Gafieira Belleville
Dimanche 6 février au Studio de l'Ermitage - 8 rue de l'Ermitage, Paris 20ème
Métro Jourdain ou Ménilmontant
"L’ensemble Gafieira Belleville a vu le jour à Paris en 2010. Cet orchestre réunit 9 musiciens aux multiples origines (France, Brésil, Chili…) ainsi qu’un couple de danseurs, autour de cette musique née à Rio de Janeiro, à la fois classique et populaire, et qualifiée par Heitor Villa Lobos d’"Âme musicale du peuple brésilien" : le Choro. Au son du pandeiro, du tan tan, des guitares, flûte, clarinette, cavaquinhos et de la voix, la jeune et joyeuse troupe s’est donnée pour objectif d’inviter le public à ces danses de salon, polkas, valses et autres maxixes qui rappellent les racines européennes du Choro, associées aux riches traditions des rythmes afrobrésiliens. Trouvez votre partenaire et bienvenue au bal !"
Leur site ICI
En profane, je m’abstiens le plus souvent, de m’exprimer sur les arts plastiques. De manière générale, j’ai un faible pour le portrait, qu’il s’agisse de photo, de peinture ou de dessin, ou encore de poésie. Mais je peux être sensible à toute œuvre, dont le réalisme, la beauté, l’expression(…), ne sont pas trop «codés». Ma recherche de purisme et d’émotions dans les arts, fait que je suis rarement touché par une œuvre. En clair, c’est rarement le coup de foudre. Et même si par fois j’ai pu être saisi par une œuvre, je ne me suis jamais arrêté pour la commenter, ou en féliciter l’auteur. Par niaiserie, par pudeur, ou simplement dans l’impossibilité de le faire. (!?...) En visualisant les toiles et les dessins de Francis Rodrigues de Oliveira, j’ai ressenti des flashs et des émotions, au point de m’y attarder pour y découvrir et comprendre ce, je ne sais quoi, qui fait l’on aime, quand on prend conscience que l’on aime. Je ne suis pas sur d’avoir trouvé ce je ne sais quoi, qui fait que j’aime. Mais les couleurs, les lumières, la pureté des traits et des expressions, qui se mêlent en regardant ses œuvres, m’ont réellement interpelé. En dehors de quelques œuvres majeures, j’ai rarement été touché de cette manière. J’aime vraiment! L’heureuse possibilité de l’écrire en guise de commentaire,est aussi une bonne raison de le dire.
Horácio Ernesto André - 19/02/2011
Rédigé par : Horacio Ernesto André | 19/02/2011 à 18:24