Fernando Alvim et Ricardo Marques en concert dans le cadre de la Semaine des cultures étrangères à Paris, organisée par le Forum des instituts et centres culturels étrangers à Paris (FICEP).
Les deux guitaristes interpréteront des standards du jazz et des musiques de Jobim à la viola (guitare) et à la guitare portugaise.
La Troupe de la Comédie-Française présente au Théâtre du Vieux-Colombier
Les Femmes savantes
Du 23 septembre 2010 au 07 novembre 2010
Du mercredi au samedi à 20h, 16h les dimanches et 19h les mardis
Avec Elmano Sancho dans le rôle de L’Epine et le Notaire
"A partir desta semana, quem for ver "Les femmes savantes" de Molière, na Comédie-Française, aqui em Paris, poderá apreciar o trabalho de Elmano Sancho, um jovem ator português já com interessantes experiências nos nossos palcos e cinema."
Palavras do Embaixador de Portugal em Paris, Francisco Seixas da Costa
Voyage au Portugal : scènes de la vie quotidienne des pêcheurs du village de Nazaré (les préparatifs pour le départ de la pêche, le travail des femmes de pêcheurs: séchage du poisson), vues de Viana do Castelo, vues de Braga (temple de Bom Jésus, chateau) , vues de Coimbra (les étudiants en redingote et en rubans, résidences d'étudiants -les républiques-, la bibliothèque royale).
Producteur ou coproducteur: Office national de radiodiffusion télévision française
« Chama-se Natalia Juskiewicz e canta fado... sem voz. Ou melhor: É o seu violino que dá a "voz" ao "tão nosso" fado. É verdadeiramente arrepiante! Vale a pena recordar aqui a fantástica combinação entre um violino e o fado, por Natalia Juskiewicz .
A biografia oficial de Natalia Juskiewicz diz-nos que esta polaca é formada em violino clássico por uma das academias mais conceituadas do mundo, a de Poznac .
A mesma biografia conta que Natalia já reside em Portugal há dez anos e que se terá apaixonado pela nossa língua e cultura durante umas férias que cá passou. Depois disso, decidiu mudar-se para o nosso país. E ainda bem que tomou essa decisão, ou este projecto fantástico talvez nunca tivesse nascido.
Violino e fado: um casamento perfeito
A ideia de Natalia Juskiewicz não podia ter sido mais original. Como a própria explica, o objetivo tinha tanto de simples como de genial: "Substituir a voz tradicional do fado, pela alma de um violino clássico". Daí à gravação de um álbum foi um passo.
Natalia Juskiewicz trata o violino por tu, e o violino pede licença ao fado para o tratar por "vossa excelência", ao mesmo tempo que parece perguntar: "posso conviver consigo?" Feitas as apresentações, fica a sensação de que ambos se entendem lindamente.
A artista aponta este projeto como uma homenagem de uma violinista clássica ao fado. Talvez por isso, Natalia garanta que encontrou a combinação perfeita entre dois universos: o fado e o violino clássico. No fundo, um casamento perfeito. »
"Certaines voix vous prennent aux tripes dès les premières infexions. Katia Guerreiro en fait partie. En quelques années, la jeune femme née en Afrique du Sud (mais débarquée enfant aux Açores) s’est imposée comme l’une des ambassadrices les plus captivantes de cet art ancestral et bouleversant qu’est le fado. Très vite, le monde de la musique s’emballe pour cette jeune chanteuse qui semble avoir chanté le fado toute sa vie. Ses disques remportent tous un succès critique et populaire stupéfant au-delà des frontières du Portugal : les chanteurs brésiliens Ney Matogrosso ou Martinho da Vila la considèrent comme l’une des plus grandes voix de sa génération. Sa puissance émotionnelle est une arme de séduction massive au point qu’elle a réussi l’exploit d’exporter le fado dans des contrées qui n’ en avaient jamais entendu une seule note auparavant." extrait du site http://www.nanterre.fr/
Jean-Claude DA SILVA expose du 16 SEPTEMBRE AU 16 NOVEMBRE 2010
à Mont Marsan (40000)
"Né en 1958, originaire de l'Algarve au sud du Portugal, s'installe en France en 1976 , aprés "la révolution des oeillets" (1974), pour suivre des études d'arts Appliqués à Poitiers. Ouvre son premier atelier en 1981, graphiste, peintre, sculpteur, scénographe, professeur d'expression Artistique...expose en France et à l'étranger, ses oeuvres sont vendus dans plusieurs pays étrangers jusqu'en Chine, son inspiration vient de ses voyages, de ses rencontres, de ses lectures, ses états d'âme, de ses racines Lusitaniennes et Ibériques mais aussi de la condition humaine en général, dérision de l'existence où il puise la nourriture qui alimente sa création, une douce mélancolie appelée "saudade" constitue l'essence même de son introspection ; la pertinence du trait et des formes voyagent dans un imaginaire poétique et harmonieux, une recherche humaine profonde, interrogation sur le reflet de l'inconscient, matérialisation d'une pensée plastique totalement libre intitulée "Fragments de vie ou de mémoire"."
“Para nós, toda verdade, é a verdade toda inteira. E primeiramente, a falência de uma ordem social que impõe uma vida abjecta e por vezes uma morte atroz aos trabalhadores recrutados no estrangeiro.”
Jean-Paul Sartre / 27 de Maio de 1970
"Não é estranho que a imigração siga o mesmo caminho que o vergonhoso tráfico dos negros pois que sobre muitos aspectos existe uma semelhança. Depois de ter sido usada, considerada como o único remédio às nossas necessidades económicas e demográficas, a imigração transforma-se numa série de equações sem saída. Os males que ela secreta são incuráveis. Interesses e moral não são feitos para coabitar. Muitas queixas! Muitas injustiças! Muitos crimes!"
"A pacata aldeia de Vilar de Perdizes, concelho de Montalegre, voltou a receber mais uma edição do afamado Congresso de Medicina Popular. Um evento que reuniu, em quatro dias, cerca de 50 expositores e perto de cinco mil pessoas.
A 24.ª edição do Congresso de Medicina Popular de Vilar de Perdizes voltou a juntar bruxos, videntes, astrólogos, ervanários e búzios. Um mundo místico que convenceu cerca de cinco mil pessoas a visitarem um dos lugares mais peculiares do país."
"Se nem tudo contigo são alegrias serenas Se me dás tanta hora amargurada Se padeço e te digo em certos dias Que me quero ir embora por fim cansada Se me dói o ciúme, se me põe louca de penas Se anda tanto queixume na minha boca Meu amor, minha vida, são queixas somente De alguém que sente que anda sentida O que digo não faço, o amor continua, Sei que não posso, amor sou tua"
"Photographe amateur, Tony Ser a été révélé au grand public en 2008 avec une exposition sur mai 1968, au Capitole. Le Toulousain poursuit l'exploration de ses archives avec un reportage sur le Portugal, sélectionné en off au festival Visa pour l'image, à Perpignan.
Quels souvenirs avez-vous de cette aventure ?
C'était en 1969 mon premier voyage au Portugal et j'y ai passé trois semaines, au sud du pays. Mes photos reflètent le quotidien de gens simples, joyeux, fiers. Ceux que Dieuzaide ou Boubat avaient photographiés avant moi une décennie plus tôt.
Comment avez-vous fait la sélection ?
J'avais gardé tous mes négatifs, bien rangés et je n'ai pas eu de mal à trouver 20 photos sur la centaine réalisée. À l'époque, avec l'argentique, on ne mitraillait pas, on réfléchissait avant d'appuyer sur le déclencheur.
Quel effet cela fait d'être à Visa ?
Je suis très heureux d'avoir été sélectionné avec 49 autres amateurs. Et je suis bien tombé car mon lieu d'exposition est le café Vienne, un endroit réputé, très bien situé.
Qu'est-ce que le Fado ? Amalia répond : "Le Fado c'est un sentiment, on ne peut pas expliquer le Fado, on le sent... c'est comme l'amour, on est amoureux, on ne peut pas expliquer"
Interview de la chanteuse de fado Amalia RODRIGUES. Chez elle, accompagnée par plusieurs guitaristes, elle interprète un chant.Dans un cabaret, elle chante accompagnée par certains spectateurs.
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