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O estúdio TWO HANDS é um atelier ligado à arte têxtil, onde se criam peças de autor baseadas em técnicas tradicionais artesanais produzidas com fibras naturais de grande qualidade. Vânia O. é a cabeça e as duas mãos por detrás deste projecto.
Para uma peça personalizada , revenderores, colaboração ou comissão , contacte-nos com a sua ideia
[email protected]
Le studio TWO HANDS est un studio lié à l'art du textile, où se créent des pièces d'auteur basées sur des techniques traditionnelles artisanales produites avec des fibres naturelles de grande qualité. Vânia O. est la tête et les deux mains de ce projet.
Pour une pièce personnalisée, les contacter sur [email protected]
http://twohandsstudio.tictail.com/
https://www.facebook.com/twohandstextilstudio/
Entrevista da Vânia http://www.oblogdadmc.com/2017/07/entrevista-vania-oliveira-da-two-hands.html
Rédigé à 15:32 dans Découverte_, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0)
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Luís Frasco
Nasce em Lisboa e cresce em Oeiras até aos 27 anos de onde sai para viver em Alfragide/Carnaxide e trabalhar em Lisboa.
Desenha desde miúdo, mas a troca do sonho da banda desenhada pela formação em Arquitectura delegou o desenho para um plano utilitário como instrumento processual da concepção no projecto de arquitectura. Ao fim de 30 anos, só recentemente recuperou a prática regular e o prazer do desenho em vários trabalhos de ilustração, cartoon e, mais frequentemente, do registo descomprometido em cadernos (urban sketching).
Divulga os seus desenhos no seu blog "A ver com as mãos" (https://avercomasmaos.blogspot.pt/ ), em algumas exposições e publicações integrado em grupos de urban sketchers. É membro da direcção dos Urban Sketchers Portugal, em cujo blog (www.urbansketchers-portugal.blogspot.pt) contribui desde 2013.
Gosta de partilhar a sua aprendizagem com outros conduzindo alguns workshops e palestras (Universidade Lusófona/Lisboa, Museu da Electricidade/Lisboa, Instituto Manuel Teixeira Gomes/Portimão, Monção nas Mãos/Monção, Museu Arqueológico do Carmo/Lisboa).
Desenha para guardar a memória dos momentos que antes se desvaneciam. Em constante procura, gosta de testar vários materiais e registos diferentes, muitas vezes no mesmo dia, e mesmo variar o formato dos seus cadernos.
Se gosta de desenhar e vive na região de Paris contacte os Urban Sketcher Paris - https://www.facebook.com/urbansketchersparis/
Rédigé à 14:40 dans illustrations | Lien permanent | Commentaires (0)
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Magnifica exposição «Rostos Fozcoenses» do fotógrafo Paulo Patoleia
No centro de exposições de Vila Nova de Foz-Côa, paralelamente com a Exposição "Os Lugares do Azeite Transmontano"
Quem estiver pelo Norte, à expo esta visivel até finais de março
Magnifique exposition du photographe Paulo Patoleia "Visages Fozcoenses"
Actuellement au centre des expositions de Vila Nova de Foz-Côa, conjointement à l'exposition "Les Lieux de l'huile d'olive Transmontano"
L'expo de Paulo est visible jusqu'à fin mars
Paulo Augusto Patoleia, (Paulo Patoleia) nasceu em 09 de Setembro de 1959, na Açoreira, concelho de Torre de Moncorvo. Cursou na Escola de Administração e Comércio em Torre de Moncorvo.
Rumou ao estrangeiro no ano de 1980 aonde manteve contacto com os novos «fauves» da pintura e escultura, um movimento artístico vanguardista da cidade de Mainz, Alemanha, França, Suiça e Brasil.Em 1984/85 tirou um curso de Hotelaria de Escola de Zurich, aproveitando um acordo de formação profissional existente entre Portugal e Suiça.
Regressou a portugal em 1987 criando um atelier de arte no Felgar, fomentando o intercâmbio cultural com artistas estrangeiros e nacionais.
O gosto pela fotografia despoletou em 2005 registando afincadamente, pelas aldeias, feiras e mercados os rostos das gentes transmontanas durienses, sobretudo aqueles cujo telurismo estava muito vincado no seus rostos.
Rédigé à 14:12 dans Découvrir Tras-os-Montes, Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0)
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Sculpteur et architecte vraisemblablement d'origine wallonne. Nicolas Chantereine se rend vers 1516 au Portugal, à l'invitation du roi Manuel. Entre 1520 et 1530, on le trouve à Coimbra où il exécute le portail principal, des enfeux pour les tombeaux d'Afonso Henriques et de Sancho Ier. Comme Jean de Rouen, il travaille ensuite au monastère de Celas, il y exécute la porte de la salle capitulaire et le retable de Saint-Martin. Il taille un retable en albâtre pour la chapelle de la Pena à Sintra (1532). Il sculpte ensuite plusieurs tombeaux d'évêques à Évora où il est actif jusqu'en 1537. Son art, très surchargé, semble inspiré des œuvres de Michel Colombe. Nicolas Chantereine a connu la sculpture bourguignonne : c'est Claus Sluter qu'il cherche à imiter au portail des Hiéronymites en 1517 et ensuite à celui de l'église de la Conception à Lisbonne. Il collabore aussi à l'érection d'une voûte dans le transept de Belém, attestant ainsi sa compétence en architecture.
Renée PLOUIN
Que tous ceux qui auront le bonheur de se rendre un jour au Monastère des Jeronimos ne se laissent pas prendre au piège des dimensions majestueuses de la porte le plus connue du monde entier du monastère, désignée comme la porte Sud.
L’entrée principale est plus importante, par sa localisation face à l’autel principal, mais aussi par la symbolique de sa décoration, qui se trouve, presque discrète, sur le côté.
On y trouve représentés les tableaux principaux de la naissance du Christ, l’Annonciation, la Nativité, l’Épiphanie.
On trouve également les statues de D. Manuel I et de D. Maria, accompagnés de leurs saints patrons, S. Jérôme et S. Jean le Baptiste, attribués au sculpteur Nicolas de Chanterene (ou Chantereine) qui a également introduit des éléments caractéristiques de l’art de la Renaissance, les anges vêtus à la romaine ainsi que les têtes d’enfants aux ailes d’ange.
https://dubleudansmesnuages.com/
Monastère de Santa Cruz, Coimbra
Rédigé à 18:12 dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 17:12 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES, Povo portugues, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 17:02 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Chama-se Ricardo Rodrigues, é designer de comunicação, mas o que realmente gosta de fazer é ilustração e bonecos em tecido...
Os trabalhos que ele faz têm sempre uma ligação ao mundo infantil.
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Rédigé à 15:16 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES | Lien permanent | Commentaires (0)
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Catherine Ribeiro naît à Lyon le 22 septembre 1941 dans une famille d'origine portugaise. Elle commence sa carrière de chanteuse dans un style doublement influencé par le folk de Bob Dylan, dont elle reprend des titres adaptés en français par Hugues Aufray, et les grandes voix d'expression française que sont Jacques Brel, Édith Piaf et Léo Ferré, comme en témoignent quatre super 45 tours parus entre 1964 et 1966.
Celle que l'on appelait "la pasionaria rouge" est une femme de spiritualité. Dans le passé, elle fit des retraites chez les carmélites, les pères Carmes et les bénédictines : "Pour le silence et parvenir à me ressourcer", confesse-t-elle. Hindouiste dans les années 60, elle lit encore chaque jour quelques versets de la Bhagavad-Gîtâ et nous en livre au hasard un verset : "Je suis la force affranchie du désir et de la passion." Un hasard qui correspond bien à cette artiste, dont le groupe Catherine Ribeiro + Alpes, créé après 1968 avec le compositeur Patrice Moullet, accéda au premier rang de la pop musique française. Des textes puissants servis par une voix grave, violente, enveloppée de tendresse par ses inflexions et ses harmoniques.
La chanteuse est envoûtante. Elle fit ses premiers pas dans le temple comme comédienne. Les carabiniers de Jean-Luc Gordard demeure dans la mémoire des cinéphiles, mais elle en parle peu. Sa présence fortuite sur la photo du siècle prise par Jean-Marie Périer le 12 avril 1966 à 16 heures (Elle est tout en haut, entre Hughes Aufray et Eddy Mitchell) ne fait pas d'elle pour autant une chanteuse yé-yé : "Cela n'évoque rien du tout pour moi", avoue-t-elle.
La vraie naissance de Catherine Ribeiro est en octobre 1969 : "Je n'ai commencé à vivre que lorsque je suis montée sur scène." Elle remplira les salles, sera ovationnée pendant quarante ans. C'est parfois à la bougie qu'elle éclaira ses concerts : "J'avais lu La psychanalyse du feu de Gaston Bachelard, mais ce n'est pas la seule raison à cela. Les groupes anglo-saxons recouraient à une débauche de lumières et, nous, nous avions trois fois rien. Je suis allée au bout de cette logique." La sécurité s'arrachait les cheveux et menaçait de fermer la salle, au risque de voir le public tout casser : "Pour peu qu'un léger courant d'air arrive des coulisses, les bougies se consumaient plus vite que prévu, et nous terminions dans la pénombre."
L'artiste déclina par deux fois la proposition de Bruno Coquatrix de passer à l'Olympia pendant deux semaines, parce qu'elle ne voulait pas chanter deux jours de suite : "Ma voix n'aurait pas tenu, elle n'était pas électrifiée au regard du volume sonore des musiciens." Cela la priva d'une visibilité. Elle refusa de chanter en play-back orchestre à la télévision, parce qu'on ne voulait pas des musiciens. Elle reconnaît à Philippe Bouvard le mérite de l'avoir bien reçue : "Il a été éminemment sympathique et chaleureux à mon égard."
Pas sectaire, mais pas docile, Catherine Ribeiro se battra pour le statut des artistes. En mai 1979, elle fait dix jours de grève de la faim pour faire reconnaître "le droit de l'artiste interprète", après la sortie de son album dans lequel elle chante Prévert. Elle supportait mal aussi la mention qui figurait sur tous les disques dont elle était l'auteur : "Les textes de ces chansons n'engagent que leur auteur." François Mitterrand vint la voir avec Jack Lang. Une fois élu président de la République, il ne la perdra pas de vue et en 1982, alors qu'elle remplit pendant trois semaines Bobino, il se glisse discrètement dans la salle.
Politiquement engagée pour défendre les opprimés, elle ne sera pourtant jamais encartée. Catherine Ribeiro fut initiée à l'histoire de la classe ouvrière à l'OCI (Organisation communiste internationaliste). C'est Bernard Murat qui la parraina : "L'ineffable Bernard Murat, dit-elle. Il y avait aussi Pierre Arditi et Nadine Trintignant." Aujourd'hui, la politique la passionne toujours, mais elle avoue avoir voté François Hollande "par dépit".
La dernière apparition en public de Catherine Ribeiro à Paris remonte au 11 janvier 2008, devant une salle comble. Des centaines de spectateurs furent refoulés sur le trottoir du boulevard Voltaire par manque de place. Était-ce un adieu ? "Je ne peux pas l'affirmer aujourd'hui", avoue Catherine Ribeiro. "Cela m'est déjà arrivé, puis un jour l'occasion se représente et je repars. Je me sens mieux sur scène que dans ma chambre à coucher."
Article de Jean-Noël Mirande, publié le 25/05/2013 | Le Point.fr
Rédigé à 14:52 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 14:25 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Se o bairro da Graça é já um local fascinante com os seus miradouros de perder o fôlego, as belas vilas operárias, o seu pitoresco e pessoas que o habitam, podemos dizer que, desde o ano passado, ficou ainda mais encantadora: um grupo de artistas coordenado pela associação EBANOCollective realizou várias intervenções artísticas em algumas paredes da área, homenageando figuras ilustres como Natália Correia, Sophia de Mello Breyner Andresen e Florbela Espanca.
Quem passeia pela Graça, encontra um bairro com poesia escondida em cada recanto, que vale a pena encontrar :
Beco do Forno do Tijolo
“Quando eu morrer voltarei para buscar / Os instantes que não vivi junto do mar” Sophia de Mello Breyner Andresen, in Livro sexto, 1962
Mural realizado por EBANOCollective com a colaboração de Giorgia Tono e Fabio Bianchi, 2014
Beco dos Peixinhos
“O grito da cigarra ergue a tarde a seu cimo e o perfume do orégão invade a felicidade. A omnipotência do sol rege a minha vida enquanto me recomeço em cada coisa. Por isso trouxe comigo o lírio da pequena praia. Ali se erguia intacta a coluna do primeiro dia – e vi o mar reflectido no seu primeiro espelho. Ingrina.
É esse o tempo a que regresso no perfume do orégão, no grito da cigarra, na omnipotência do sol. Os meus passos escutam o chão enquanto a alegria do encontro me desaltera e sacia. O meu reino é meu como um vestido que me serve.
E sobre a areia sobre a cal e sobre a pedra escrevo: nesta manhã eu recomeço o mundo.”
Sophia de Mello Breyner Andresen, in Geografia, 1967
Mural realizado por EBANOCollective com a colaboração de Giorgia Tono e Fabio Bianchi, 2014
Rua Josefa de Óbidos
“De todas as mulheres que deixaram o seu nome no bairro da Graça, optei por representar de forma sóbria, a mulher que provavelmente marcou mais a infância das crianças, incluindo a minha, Sophia M. B. Andersen”.
EIME, Sophia
Travessa do Monte
“Este mural e o percurso literário começam na esquina com o poema “Ser Poeta” da Florbela Espanca que considerei ser um bom inicio para o percurso. Sabia que gostava de tentar retratar ou agarrar nas características físicas de cada poetisa mas respeitando a minha metodologia de trabalho que assenta na apropriação de uma mancha ou outras características do suporte. (…) O retrato da Natália Correia, aparece de seguida, fumando a sua célebre boquilha.”
Mariana Dias Coutinho, As Poetisas
Rua Natália Correia
“E o meu coração que tu não sentes,
Vai boiando ao acaso das correntes,
Esquife negro sobre um mar de chamas…“
do poema: Frémito do meu corpo a procurar-te
e
“Árvores! Não choreis! Olhai e vede:
Também ando a gritar, morta de sede,
Pedindo a Deus a minha gota de água!”
do poema Árvores do Alentejo
Rédigé à 13:48 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Um passeio por terras alentejanas desta vez, Zona do Alqueva, um sítio a visitar com calma, e usufruir de tudo o que toda esta zona tem para oferecer, desde toda a sua história, a sua gastronomia e muito mais.... da autoria do fotógrafo Paulo Remédios
Rédigé à 13:06 dans PHOTO et PHOTOGRAPHES, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé à 12:56 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0)
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