Fuir la misère ?...
Je n'ai connu de la misère portugaise que les geôles de Salazar. Privilégié, sans doute. J'avais même la télé et une radio à lampes avec un cadran plein de noms de villes inconnues... et des émissions dans des langues bizarres. Déjà l'attrait pour l'inconnu...
la seule misère que j'aie connue au Portugal a été qu'un jour une bonne âme a déclaré mon père "communiste". Du coup les sbires dévoués à l'Estado Novo ont commencé à débarquer à toute heure de la nuit jusqu'à faire "exploser" mon père. la suite,...
Fuir la misère ?...
Je n'ai connu de la misère portugaise que les geôles de Salazar. Privilégié, sans doute. J'avais même la télé et une radio à lampes avec un cadran plein de noms de villes inconnues... et des émissions dans des langues bizarres. Déjà l'attrait pour l'inconnu...
la seule misère que j'aie connue au Portugal a été qu'un jour une bonne âme a déclaré mon père "communiste". Du coup les sbires dévoués à l'Estado Novo ont commencé à débarquer à toute heure de la nuit jusqu'à faire "exploser" mon père. la suite,...
Rédigé par : J.Earthwood | 24/03/2009 à 12:05