à mes enfants.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Là tout de suite sans réfléchir je pense à un « pastel de nata » que j’ai mangé juste en bordure do Tejo sous un soleil éblouissant alors que je venais de me lever. Je sais ça fait cliché mais j’ai ce moment gravé dans mes rétines, va savoir pourquoi. Je pense à musique et tous les artistes que j’affectionne. Je pense à mes grands parents et leurs histoires, leurs légendes.
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
Je pense que non à cause de l’état d’esprit de jeunes. Je pense qu’à long terme je ne supporterai pas. Je sais aussi qu’il y a un grand nombre de personnes qui sont hostiles au retour des émigrés. Par contre y retourner de temps en temps ou même y rester quelques mois pour la promo de mon album par exemple… OUI !
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
Azeitona, açucar, oxala, le mélange des langues est une richesse culturelle savoureuse.
Merci Yvonne !
Victor Marques
Pour découvrir JAOARA
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Mayra Andrade en concert à LA CIGALE à PARIS le 02 octobre 2009
Découvrez Découvrez Mondomix.com, le magazine des Musiques et Cultures dans le Monde!
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"Em vias de extinção o Burro de Miranda tem na Associação para o Estudo e Protecção do Gado Asinino (AEPGA) a esperança para a continuidade futura de uma raça oriunda das terras do Planalto Mirandês. A organização de passeios de burro; encontros entre os amantes do afável animal; o apadrinhamento de burros nascidos nos centros de acolhimento, são alguns das actividades da AEPGA, focadas por Miguel Novoa, responsável associaçao"
ler a entrevista do CAFE PORTUGAL AQUI
Photo de TIAGO BARATA
Site da Associação para o Estudo e Protecção do Gado Asinino AQUI
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Rédigé à 12:30 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 19:38 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:54 dans Ti Zefa | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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"Karam” (edição Cumbancha 2009) é um disco de música tradicional mandinga que irá certamente projectar o nome de KIMI DJABATE em palcos europeus e norte-americanos. O Kimi Djabatéacaba de ver o seu álbum editado pela editora norte-americana Cumbancha, responsável pelo êxito internacional do malogrado Andy Palácio.
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« L’exposition ‘La Petite Fille de l’Immigrée’ (installation, photographies et documents vidéo) conçue par Elsa Pereira est présentée du 5 au 16 septembre, à l’Espace Malraux, à Joué-Lès-Tours (38).
«Au mois de juin de l’année dernière, j’ai rendu visite à ma grand mère. Elle habitait dans un petit patelin à côté de Bourges. Nous parlions ensemble et il m’a sauté aux yeux, pour la première fois, qu’elle ne parlait que portugais. Elle avait oublié le français» écrit Elsa Pereira. «Elle était redevenue portugaise. En une fraction de seconde, j’ai eu peur de la perdre et de ne pas l’avoir connue vraiment. J’ai eu peur de n’avoir jamais connu son histoire». C’est pour cette raison qu’Elsa Pereira a décidé de «lui parler intimement. Je lui ai demandé s’il était possible que je revienne quelques jours chez elle, à l’automne, pour que nous parlions un peu ensemble.
Elle ne m’a pas répondu franchement, mais elle n’était pas contre». Elsa Pereira est revenu au mois d’octobre. «J’ai passé trois jours chez elle, avec elle et elle m’a raconté son voyage, son arrivée en France et la vie difficile au cul des vaches ici dans le Berry. En partant, émue aux larmes, je lui promis de faire un spectacle sur nos deux vies, il s’appellerait ‘La Petite Fille de l’Immigrée’, elle m’a souri perplexe, je suis partie revigorée et heureuse».
La grand-mère d’Elsa Pereira est morte deux mois plus tard, la nuit de Noël. «J’ai appris que je n’avais pas de temps. La fragilité et l’imprévisibilité de la vie m’avaient fait signe» explique la comédienne. «C’est donc avec urgence que j’ai commencé à contacter d’autres grands-mères portugaises venues en France, puis d’autres grands-pères puis ensuite d’autres petits-enfants. Et le projet de ‘La Petite Fille de l’Immigrée’ était né».
Pour pouvoir être libre de se déplacer, partout, tout le temps, pendant un an, Elsa Pereira a choisi d’utiliser le matériel qu’elle avait chez elle: son portable, une petite caméra, un pied de caméra, un micro et son appareil photo.
Cette exposition n'est pas la retranscription d'un travail sociologique mais «une rêverie intime en mémoire de ma grand mère portugaise».
Le spectacle, quand à lui, sera présenté les 23 et 24 février à l’Espace Malraux, à Joué-Lès-Tours. » article extrait du LUSOJORNAL
Rédigé à 12:02 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 10:10 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Martika "Toy Soldiers"
Rédigé à 16:00 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lisboa vu par JORGE ALFAR
un émorme coup de coeur pour ce photographe
Lisboa - Jardim da Estrela
Lisboa - Elevador da Bica
Lisboa - Rossio
Découvrez ses photos sur JORGE ALFAR
Rédigé à 19:39 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Altina Ribeiro est l’auteur du livre « Le Fado pour seul bagage ».Ce premier roman narre son histoire personnelle, son parcours, sa vérité. Ce roman est fragmenté en plusieurs thèmes clés, représentant des faits, des personnages, de A découvrir.
Photo de Tiago B.W. "Estrada de ferro para o nada"
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ?
Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région...
Mes parents sont de Trás os Montes. J'y suis née également. C'est une région montagneuse parsemée de petits villages au charme fou, devenus malheureusement déserts.
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
J'adore le Portugal. Quand on y va, on le traverse du nord au sud. J'aime les paysages du nord, Trás os Montes et Minho (région très verte où coulent lacs et rivières). J'aime beaucoup Lisboa, son Alfama, son Tejo, ses plages de sable fin. Les Portugais sont très accueillants et se mettent en quatre pour vous rendre service.
Raconte-nous un souvenir de vacances au Portugal lorsque tu étais enfant ?
La première année que je suis retournée au Portugal, cinq ans après mon immigration en France, j'avais 14 ans. Lorsque ma soeur et moi quittâmes la maison d'une cousine qui nous avait hébergées pour la nuit pour rejoindre la nôtre, les gens du village étaient si contents de nous voir qu'il nous a fallu plusieurs heures pour parvenir à notre destination. Nous étions l'attraction du village car nous étions les premiers enfants à être partis.
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
Je parle, je lis et j'écris portugais, avec toutefois quelques lacunes. J'ai commencé ma scolarité dans mon village et j'ai pris des cours de portugais en France. Je le parle dès que j'en ai l'occasion pour ne pas oublier ma langue maternelle.
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents et tes parents en France ?
Mon père est arrivé en France en 1963, clandestinement. Ses compagnons de voyage et lui ont fait appel à un passeur. Son voyage, à pied, dans des camions à bestiaux, a duré une semaine.
Que sais-tu de l'émigration portugaise en France ? Parle-nous de ton vécu …
L'immigration portugaise, un vaste sujet qui demande plus que quelques lignes. C'est d'ailleurs pour cela que j'en ai écrit un livre... Je suis arrivée en France en 1969. Mon père est allé nous chercher ma mère, ma soeur et moi. Notre trajet s'est déroulé en voiture, mais nous devions contourner les frontières à pied.
Te sens-tu plus français ou portugais ?
Je me sens portugaise malgré ma naturalisation française pour des raisons pratiques.
Si je te dis 'le Portugal', à quoi penses-tu ?
Le Portugal = soleil, accueil incomparable.
Aimerais-tu vivre au Portugal ? Pourquoi ?
J'aimerais vivre au Portugal pour le climat et vivre dans mon pays.
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ? Passei umas férias maravilhosas este ano no meu país.
Merci Altina !
Rédigé à 15:49 dans Parole aux lusodescendants | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"«Slow Time Love» é o novo single dos Portuenses Blind Zero e tem corrido muito nas rádios durante todo o verão. O tema serve de apresentação ao novo disco «Luna Park», que será editado ainda neste mês de Setembro.
O sétimo álbum de originais surge quatro anos após «The Night Before And A New Day». Este ano, a banda liderada por Miguel Guedes, comemora já 15 anos de carreira com este muito prometedor LUNA PARK." ZION
Cá vai a musiquinha... Espero que gostem
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Brigitte Virtudes sera en concert le 14 septembre à 20h30 auThéatre Montmartre Galabru
4 rue de l’armée d’orient, Paris, Ile-de-France 75018
Co-récital Maïk Darah / Brigitte Virtudes Deux univers, deux chanteuses, un seul spectacle...
Brigitte Virtudes née au Portugal, a passé son adolescence à Lyon. Le théâtre est sa passion.
Passant par le conservatoire de Lyon puis par la rue Blanche, elle peaufine son apprentissage avec le chant. Doublages, tournages, scènes, concerts classiques, comédies musicales; cette diversité lui permet de continuer avec passion son métier de comédienne et de chanteuse.
Découvrez Brigitte Virtudes et Maïk Darah sur leurs sites
http://www.brigittevirtudes.com/
http://www.myspace.com/luzalma
http://www.myspace.com/maikdarah
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