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Après avoir participé à des projets de jazz et de musique populaire brésilienne et avoir écrit des paroles pour plusieurs fadistes, Cátia Mazari Oliveira présente son propre projet musical, Rua das Marimbas nº 7.
Cet album chante, selon les dires de l’artiste, « ce qui fait mal, ce qui fait rire, ce qu’apportent les jours quand la vie s’écoule en eux : de la délicatesse, du respect, des relations, des rêves et de l’amour ».
Il inclut des thèmes tels que « No Dia do Teu Casamento » et « Adamastor ».
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Du 28 octobre au 1er Novembre
Une nouvelle édition du Festival consacrée cette année au Portugal et plus largement à la lusophonie avec au programme : l'inimitable voix du fado Cristina Branco qui ouvrira le festival (28/10), le Portugais Salvador Sobral (29/10) et la plus française des chanteuses brésiliennes Flavia Coelho (29/10) qui présenteront leurs nouveaux albums, la grande dame de la chanson amazonienne Dona Onete (30/10) et les premiers concerts en France de deux artistes angolais : le guitariste Waldemar Bastos (31/10) et la chanteuse Aline Frazao (1/11).
Le festival propose également une soirée spéciale consacrée au label portugais Enchufada à La Maroquinerie avec un concert du Cap-verdien Dino D'Santiago et de Branko (créateur du label) le vendredi 1er novembre.
Le site officiel https://lesmusesheliconiennes.fr/
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SOPA DE PEDRA é um grupo de investigaçao musical composto por 10 mulheres que, juntas desde pequenas, criam e interpretam à capella arranjos orginiais da música popular portuguesa.
Na música tradicional atraiu-as o propósito intrínseco de juntar as gentes e falar sobre a vida de um povo e por meio de harmonizações e arranjos polifónicos exploram a sua riqueza remetendo-a para o contexto da música do mundo actual.
O reportório inclui sobretudo música de transmissão oral das várias regiões portuguesas, estendendo-se dos cânticos mirandeses de Trás-os-Montes às baladas açorianas, das cantigas de adufeiras da Beira Baixa ao Cante alentejano, passando também pelo reportório de cantautores como Zeca Afonso, Amélia Muge, João Lóio ou grupos como Almanaque e GAC. Há também nele lugar para músicas tradicionais de outros países ou temas originais.
Tal como no conto popular da Sopa de Pedra, a criação musical começa numa base simples - uma pedra, uma tradição, uma melodia, um cantar - à qual se misturam novas vozes, compondo uma harmonia viva que de cada vez que se canta, ou a ela alguém se junta, se reinventa.
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Carminho está de regresso com um novo disco, chama-se "Maria" e é uma homenagem às raízes do fado e da identidade portuguesa.
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Estreados em 2014 com "Projecto 675", os Lavoisier são um duo formado por Patrícia Relvas e Roberto Afonso. Estudaram nas Caldas da Rainha e aventuraram-se depois musicalmente por Berlim. O contacto com as recolhas de Michel Giacometti abriu-lhes horizontes e, num cruzamento entre raízes tradicionais portuguesas, modernismo brasileiro e electrónica, criaram a sua própria linguagem. "É Teu", o seu segundo álbum, foi lançado em finais de 2017, no Festival do Silêncio. "Sou povo", tema que fecha o disco, tem agora um videoclipe, aqui em estreia, realizado por Cláudia Batalhão e com a participação do actor Eduardo Frazão.
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https://inespimenta.bandcamp.com
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Cinderella Cyborg de Júlio Resende
https://www.rtp.pt/antena1/discos/julio-resende-cinderella-cyborg_10400
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le Samedi 08 Décembre 2018 à 20:30
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Catherine Ribeiro naît à Lyon le 22 septembre 1941 dans une famille d'origine portugaise. Elle commence sa carrière de chanteuse dans un style doublement influencé par le folk de Bob Dylan, dont elle reprend des titres adaptés en français par Hugues Aufray, et les grandes voix d'expression française que sont Jacques Brel, Édith Piaf et Léo Ferré, comme en témoignent quatre super 45 tours parus entre 1964 et 1966.
Celle que l'on appelait "la pasionaria rouge" est une femme de spiritualité. Dans le passé, elle fit des retraites chez les carmélites, les pères Carmes et les bénédictines : "Pour le silence et parvenir à me ressourcer", confesse-t-elle. Hindouiste dans les années 60, elle lit encore chaque jour quelques versets de la Bhagavad-Gîtâ et nous en livre au hasard un verset : "Je suis la force affranchie du désir et de la passion." Un hasard qui correspond bien à cette artiste, dont le groupe Catherine Ribeiro + Alpes, créé après 1968 avec le compositeur Patrice Moullet, accéda au premier rang de la pop musique française. Des textes puissants servis par une voix grave, violente, enveloppée de tendresse par ses inflexions et ses harmoniques.
La chanteuse est envoûtante. Elle fit ses premiers pas dans le temple comme comédienne. Les carabiniers de Jean-Luc Gordard demeure dans la mémoire des cinéphiles, mais elle en parle peu. Sa présence fortuite sur la photo du siècle prise par Jean-Marie Périer le 12 avril 1966 à 16 heures (Elle est tout en haut, entre Hughes Aufray et Eddy Mitchell) ne fait pas d'elle pour autant une chanteuse yé-yé : "Cela n'évoque rien du tout pour moi", avoue-t-elle.
La vraie naissance de Catherine Ribeiro est en octobre 1969 : "Je n'ai commencé à vivre que lorsque je suis montée sur scène." Elle remplira les salles, sera ovationnée pendant quarante ans. C'est parfois à la bougie qu'elle éclaira ses concerts : "J'avais lu La psychanalyse du feu de Gaston Bachelard, mais ce n'est pas la seule raison à cela. Les groupes anglo-saxons recouraient à une débauche de lumières et, nous, nous avions trois fois rien. Je suis allée au bout de cette logique." La sécurité s'arrachait les cheveux et menaçait de fermer la salle, au risque de voir le public tout casser : "Pour peu qu'un léger courant d'air arrive des coulisses, les bougies se consumaient plus vite que prévu, et nous terminions dans la pénombre."
L'artiste déclina par deux fois la proposition de Bruno Coquatrix de passer à l'Olympia pendant deux semaines, parce qu'elle ne voulait pas chanter deux jours de suite : "Ma voix n'aurait pas tenu, elle n'était pas électrifiée au regard du volume sonore des musiciens." Cela la priva d'une visibilité. Elle refusa de chanter en play-back orchestre à la télévision, parce qu'on ne voulait pas des musiciens. Elle reconnaît à Philippe Bouvard le mérite de l'avoir bien reçue : "Il a été éminemment sympathique et chaleureux à mon égard."
Pas sectaire, mais pas docile, Catherine Ribeiro se battra pour le statut des artistes. En mai 1979, elle fait dix jours de grève de la faim pour faire reconnaître "le droit de l'artiste interprète", après la sortie de son album dans lequel elle chante Prévert. Elle supportait mal aussi la mention qui figurait sur tous les disques dont elle était l'auteur : "Les textes de ces chansons n'engagent que leur auteur." François Mitterrand vint la voir avec Jack Lang. Une fois élu président de la République, il ne la perdra pas de vue et en 1982, alors qu'elle remplit pendant trois semaines Bobino, il se glisse discrètement dans la salle.
Politiquement engagée pour défendre les opprimés, elle ne sera pourtant jamais encartée. Catherine Ribeiro fut initiée à l'histoire de la classe ouvrière à l'OCI (Organisation communiste internationaliste). C'est Bernard Murat qui la parraina : "L'ineffable Bernard Murat, dit-elle. Il y avait aussi Pierre Arditi et Nadine Trintignant." Aujourd'hui, la politique la passionne toujours, mais elle avoue avoir voté François Hollande "par dépit".
La dernière apparition en public de Catherine Ribeiro à Paris remonte au 11 janvier 2008, devant une salle comble. Des centaines de spectateurs furent refoulés sur le trottoir du boulevard Voltaire par manque de place. Était-ce un adieu ? "Je ne peux pas l'affirmer aujourd'hui", avoue Catherine Ribeiro. "Cela m'est déjà arrivé, puis un jour l'occasion se représente et je repars. Je me sens mieux sur scène que dans ma chambre à coucher."
Article de Jean-Noël Mirande, publié le 25/05/2013 | Le Point.fr
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O Senhor Doutor veste fados, bossas e outros roques com um dandismo de roulote e nódoas na jaqueta. Canta quem quer parecer, fazendo relatos dos mais típicos males da vida, ao ritmo de um burlesco optimismo.
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Há uns anos ninguém lhe sabia o nome. Mas já se torna claro que é o maior escritor de canções português da sua geração. Desde João Peste ou António Variações que não havia esta vibração e frescura que só quem canta com a verdade na voz consegue comunicar. O seu poder resulta, acima de tudo, de uma leitura de crítica e lucidez de ímpeto inquebrantável. Bernardo Fachada diz-nos que “há o cuidado de não substituir uma convenção por outra. Destruir sem fazer, sem ser moralista”. Aprendeu-o com a arte pop. “Basta documentar as convenções que elas fazem o trabalho por si (…), como se fosse um mundo sem cura”.
Esta visão incisiva das coisas só é possível aos intertextuais, e o percurso de aprendizagem do Bernardo é de facto raro e precoce. Cresceu com a música que o pai trazia para casa. Lembra 1985 como o ano em que lhe chegaram montanhas de discos vindos do Brasil, e que com eles trouxeram a educação musical da sua infância. Aos 4-5 anos tinha como dieta auditiva Toquinho, Paralamas do Sucesso, Tom Waits, Leo Jaime, Gentle Giant, Nina Simone ou os Specials, o que teria de dar mossa benigna. Após esse processo, foi com os CDs de Cohen, Dylan, ‘Graceland’ de Simon e os Talking Heads que foi levado até à pós-puberdade, época em que, com ‘Os Entre e os Contraentes’ de Alberto Pimenta, mais tarde o professor mais marcante que teve, começou, como diz, “a ler a sério”.
Esta educação rodeada pelas artes foi acompanhada por um percurso de estudo de 12 anos em formação musical e vários instrumentos, que arranca no violino, passa para o piano, acabando no final da sua adolescência no Hot Clube. Diz: “comecei a fazer objectos com forma de músicas”, “piadas privadas de grupo que começaram a ficar universais”, gradualmente, algum tempo após ter começado a estudar e tocar bossa nova. Mas a revelação de que ia ser músico, que “não é profissão de sonho, mas sim a que [lhe] calhou”, só acontece quando “encontra o som”, o seu – o único que importa, claro. Conseguiu,
inesperadamente, aglutinar “o destino e feitio, questões emocionais e sociais, que coincidiram todas numa só actividade”.
Comparando com a música portuguesa com que cresceu, de Zeca Afonso, aos Mler Ife Dada até aos Pop Dell’ Arte, tem noção que atravessou uma época em que houve uma quebra grande na pertinência da produção nacional, sendo que também “não tinha havido nada de especial antes”. Pensa “muito sobre limites”, questionando-se da existência de uma praga, que convenhamos é secular e nacional, do porquê de haver “culturas que parecem produzir gajos que encaramos como sendo de um nível inacessível”. A persistência em perseguir por um lugar no nosso quintal nunca foi um objectivo, e a conclusão que tiramos é que só lhe terá dado mais fome de existir.
A obra de B Fachada vive destas leituras e de uma crítica, que faltava à canção nacional, que permanece uma das formas mais vitais, naturais e poderosas de comunicação. Que quase tenhamos esquecido esta função da música em Portugal é só mais uma razão para a pertinência do seu trabalho. As suas letras, claro, brilhantes, relatam de forma humana e contemporânea, o que é viver na Lisboa e no Portugal de hoje, com seriedade e com coração. Afinal, B Fachada mede “as consequências” da sua música “a nível e impacto pessoal. Tenho feito os possíveis por fazer coisas que me façam comover”.
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Le cante alentejano est un genre de chant traditionnel en deux parties pratiqué par des chorales amateurs dans le sud du Portugal, qui se distingue par ses mélodies, ses paroles et son style vocal et se pratique sans accompagnement musical. Les chorales peuvent compter jusqu’à trente chanteurs répartis en groupes. Le ponto commence le chant dans un registre grave, suivi par l’alto qui, dans un registre plus aigu, reproduit la mélodie, à laquelle il ajoute souvent des fioritures, une tierce ou une dixième au-dessus du ponto. L’ensemble de la chorale prend alors le relais, en chantant les strophes restantes en tierces parallèles. L’alto dirige la chorale de sa voix qui domine le groupe tout au long du chant. Un vaste répertoire de poèmes traditionnels accompagne des mélodies existantes ou récemment composées. Les paroles abordent des thèmes traditionnels tels que la vie en milieu rural, la nature, l’amour, la maternité et la religion, ainsi que les changements culturels et sociaux. Le cante est un aspect fondamental de la vie sociale de toutes les communautés de l’Alentejano, et imprègne les rassemblements dans les lieux publics aussi bien que privés. La transmission se fait principalement lors des répétitions des chorales, des anciens membres aux plus jeunes. Pour ses praticiens et ses aficionados, le cante traduit un fort sentiment d’identité et d’appartenance. Il renforce également le dialogue entre les générations, les sexes et les individus de différents milieux, contribuant ainsi à la cohésion sociale.
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O músico Jorge Palma edita no dia 1 de dezembro o álbum “Só ao Vivo”, resultando da gravação dos concertos que realizou no ano passado, no âmbito dos 25 anos do álbum “Só”, anunciou esta quarta-feira a Warner Music
A edição de “Só ao Vivo” inclui, além do CD, um DVD, que inclui um apontamento documental de Jorge Palma em discurso direto.
“No ano passado, a propósito do 25.º aniversário da edição de ‘Só’, disco de voz e piano gravado em estúdio como se fosse num recital sem audiência (cada canção interpretada do princípio ao fim, sem interrupções, colagens ou ‘over-dubs’), disco esse que tem vindo a merecer cada vez mais o apreço do público, surgiu a ideia de se realizar uma série de seis concertos com base no mesmo conceito: um grande piano e eu, executando os temas de ‘Só’ e, já agora, muitos outros, desta vez em palco e para vastas audiências”, afirma Jorge Palma no livrete que acompanha a edição.
O CD inclui os temas da edição original de “Só”, exceto “Jeremias o fora da lei”, e aos quais se juntam “O lado errado da noite”, “Passos em volta” e uma versão de “Avec le temps”, do francês Leo Ferré (1916-1993). O DVD apresenta sete temas gravados nos espetáculos, em que além de repertório de Jorge Palma e da versão de “Avec le temps”, existe uma outra versão, de “Bird on the wire”, de Leonard Cohen (1934-2016).
“O projeto resultou em pleno, foram noites intensas — duas no Centro Cultural de Belém, em Lisboa, duas na Casa da Música, no Porto, uma no Convento São Francisco, em Coimbra, e a última no Teatro das Figuras, em Faro — e a todo o processo, desde o planeamento, organização e execução até à qualidade e minúcia do trabalho de conceção e projeção vídeo e captação de som e imagem, sem esquecer o entusiasmo do público, seguiu-se uma rigorosa fase de pós-produção, criação e execução de capa e interiores”, remata o músico.
A canção “O meu amor existe” abre o alinhamento do CD que totaliza 16 temas, entre eles “Com uma viagem na palma da mão”, “Na terra dos sonhos”, “Onde estás tu, mamã (canção de Lisboa)”, “Frágil”, “Dizem que não sabiam quem era/O fim” e “A gente vai continuar”.
O DVD inclui sete canções: “Dá-me Lume”, “Essa miúda”, “À espera do fim”, “Bairro do amor”, “Avec le temps”, “Bird on the wire” e “Só”, para além do testemunho de Jorge palma.
O pianista, cantor e autor Jorge Palma, de 67 anos, está a celebrar 45 anos de carreira. observador.pt
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SOPA DE PEDRA é um grupo de 10 mulheres que criam e interpretam à capella arranjos orginiais da música popular portuguesa.
Na música tradicional atraiu-as o propósito intrínseco de juntar as gentes e falar sobre a vida de um povo e por meio de harmonizações e arranjos polifónicos exploram a sua riqueza remetendo-a para o contexto da música do mundo actual.
O reportório inclui sobretudo música de transmissão oral das várias regiões portuguesas, estendendo-se dos cânticos mirandeses de Trás-os-Montes às baladas açorianas, das cantigas de adufeiras da Beira Baixa ao Cante alentejano, passando também pelo reportório de cantautores como Zeca Afonso, Amélia Muge, João Lóio ou grupos como Almanaque e GAC. Há também nele lugar para músicas tradicionais de outros países ou temas originais.
Tal como no conto popular da Sopa de Pedra, a criação musical começa numa base simples - uma pedra, uma tradição, uma melodia, um cantar - à qual se misturam novas vozes, compondo uma harmonia viva que de cada vez que se canta, ou a ela alguém se junta, se reinventa.
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André nasceu a 26 de Outubro de 1984, na Marinha Grande, Portugal. André é um compositor emergente com uma forte identidade e uma invulgar capacidade de trabalho. Depois de concluir um curso de produção, André Barros rumou à Islândia para trabalhar no estúdio Sundlaugin, fundado pelos Sigur Rós. Mas respirar a mesma atmosfera que este projecto que tanto admira não o impediu de descobrir a sua própria voz como compositor e pianista, voz que possui as distintas marcas de uma identidade singular.
“Circustances”, lançado em finais de 2013 pela Omnichord Records, mereceu elogios da imprensa especializada e apresentou no panorama nacional a sua visão musical, nostálgica, profundamente poética, tranquila e mágica. Uma visão apoiada em melodias fundas que evocam memórias mais ou menos difusas. Essa capacidade que a sua música tem de evocar imagens levou a que vários convites fossem dirigidos a André Barros. A sua banda sonora para a curta metragem Our Father da norte-americana Linda Palmer, com Michael Gross no papel principal, é um dos resultados desse enamoramento pelo grande ecrã.
Vencedor do prémio para melhor banda sonora no Los Angeles Independent Film Festival Awards, atribuído no início de 2015, pelo seu trabalho na curta-metragem "Our Father", de Linda Palmer.
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João Batista Coelho, ou melhor, Slow J é um músico português que nasceu e viveu na cidade de Setúbal até aos 8 anos. Passou os 12 anos seguintes a mudar de casa, tendo vivido em locais como Carcavelos, Alenquer e Cascais. Foi depois para Londres, onde se dedicou a fazer música sob o pretexto de estudar Engenharia de Som.
Slow J foi a revelação do ano de 2015, quando surgiu com o seu primeiro EP, onde se notou algo fora do normal, caraterístico do artista.
É assim que J passa de um desconhecido a um criador único de uma nova vertente da música portuguesa. As suas produções e misturas são muito limpas e fáceis de entrar no ouvido, bem como a sua voz que é o elo de ligação para uma grande harmonia e calma que é o resultado final.
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Sambado cresceu entre o Alentejo e o Algarve. Vida em movimento, em mais que um sentido. Entre a casa da mãe e a casa do pai, entre o hip hop que ouvia no bairro social de Lagos em que crescia, e no qual teve as primeiras experiências enquanto músico, e o rock anglo-saxónico que o pai lhe passava em compilações ao fim-de-semana. Aos 19 anos, chegou a Lisboa, para estudar Dramaturgia na Escola Superior de Teatro e Cinema. E esse foi, sem Filipe o saber, o primeiro passo para chegar onde o encontramos agora. publico.pt/
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Amor eu não vou mudar,
Tantas guerras já sessei
Procurei-te em vão eu sei
Mas por hoje não vai dar
Pensar que tudo terminou
E mim nada ficou
E eu duvidei
Que este dia chegaria
E sem receio ou cobardia
Nem hesitei
Hoje sou livre
Livre
E hoje sou livre
Livre
Sou livre para dizer basta
Livre como quem se afasta
De um sentimento que me arrasta
Para longe do que eu quero dar
Versus 2
Encontrei o meu lugar
Distante do teu olhar
Das juras do vou mudar
Bem longe vou respirar
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A atividade concertística de Joana Gama (Braga, 1983) desdobra-se em recitais a solo, colaborações com diferentes agrupamentos portugueses e concertos com orquestra. Em 2010, na classe de António Rosado, concluiu o Mestrado em Interpretação na Universidade de Évora, onde prossegue estudos de Doutoramento sobre Música Contemporânea Portuguesa para Piano como bolseira da FCT.
Desde a sua participação nos concertos Peças Frescas, no Teatro São Luiz, tem tocado música portuguesa com muita regularidade, não só na estreia de obras como na persistência em tocar obras já estreadas. Colaborou com compositores como Luís Tinoco, António Pinho Vargas, Eurico Carrapatoso, Carlos Marecos, João Godinho, Amílcar Vasques-Dias, Pedro Carneiro, Diogo Alvim, Fernando Lobo, Ana Seara, Tiago Cutileiro.
Presença regular nas principais salas portuguesas, em 2008 foi vencedora, na categoria de piano, do Prémio Jovens Músicos na sequência do qual foi solista com a Orquestra Gulbenkian e a Orquestra do Algarve. Tem igualmente colaborado com a Orquestra Metropolitana, Sond’Ar-te Electric Ensemble, Orchestrutopica, Orquestra de Câmara de Cascais e Oeiras e Orquestra Sinfónica Juvenil.
Como pianista e performer, nos últimos anos Joana tem estado envolvida em projetos que associam a música às áreas da dança – “Danza Ricercata” e “27 Ossos” de Tânia Carvalho; “Trovoada” de Luís Guerra, “Pele” da companhia Útero -, do teatro – “Benny Hall” de Esticalimógama -, da fotografia e do vídeo – “Antropia”, “Linha” e “terras interiores” de Eduardo Brito -, e do cinema – “La Valse” de João Botelho, ”Incêndio” de Miguel Seabra Lopes e Karen Akerman e “A Glória de fazer Cinema em Portugal” de Manuel Mozos.
QUEST, duo de piano e electrónica partilhado com Luís Fernandes, estreado no Theatro Circo, em Braga, passou por festivais como Novas Frequências (Rio de Janeiro) e MADEIRADIG. Editado pela Shhpuma, foi considerado um dos melhores álbuns de 2014 por diversos críticos portugueses.
Em 2016, com o apoio da Antena 2, Joana Gama dedicará boa parte do seu tempo a SATIE.150, uma serie de concertos e eventos espalhados por Portugal que assinalam os 150 anos do nascimento do excêntrico compositor francês Erik Satie.
Talvez por se ter iniciado na música e no ballet em simultâneo, Joana Gama convoca para o acto de tocar piano uma particular expressividade, como se a postura e os graciosos movimentos que aprendeu na dança lhe tivessem ficado marcados no corpo.
Rédigé à 15:34 dans musica classica lusofona, Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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