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Rédigé à 17:03 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS, illustrations | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 18:46 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Rédigé à 18:08 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 17:53 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Ilustração Susa Monteiro
O cante alentejano já é da Humanidade. A decisão foi tomada esta quinta-feira de manhã, em Paris, pela Organização das Nações Unidas para a Educação, Ciência e Cultura (UNESCO)*
"Alentejo, Sul de Portugal. Dezenas de grupos amadores reúnem-se regularmente para ensaiar antigos cantos polifónicos e para improvisar modas sobre o tempo presente. Isto é o «cante».
Nascido nas tabernas e nos campos, entre camponeses e mineiros, o cante transmitiu-se ao longo de várias gerações. Nas últimas décadas, com a diáspora alentejana, novos grupos apareceram na periferia de Lisboa e em diversos países de emigração – provando que o cante é um traço identitário dos alentejanos onde quer que estejam.
Este filme é uma viagem musical ao Portugal contemporâneo, a um modo de expressão único e à paixão dos seus intérpretes."
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Partout la crise et la récession s’installent. Partout l’indignation et la colère s’expriment. Partout la contestation s’organise, notamment chez les jeunes en quête d’alternatives. Beaucoup sont convaincus que la crise économique actuelle, n'est pas une crise, mais une nouvelle forme de totalitarisme économique, que la démocratie est malade, qu’il faut lui insuffler une nouvelle énergie pour qu’elle retrouve sa vigueur et surtout que les citoyennes et les citoyens se la réapproprient. Mais comment s’y prendre ?
Dans un Portugal en pleine débâcle, Pedro et João, deux jeunes idéalistes diplômés et précaires et tout leur groupe, puisent leur énergie et leur optimisme dans l’activisme politique. Forts du succès de la manifestation
qu’ils ont organisé, le 12 mars 2011, pour protester contre les mesures d’austérité et qui a mobilisé 500 000 personnes, sans l'appui de partis politiques ou de syndicats, ils veulent aujourd’hui transformer cette énergie populaire en véritable changement social. Leur objectif : réinventer la démocratie en créant une Académie Citoyenne pour "faire de chaque citoyen un politique". Leur donner des outils, pour lutter contre une classe politique qui a kidnappé le pouvoir.
Rosa Parks n'est pas allée s'asseoir dans un bus à la place des blancs, sur un coup de tête. Elle a étudié pendant plusieurs années au Highlander Center, l'école d'activistes qu'avait aussi fréquenté Martin Luther King.
Lutter, résister, créer des alternatives, ça s'apprend.
Estreias de Dreamocracy
9 de Dezembro, 21h30 no Fórum Lisboa, seguido de debate com as realizadoras Raquel Freire e Valérie Mitteaux.
10 de Dezembro às 21h no Festival Internacional Porto - seguido de debate com José António Pinto, aka Chalana, e as realizadoras.
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Bocca Baciata, 1859 - Dante Gabriel Rossetti
"Le colloque international et interdisciplinaire « Marginalités au féminin dans le monde lusophone » se propose de mener une réflexion sur un thème d’une importance majeure et d’une actualité indéniable. Certes, la question féminine et celle de la marginalité touchent à des domaines souvent abordés dans la Littérature, dans les Arts et, naturellement, par les Sciences Humaines et Sociales. Toutefois il nous semble que jusqu’ici manquait une approche pluridisciplinaire de cette problématique, se construisant autour de l’ensemble des pays de langue officielle portugaise dans leur unité et leur diversité et prenant en compte le temps historique, ses continuités et ses ruptures. C’est ce que ce colloque se propose de concrétiser.
De très nombreux facteurs peuvent être évoqués pour justifier une spécificité de la question féminine dans l’espace lusophone. Il y a tout d’abord, et pour remonter aux temps les plus lointains, l’immensité d’un empire qui se déployait sur tous les continents et qui s’obstinait à réunir sous sa coupe politique, économique, sociale et religieuse des peuples (avec inévitablement leur composante féminine) aux traditions, aux cultures, aux cultes et aux organisations sociétales complètement différents, les contraignant à développer les plus fines stratégies pour ne pas renoncer à leurs racines tout en se conformant, en apparence, aux impératifs dictés. De ce fait, l’histoire de tous ces pays (d’Afrique, d’Amérique, d’Asie) a été ponctuée, jusqu’à la fin de l’empire et à la période relativement récente de décolonisation, par des situations, des événements, dont les incidences sur les femmes sont évidentes mais pas toujours explorées, et orienteront nos analyses : esclavage, colonisation, métissage, dépendance politique et économique, invasions, dictature, guerre, émigration, assimilations forcées...
lire la suite sur http://www.viamoderna.org/
Les participants orienteront leur communication autour du thème de leur choix, néanmoins, afin d’obtenir une certaine homogénéité, nous indiquons les axes suivants :
- Conformité et déviance
- Frontières culturelles : quand la marge devient norme
- Marginalité/dictature, systèmes totalitaires, contextes de guerre
- Colonisation et décolonisation. Cultures coloniales et postcoloniales
- Marginalité et défense de la femme /féminisme /
- Représentations ‘marginalisantes’ de la femme
- Marginalité /engagement civique, religieux …
- Littératures et arts féminins de la marge
Le 24 novembre de 9h à 18h et le 26 novembre de 9h30 à 16h45
à l’Université Sorbonne nouvelle /Salle Bourjac, 17 rue de la Sorbonne- 75005 – Paris
Le 25 novembre de 9h à 17h30
A la Fondation Calouste Gulbenkian – Délégation en France
39, Boulevard de la Tour-Maubourg - 75007 Paris
Rédigé à 17:12 dans Culture, DEBAT | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Rui Filipe no piano, Cindy Gonçalves no violino e Sandra Martins no violoncelo, com um repertório próprio de música original, que orbita entre os ambientes de paisagens cinéfilas e a escultura sonora de estética contemporânea, criando um esfera de ficção auditiva, onde as imagens facilmente invadem a imaginação de quem se deixa levar pelas linhas dramáticas e aventureiras.
Vários anos de projectos conjuntos dos três elementos (RosaNegra, música para teatro e bailado), resultam numa sólida construção de afinidades, motivando assim a apresentação de um repertório que parece vindo de uma caixa mágica cheia de misteriosos e transcendentes momentos...
A arte como um organismo vivo, livre e imprevisível."
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La Bibliothèque municipale de Sophia de Mello Breyner Andresen, à Loulé (Portugal), recevra entre 10 Novembre et le 13 Décembre une exposition photographique d’Eduardo Gageiro autour de son livre « Silêncios » "Silences".
« Silêncios » est un témoignage de l'artiste, plein de respect vis-à-vis de l’Être Humain, et plus particulièrement le besoin de se recueillir avec lui-même, vers ce qu’il y a de plus secret et de plus profond. Mais également, pour mettre en évidence la complicité magnifique de ses photos avec les textes de l'écrivain Lidia Jorge.
Eduardo est né en Gageiro Sacavém le 16 Février 1935. Employé de bureau dans l’usine de vaisselle de Sacavém entre 1947-1957, il y cotôya des peintres, des sculpteurs et des ouvriers de l'usine, qui l’influencèrent dans sa décision de faire du photojournalisme.
A l’âge de 12 ans , il publie sa première photo dans le journal « Diário de Notícias », avec les honneurs de la première page.
Il débute son activité dans le photojournaliste dans le quotidien « Diário Ilustrado » en 1957.
Il a été photographe pour le Journal Diário Ilustrado, O Século Ilustrado, Eva, Almanaque, Match Magazine, rédacteur en chef du magazine Sábado, Associated Press (Portugal), Companhia Nacional de Bailado, l'Assemblée Nationale et de la Présidence. A travaillé notamment pour Deutsche Gramophone - Allemagne, Yamaha - Japon et Cartier. Il est actuellement freelancer.
Le site Eduardo Gageiro
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Le 3 Marias ne sont pas toutes des "Maria", en fait, une seule l’est, la guitariste et chanteuse Cristina (dont le deuxième prénom est Maria). Synonyme de " femme fière" c’est un prénom "très portugais" qui reste à l’oreille de celui qui écoute et qui découvre un tango à la mode de Porto, avec cette petite odeur de fado, et ces notes électroniques. Ce groupe de trois femmes complices, né en 2008, vient de lancer son deuxième album : "bipolaire", porté par 10 chansons originales, auxquelles s’ajoutent un bonus thème interprété par la chanteuse Simone de Oliveira, ainsi qu’une interprétation de "Libertango" de l'argentin Astor Piazzolla.
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Os pobres não têm competências, nem competitividade, nem produtividade, nem espírito empreendedor, os pobres não são proactivos, os pobres não investem no seu futuro, os pobres não sabem criar sinergias, os pobres não constroem poupança, os pobres andam a viver acima das suas possibilidades, os pobres andam mal-habituados, os pobres são malandros e trafulhas e só estão bem a encher o bandulho enquanto cantam o fado da desgraçadinha, os pobres são calinas e mal-agradecidos, os pobres o que querem é a mama do Rendimento Mínimo (ou RSI ou lá o que é agora), os pobres derretem o dinheirito todo em plasmas, telemóveis, mariscadas, bifes todos os dias e na água que desperdiçam quando lavam os dentes.
Os pobres também são burros, e analfabetos funcionais e continuam a ser súbditos em vez de cidadãos, os pobres são politicamente passivos, os pobres votam contra os seus interesses de classe, os pobres alinham sempre pelo mais baixo denominador comum, os pobres alimentam a demagogia, os pobres são facilmente manipuláveis, os pobres magoam-se em peregrinações a Fátima e dão o dízimo à IURD, os pobres não são voluntariosos, os pobres queixam-se muito mas raramente protestam e nunca participam nas manifestações da sociedade civil, os pobres para a bola têm dinheiro mas livros lá em casa está quieto, os pobres são egoístas e machistas e homófobos e, pior ainda, às vezes até racistas com outros pobres doutros sítios.
Ainda por cima os pobres são feios, os pobres não têm gosto nem cultura nem bom senso nem nada, os pobres não têm cartão da Biblioteca Nacional, os pobres não fazem parte da aldeia global, os pobres estão desenraizados da cultura tradicional, os pobres têm medo do que não compreendem, os pobres não têm opiniões que mereçam o tempo necessário que leva a ouvi-las, os pobres não viam o 2.º canal nem quando o 2.º canal merecia ser visto, do que os pobres gostam é da novela e papam tudo o que é "reality show", os pobres não apreciam cinema de autor e só vão ao teatro se for o La Féria, os pobres nunca ouviram falar no "Jornal de Letras" (quanto mais no "Charlie Hebdo" ou na "London Review of Books"), os pobres não sabem quem é o Jonathan Swift ou o Schopenhauer ou o Suetónio, os pobres vestem-se horrendamente, os pobres furam as orelhas aos bebés, os pobres ouvem Zezé di Camargo, acham que McDonald’s é comida e preocupam-se com a orientação sexual do Ronaldo, os pobres às 7 da manhã já estão cansados e às 9 da noite já estão a dormir, os pobres acham que ler poesia é mariquice e riem-se da gastronomia molecular, os pobres estão bem é de fato de treino a passear no centro comercial domingo à tarde, os pobres dão cabo da imagem do país cada vez que se cruzam com os turistas do norte do mundo em frente à Torre de Belém.
E estes pobres de agora, ingratos e consumistas, insolentes sem deixarem de ser submissos; são tão malinos que nem sequer têm a decência básica de serem como os pobres de antigamente: pobres decentinhos cheios de respeito, de chapéu na mão à porta da missa, de olhos baixos às palavras dos doutores, em traje de rancho cinzento-rato remendão... pobres que nem eram pobres, que eram pobrezinhos.
É no raio desta gente que reside todo o problema da nação; não nos bem-abrigados, bem-aquecidos e bem-alimentados que lhes dão lições, ainda menos nos 10% que concentram quase um terço dos recursos, mas neles e só neles. Não fossem precisos tantos pobres para fazer um rico, e quase valia a pena tentar acabar com esta coisa dos pobres. »
Crónica de Tiago Matos Silva é antropólogo, doutorando e investigador para o publico.pt
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“A Casa da Bôxa é o nome da casa dos meus pais. Durante várias gerações albergou uma família conhecida pelos seus costumes estranhos: eram sonhadores, escritores, professores, músicos. O meu avô construiu uma escola nesta mesma casa, onde há 80 anos ensinou a ler os primeiros homens na aldeia. Desde que me lembro, os meus pais têm reconstruído as suas ruínas, todos os anos um muro novo.
Na Bairrada ainda se usa a expressão “parece que és da Bôxa!” para dizer “pareces doido!”
Après près d'une décennie à l'étranger, la chanteuse Magda Mendes décide de retourner "à la maison" pour écrire et enregistrer sa musique. Elle voyagea jusqu’au village de sa mère (Bairrada, Portugal) emmenant avec elle un groupe international de musiciens et cinéastes. Dans l'ancienne école primaire du village, fermé par manque d'enfants, a été monté un studio d'enregistrement temporaire. Au cours de cette résidence temporaire de deux semaines, est né l’album et le documentaire la « Casa da Bôxa. »
” O lindo edifício da escola primária foi perfeito para trabalhar: solo fértil para inspirar, criar, chamando-me através do eco de risos de crianças .”
Após 8 anos a viver no estrangeiro, senti um forte desejo de voltar a esta aldeia e de partilhar a história dos que se sentem diferentes da maioria e são por isso chamados de “doidos”.
Casa da Bôxa é um tributo a todos os Bôxas deste mundo.” Madga Mendes
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Rédigé à 13:32 dans Musique, Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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« L'un des plus prestigieux journaux Nord Américain, le New York Times, a fait une compilation de ce qui constitue les plus grands trésors culturels de l'Europe.
Inévitablement, Lisbonne a été l'une des villes présentées. Selon le Journal, la lumière unique, le Tage toujours à l'horizon et l'aspect mystérieux de la capitale portugaise en font l'une des destinations les plus appréciées par les touristes du monde entier.
Mais ce ne sont pas là les seules choses qui définissent Lisbonne. Les Azulejos traditionnels, largement utilisés dans tout le pays, mais qui tirent leur origine de la capitale, sont un trésor inestimable, culturellement riche et qui embellissent les villes.
Bien souvent, à force de côtoyer quotidiennement ces pièces on fini par ne plus leur attribuer la valeur qu'elles méritent. Pour grand nombre de visiteurs extérieurs l'azulejo portugais reste une curiosité, mais quelque chose de beau.
En plus des azulejos, le New York Times conseille également de visiter les antiquaires de Lisbonne, ils sont partout et possèdent des pièces uniques. »
Article traduit et extrait de CHIADO MAGAZINE
Rédigé à 12:39 dans Culture, Traditions, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Musicien, auteur, chanteur-compositeur-interprète, ROGERIO CHARRAZ
est influencé par les plus grands noms de la musique portugaise et lusophone.
Laissez-vous embarquer par la douceur d'un des thèmes de son album "Espelho"...
Rédigé à 12:00 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Esta série documental de vídeos tem como objectivo fazer-nos refletir, pensar sobre o tipo de sociedade em que vivemos, para onde caminha o mundo que estamos a construir. Pensar se respeitamos suficientemente os nossos idosos, se os fazemos sentirem-se úteis, se queremos aprender com eles o que não podemos aprender com mais ninguém e em mais lado nenhum.
Um dia, também eles foram jovens. Um dia, também nós seremos velhos.
Rédigé à 18:16 dans Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Foi inaugurada dis 26 de outubro a exposição "Rugas" de Carlos Pedro que vai estar aberta ao publico até dia 25 de Janeiro 2015, na Junta de Freguesia - Alverca da Beira / Bouça Cova.
"A conversa, a merenda, a festa, a feira, a melodia que sobe, são alguns dos espaços de ilusão programada em que se opera o lifting das rugas. Remédios para uma doença sem cura que se chama idade. Rugas do corpo a dobrar-se para dentro, rugas da alma a encarquilhar, até que Deus queira"
Joaquim Igreja
(...) As rugas são os sinais inescapaveis do tempo, as gelosias por onde espreita uma suprema dignidade. Mas esta mostra memoravel diz-nos também algo de novo : que as rugas são tambem as comissuras onde o tempo se esconde, as guaritas onde, como sentinelas, vigiamos a eternidade"
Antonio Godinho Gil
Rédigé à 17:35 dans Culture, Povo portugues | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Le 27 Novembre au Monastère des Jerónimos à Lisbonne s'ouvre l'exposition - 70 "Cavaquinhosé" ukulélés / 70 Artistes organisé par l' Association Culturelle Musée du Cavaquinho et restera ouverte au public jusqu'au 12 Janvier.
Cette exposition se tiendra dans dix municipalités, principalement liées à la pratique du « Cavaquinho » - Braga, Coimbra, Funchal, Guimarães, Croft, Lisbonne, Porto, S.Roque do Pico, Viana do Castelo et Vila Franca do Campo.
Depuis sa création, l'Association a misé sur le soutien d'artistes de renom, notamment Pedro Cabrita Reis, Júlio Pomar et Julian Sarmento. A cet égard, L'Association eut l'idée de produire une exposition invitant 70 artistes nés - la plupart des jeunes créateurs - à travers le pays, proposant à chacun d'entre eux un thème central d'expression et de création autour du "Cavaquinho".
Après avoir parcouru un grand nombre de villes, l'exposition sera ouverte à toutes les institutions portugaises et étrangères, qui souhaiteraient la présenter.
Sa réalisation a été rendue possible grâce au soutien initiale de la fabrique industrielle des instruments de musique - APC - rejoint ensuite par la fabrique artisanale - Artimúsica - et dix artisans indépendants : Alfredo Machado, António Faria Vieira, António Monteiro, Carlos Jorge Pereira Rodrigues, Domingos Machado, Fernando Meirelles, Jose Goncalves, Mario Estalisnau, Nuno Russell et Victor Felix, qui ont fabriqués les "Cavaquinhos" restant, afin qu'ils soient mis à la disposition des artistes.
Livre d'art
La qualité même des œuvres produites souligna la nécessité de créer un livre d'art. Ce fut l'Association Musée du Cavaquinho qui se chargea de sa conception, reprenant le titre initiale de l'exposition et répertoriant l'ensemble des œuvres ainsi que leurs auteurs.
Avec des photos de José Manuel Costa Alves et la conception de Salomé Nascimento, le livre de 160 pages est d'une grande qualité esthétique et graphique. Son contenu comprend un ensemble d'images - sous des angles différents - de tous les "Cavaquinhos" qui ont fait l'objet d'une intervention artistique et sera disponible, non seulement sur les sites d'exposition, mais aussi dans les librairies et les musées. Distribué par Tradisom. Extrait du site Gazeta dos Artistas
Site officiel des CAVAQUINHOS
Rédigé à 17:18 dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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ALÉMFADO est le résultat d’une commande faite par le pianiste João Vasco et le Musée du Fado à huit musiciens portugais de l'univers du jazz et de la musique classique / contemporaine. Le défi proposé était de recréer, pour piano solo, une compilation des plus grandes œuvres du répertoire de fado, et de deux œuvres pour guitare portugaise de Carlos Paredes. Le musicien et compositeur Mário Laginha a quant à lui proposé la création d'un fado original. Après plusieurs représentations au Portugal, au Brésil et en Allemagne, et tout en restant en fidèles au caractère de transversalité qui sous-tend ce concept depuis sa création, ALÉMFADO propose désormais d'élargir ce «regard contemporain» sur le Fado à travers l'image. Le récital est accompagné par la projection d'une vidéo avec des photos de Lisbonne, dévoilant ainsi sa beauté nostalgique et permettant de redécouvrir les quartiers les plus typiques de la ville, dont l'histoire se confond avec l'histoire du Fado.
Piano - João Vasco
Fado de Alain Oulman/David Mourão-Ferreira
Versão de Ruben Alves
Vídeo, autoria e montagem - João Vasco
Concepção Multimédia - Bruno Cochat
le site de João Vasco
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Rédigé à 17:29 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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de Carlos Velasco Orloque
Rédigé à 16:35 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Timelapse vidéo de l'exposition "Saudade Levada ao Peito", un projet de Helena Flores sur les femmes qui portent des médaillons de deuil avec des photos de leurs proches décédés. Ce travail produit par elle-même et l' Association culturelle Bind’o Peixe, consistait en une exposition de 18 portraits imprimés sur tissus surdimensionnés et exposés aux balcons de l'Avenida Dr Carlos Ferreira Pinto, la Caxinas, entre 9 et 31 Août. 2014. Cette expo a été parrainé par DigiLabel (impression) et la Mairie de Vila do Conde.
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Cristina Sampaio est née à Lisbonne.
Diplômée de l'Académie des Beaux-arts de Lisbonne, elle illustre des livres pour enfants depuis 1987 et a travaille depuis 1986 en tant qu’illustratrice et caricaturiste pour divers magazines et journaux au Portugal et à l'étranger.
Elle travailla dans la scénographie, le multimédia et l'animation.
Ses illustrations ont été présentées dans plusieurs expositions collectives et individuelles au Portugal, Brésil, Allemagne, France, République tchèque, Grèce, la Norvège et le Canada.
Elle reçoit de nombreuses récompenses pour l’ensemble de son travail.
as missões da ONU < Expresso
imigração ilegal < Expresso < 1º prémio do World Press Cartoon na categoria de cartoon editorial
a história de um amor impossível < Público
transgénicos < Público
Palestina e Israel < Público
mulheres condenadas à prisão pela prática de aborto < Público
Rédigé à 15:26 dans Culture, société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La chanteuse-auteure portugaise Joana Espadinha vient de sortir sont premier album "Avesso".
Elle étudie à l’Ecole de Jazz Luís Villas-Boas - Hot Clube de Portugal, diplômée en Jazz par le Conservatoire d’Amsterdam ainsi qu’en Droit par l’université Nouvelle de Lisbonne.
Elle a collaboré auprès de divers artiste en tant qu’interprète mais aussi en tant que compositeur , sur des projets tels que "A Bolha" de João Firmino, "Terra Concreta" de Afonso Pais, "Whatever it is you're seeking won't come in the form you're expecting" de João Damp, e" Ponto de Partida ", de André Santos.
Elle exerce en tant que professeur de chant et enseigne le Jazz à l’Université de Évora, à l’École de Jazz Luís Villas-Boas - Hot Clube de Portugal e à l’ ESTAL.
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Rédigé à 11:25 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Dezembro de 91: Uma decisão política encerra metade da centenária linha ferroviária do Tua, entre Bragança e Mirandela. Quinze anos depois, o apito do comboio apenas ecoa na memória dos transmontanos. A sentença amputou o rumo de desenvolvimento e acentuou as assimetrias entre o litoral e o interior de Portugal, tornando-o no país mais centralista da Europa Ocidental.
«Pare, Escute, Olhe» é um documentário do realizador Jorge Pelicano sobre o que está a acontecer na linha do Tua, no quadro de uma região transmontana abandonada. O filme venceu seis prémios nacionais, incluindo Melhor Documentário Português no DocLisboa 2009 e o Grande Prémio do Ambiente no CineEco 2009, em Seia. Já está nas telas dos cinemas de Lisboa e Gondomar e brevemente no resto do país.
Os velhos resistem nas aldeias quase desertificadas, sem crianças. A falta de emprego e vida na terra leva os jovens que restam a procurar oportunidades noutras fronteiras. Agora, o comboio que ainda serpenteia por entre fragas do idílico vale do Tua é ameaçado por uma barragem que inundará aquela que é considerada uma das três mais belas linhas ferroviárias da Europa.
É uma viagem por um Portugal profundo e esquecido, conduzida pela voz soberana de um povo inconformado, maior vítima de promessas incumpridas dos que juraram defender a terra. O povo ficou, isolado, no único distrito do país sem um único quilómetro de auto-estrada.
Tendo a linha do Tua como fio condutor, entre Bragança e Foz Tua, a obra de Pelicano comporta duas realidades: troço desactivado o e o troço activo. No primeiro, o comboio já não circula, os autocarros que vieram substitui-lo há muito que desapareceram, aldeias sem um único transporte público, isoladas.
No troço activo, o anúncio da construção de uma barragem no Foz Tua, em nome do progresso, encaixada num património natural e ambiental único, ameaça o que resta da centenária linha.
Assume-se como um documentário de reflexão e militante na defesa do património do Vale do Tua."
Rédigé à 10:55 dans Cinéma, Découvrir Tras-os-Montes | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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On pourrait croire que ça n'a pas d'importance, que le monde n'a pas de frontière, et que les préjugés sont tombés. Et pourtant, a une époque où les préoccupations premières devraient être écologique et humaines, on continue d'agiter le drapeau du nationalisme ....
Poderemos crer que isso nao importa, que o mundo jà nao tem fronteiras, e que os preconceitos caíram. E portanto, numa época onde as preocupações deveriam ser ecológicas e humanas, continuamos de levantar a bandeira do nacionalismo ...
This movie was made during the first International Kino Kabaret of Lisboa 2014 in the Adamastor Studio.
Director, shooting, music : Paulo Rodrigues
Actors : Boris Ravaigne & Nuno Crespo
Rédigé à 19:38 dans Povo portugues, société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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FG est un artiste lusophone, autodidacte, qui exerce le métier de carrossier. L'idée de réaliser des sculptures avec des pièces de récupération mécanique lui est venue il y a environ 13 ans. Il puise son inspiration dans les pièces elles mêmes, de leurs structures, formes, tailles, et de son environnement personnel.
FG exposera ses oeuvres du 22 décembre au 4 janvier rue veille du temple dans une exposition " métamorphose des matériaux "
Rédigé à 18:36 dans Découverte_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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