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Rédigé à 12:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Marta Teives est une illustratrice portugaise installée à Lisbonne. Après avoir étudié à l'École des Beaux-Arts de l'Université de Lisbonne, elle a commencé à travailler dans l'animation traditionnelle, tout en se familiarisant avec l'illustration. Son travail est commandé par un groupe diversifié de clients, principalement dans l'édition, l'éditorial, la publicité et la diffusion. Elle aime travailler sur des projets secondaires, comme dessiner sur place et faire des bandes dessinées.
Rédigé à 12:32 dans illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
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Photo de Paulo Patoleia
Il a des nouvelles qui vous laissent sans voix, sans forces... Antero de Alda avait la cinquantaine, c'était un photographe, un poète, un artiste accompli.
Je l'ai découvert il y a 10 ans... j'ai découvert avec émerveillement ses photos, ses visages de femmes et d'hommes du Nord du Portugal, à la fois dures et tendres. Car Antero aimait les gens, il ne se contentait pas de les photographier, il en écrivait l'histoire.
Et j'ai partagé son travail pendant des années ainsi que celui de Gérard Fourel
Puis ils se sont rencontrés.
De cette rencontre est née une exposition à Montalegre. Deux talents réunis portés par l'amour de ces terres montagneuses et de ses gens.
Antero m'avait offert un très beau livre de photos "retratos do fim de século" de Mauricio Abreu.
Mais il ne s'était pas contenté de cela, il m'avait envoyé un enregistrement, un petit film rien que pour moi...
Il s'était rendu avec sa caméra à Gralhas, le village de mes parents, pour rencontrer ma grand-mère.
Celle-ci, méfiante, n'avait pas souhaité se montrer à la caméra, alors il a filmé le village jusqu'à la porte de sa maison.
Tout cela joliment monté avec une jolie musique.
Voilà qui était Antero de Alda, un homme talentueux, passionné et généreux ...
Tu vas me manquer.
Se Antero tivesses nascido em Paris, Londres ou Berlim, serias lembrado na galeria dos artistas inesquecíveis, pelas tuas fabulosas performances de causas, de Inovação, Resistência, Humanismo mas também na Poesia em vertentes aonde eras mestre (interativa) e na procura incessante da beleza das pessoas desde as inspiradoras Valquírias as transfiguraçoes dos rostos mais envelhecidos, dos registros fotográficos focados na diversidade das ancestrais tradições deste povo esquecido desde o Barroso a Trás os Montes.A entrega e envolvimento nos teus projetos pessoais e no dos amigos e alunos nos quais tenho a honra de me incluir. A minha gratidão será eterna, enfim, com a tua inesperada morte, perdeu-se um ser humano especial e um multifacetado Artista de enorme sensibilidade, ainda tinhas muito para nos dar...mas espero que um dia saberão reconhecer-te e acarinhar, neste pequenino jardim a beira mar plantado. Quis o destino que ficasses sepultado junto a outro grande poeta Amarantino (Teixeira de Pascoais), sei que isso te agradaria se pudesses ter escolhido, um inté, fiel amigo, Antero de Alda.
Texto de Paulo Patoleia
J'ai fait la connaissance d'Antero il y a tout juste 10 ans. Nous avions en
commun l'attachement au Barroso et tout ce que cette région dégage
d'humanité. Nous avions envie avec cette pratique commune qu'est la
photographie d'exprimer nos sentiments fraternels, lui d'ici, moi
d'ailleurs. Son départ me rend triste et il me manque quelqu'un au Portugal.
En souvenir d'Antero, ces quelques photos de moments partagés.
Texte de Gérard Fourel
Photo de Gérard Fourel
Antero de Alda et Gérard Fourel
Rédigé à 12:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 11:54 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 11:49 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
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Um homem sentado numa tasca recorda, depois de almoçar com velho amigo que lhe deixa motivos concretos para isso, pequenas e médias histórias de uma infância passada em bairro popular de Lisboa. Enquanto se ouve fado surrealista, interpretado por António Zambujo e com música original de João Lucas, várias cenas do passado parecem comovê-lo, entristecê-lo e alegrá-lo, enfim, atormentá-lo. A experiência deixa-lhe um amargo de boca, mas não moralidade: é impossível crescer sem sacrificar a inocência.
Rédigé à 11:37 dans Culture, FADOS, illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
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Cidalia Alves est passée de l’art culinaire à l’art contemporain. Elle a tenu pendant dix ans deux restaurants mêlant art de la table et expositions d’œuvres artistiques peintures et images.
Cela dit, un peu avant l’image il y a la peinture et surtout des rencontres. D’abord avec le peintre Hans Hartung et sa femme Anna-Eva Bergman qui lui ouvrent un regard vers la peinture abstraite puis André le Manchec qui lui fait découvrir la pictographie dans son atelier de Vence.
Cidalia va également suivre des cours de l’Académie libre de Peinture dirigée par le peintre néo-impressionniste Jean Kirsch.
Pourtant, c’est bien l’image qui la passionne depuis toujours et son apprentissage se fait dans le prestigieux Studio Appollo ou elle y apprend la photographie en laboratoire, en studio mais également la photographie industrielle.
Elle y travaille pour des enseignes et des personnalités de renom.
Depuis 30 ans, elle affirme une technique mixte qui s’affranchit de la frontière entre peinture et photographie. Elle s’inspire de la nature, de la matière, de la texture mais aussi de « l’urbain » pour réaliser ses photographies à partir de tirages, marouflé sur toile, sur bois ou sur dibond, et y ajoute parfois des textures sur le support final. parisetudiant.com
Rédigé à 11:30 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
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Originale? Osée? Burlesque? … À Lisbonne on vit l'amour et ici, on ressent que l'originalité le célèbre aussi. Plusieurs lieux en un seul : un bar, une librairie érotique, des coins et des recoins pour les plus timides, des cocktails savoureux, des conversations et des distractions différentes chaque jour.
Le thème et la singularité de ce lieu sont captivants. Autrefois, il s'agissait d'une pension décadente, actuellement il s'agit d'un endroit digne pour voir un spectacle burlesque, pour boire un de ses cocktails originaux ou pour être avec des amis.
Allez jusqu'à la Pensão Amor et découvrez ses recoins avec vos amis, votre petit(e)-ami(e), tout(e) seul(e)… ici, vous serez accueillis avec un sourire, provenant de personnes qui ont l'esprit ouvert et qui ont apporté à la ville de Lisbonne et à cet ancien bâtiment – une nouvelle vie qui a pour base l'idée originale.
Rédigé à 11:10 dans Découverte_, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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19.05 > 29.07.2018
avec la Galerie Danysz
À la fois discrètes et frappantes, souvent gigantesques, les œuvres de Vhils représentent des visages anonymes, creusés dans différents matériaux ou à même les murs. Désormais connu et exposé à travers le monde, l'artiste portugais fait escale au CENTQUATRE. L'occasion pour cet explorateur urbain de présenter au public parisien une vue d'ensemble de son travail, mais aussi d'aller une nouvelle fois à la rencontre d'une ville et de ses habitants.
Les œuvres d'Alexandre Farto - plus connu sous son nom d'artiste VHILS - représentent des visages anonymes, creusés dans différents matériaux ou à même les murs. Désormais connu et exposé à travers le monde, l'artiste portugais fait escale à Paris pour une double exposition à la Galerie Danysz et au Centquatre, la première d'une telle envergure en France. Cette double exposition est l'occasion pour cet explorateur urbain de présenter au public parisien une vue d'ensemble de son travail, mais aussi d'aller une nouvelle fois à la rencontre d'une ville et de ses habitants.
Photo reportage pour le blog de David Rito
Rédigé à 10:43 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
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Custódio Almeida, nasceu em S. Cristóvão de Lafões, Portugal, em 1973.
Com o 12º Ano de escolaridade, iniciou a sua actividade de pintor e escultor, autodidacta, em 1991, tendo participado em diversas exposições individuais e colectivas, em Portugal e no estrangeiro.
Em 2001/2002 frequentou e concluiu o Curso de Pintura no Centro de Artes de S. João da Madeira.
As suas obras exprimem todo o sentimento que o move. Cada peça tem um bocadinho de si. Cria porque lhe dá prazer, porque o seu interior assim o exige. Enquanto artista, quer deixar um marco seu, um contributo ao mundo da arte.
Havendo produzido mais de 400 obras, algumas delas fazem parte de colecções particulares.
Custódio continua criando obras atrás de obras, pois diz que para ele é uma necessidade, como alimentar-se ou simplesmente respirar.
Rédigé à 15:38 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
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"A Meia Laranja e Meia ainda não sabe muito bem o que é, mas anda sempre à volta da linguagem, dos seus sentidos múltiplos e/ou literais. Existe, como tudo o que se faz só por gosto, para entreter e livrar do tédio."
Rédigé à 15:21 dans illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 15:04 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 14:58 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 14:38 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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UMA MÁSCARA TRANSPARENTE
(...) “O rosto é, também, a máscara, que se expõe duplamente e em simultâneo, em que a autora é, também, visada. Desta forma, este trabalho é diferente de qualquer outro que Balbina Mendes tenha realizado, porque não estamos, apenas, perante uma exposição sobre um tema, inclusive frequente na sua carreira. Não estamos, sobretudo, perante uma exposição etnográfica sobre o Planalto Mirandês. Estamos perante as provas de um enorme desafio, o de se responder objetivamente a uma leitura e interação com um assunto tão denso e tão pessoal, tornando-se voyeur de si e do seu território físico e simbólico, invadindo, expondo e desmontando o que lhe foi dado a preservar. Percebe-se, então, que tudo se torna visceral e filosófico, ultrapassando a estética e a investigação em curso. Percebe-se, ainda, que o caminho já não passa pela simplicidade formal de nos colocarmos por detrás de qualquer máscara, como muitas das suas personagens anteriores, mas de colocar o Rosto ao nível da Máscara, e da Máscara ao nível do Rosto.
(...) Por momentos, as obras parecem aludir ao mistério existente por trás da máscara dos participantes das Festas dos Rapazes ou dos caretos, mas, paralelamente, expulsam-nos para lá do espelho, enviando-nos para o nosso próprio rosto, obrigando-nos a colocar a máscara ou convidando a que a tiremos.
Doravante, estamos perante o dilema com que a autora se deparou: o de perceber até onde somos capazes de analisar as nossas próprias origens e as forças que elas possuem. E se seremos capazes de, como a autora o faz, confrontar essa herança, estudá-la e com ela interagir. Correndo o risco de perceber que quanto mais se ambiciona descobrir mais expostos nos vamos sentindo e, como tal, mais humildes e desprotegidos. Ficamos, então, sem possibilidade de distinguir o rosto e a máscara, pois são exatamente o mesmo.
Fica, então, a questão, salientando o imenso esforço a que tamanha tarefa obrigou a autora, com sucesso: - Seremos nós, também, capazes de o fazer?”
Domingos Loureiro
Investigador i2ADS, Professor Auxiliar na Faculdade de Belas Artes da Universidade do Porto
Balbina Mendes nasceu em 1955, em Malhadas, Miranda do Douro.
Mestrado em Pintura pela Faculdade de Belas Artes da Universidade do Porto.
Vive e trabalha em Vila Nova de Gaia.
Realizou diversas exposições individuais em Portugal, Espanha, Bélgica, Áustria, EUA, Austrália e Índia.
Participou em inúmeras exposições coletivas.
Está representada em várias coleções públicas e privadas em Portugal e no estrangeiro.
O Rosto e a Máscara, Exposição de Balbina Mendes que está patente ao público no Palacete dos Viscondes de Balsemão, no Porto, até ao dia 26 de Maio
Rédigé à 14:34 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (1)
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