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Vous rappelez vous des timbres de l’école ??? Durant les années d’école primaire on nous remettait un carnet de timbres que nous avions pour mission de vendre à tout notre entourage afin de collecter des dons pour diverses associations… Je me rappelle que c’était surtout mes parents qui finissaient par me les acheter et parfois se chargeaient eux même de les vendre à leur entourage.
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La marque Bonux est devenue une véritable institution de notre patrimoine national.
La lessive aux 1000 cadeaux. "
Tiré du site http://www.deja-hier.com/index2.asp
l'histoire de BONUX sur
http://boomer-cafe.net/version2/index.php/MARQUES-ET-PRODUITS/Cadeau-Bonux.html
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"Arthur et Zoé" n'est en fait que la "traduction" française d'une B.D. américaine Nancy, créee par Ernie Bushmiller.
Dans la B.D. Zoé est une petite fille espiègle et taquine, et Arthur son petit copain.
extrait du site http://barth.francis.neuf.fr/#
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Portugal ressuscitado
(Caxias, 26 de Abril de 1974)
Depois da fome, da guerra
da prisão e da tortura
vi abrir-se a minha terra
como um cravo de ternura.
Vi nas ruas da cidade
o coração do meu povo
gaivota da liberdade
voando num Tejo novo.
Agora o povo unido
nunca mais será vencido
nunca mais será vencido
... suite du texte sur http://momentosydocumentos.wordpress.com/feed/
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Création de Deborah Davis tirée du site de la Girafe timbrée
De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ? Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région.
Papa est gaulois c'est maman qui dit ça et maman est de
"derrière les montagnes" c'est à coté de Banganca. On y va en Eté
alors c'est très sec et des fois dans la rivière y a plus d'eau !!
mais c est super car il y a plein d animaux, plein d anes, vaches,
montons. La bas les gens ils se déplacent en charette tiré par des
chevaux et ils ont des portable !! c'est marrant ( c'est moderne mais
pas trop)
Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
nous on aime le Portugal car c est la liberté, maman et papa
nous laisse sortir dehors toute la journee et des fois la nuit.
les gens la bas ils sont tous gentils et tout le monde nous connait
ils disent qu'on est les petites filles de "bibi" c'est le surnom de motre grand père
Dans le village de ma mère ils ont tous des surnoms, c'est rigolo il y en a un
il s'appelle "mata galinhas" un jour avec une pierre il a tué 7 poules!!
c'est papi, qui l'a dit !!!!!!!!!!
Qu’aimes-tu le plus au Portugal ?
au Portugal on aime les fetes, les bals, la musique, et les cafes et
les glaces
Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
on parle pas beaucoup le portugais mais on comprend
nos grand parents sauf mamie quand elle crie et des fois elle
mélange les deux langues "ta compri mina filla"(dans le texte)
Maman parle pas chez nous parce que papa est francais
Papa aussi comprend mais il dit que des gros mots en portugais!!!
Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents en France ?
Mon papi il était sans papier quand il est arrivé en france
comme les gens d aujourd'ui à la télé
IL a habité dans les bidonvilles dans le 93 ils ont brulé
Après en 1969 ma mamie l'a rejoint en marchant et en traversant
la rivière en Espagne avec tonton et tata et en plus elle ,etait enceinte de maman
et quand maman est née elle c'est enfuit de la clinique avec maman, elle ne comprenait
pas le francais !!!! elle avait peur
Que sais-tu de l'émigration portugaise ? Que peux-tu en dire ?
L’émigration portugaise ??????
On vient de te raconter !!!!
Te sens-tu plus française ou portugaise ?
Jo : je suis plus portugaise
Célia : mais aussi française
(papa fait la gueule sinon)
Quels sont tes plats portugais préférés ?
Les poulets grillés, mais aussi le
"foular" de ma grand mère elle met
plein de chorizzo et de viande pour nous
mais aussi les glaces. c'est vrai c'est pas le meme
que en France, il y a plus de choix et de parfum
Si je te dis "le Portugal", à quoi penses-tu ?
On dit vacances et liberte
Aimerais-tu vivre au Portugal ?
Si maman et papa partent nous aussi
on aimerait bien, mais on a plein de copains ici
et mamie et papi (de papa) sont ici
on ne sait pas !!!!
Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
viva PORTUGAL
Avril 2008
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Esburaca… dilacera… destempera… e
deixa nos corpos, estampado, o rendado dos dias! …
Em Pinheiro Novo, também."
Foto e texto de Carlos Pedro http://olhares.aeiou.pt/utilizadores/detalhes.php?id=38936
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Fica situada na margem da Albufeira do Alto-Rabagão(Pisões), tendo uma paisagem espectacular sobre a Albufeira e a Serra do Barroso.
As gentes de Parafita vivem da agricultura, da pecuária e do comércio, mas também existem alguns professores, profissionais libeirais e funcionários públicos.
A história desta aldeia é longa e gloriosa, sendo este espaço demasiado pequeno para a contar...
Posso vos dizer que os de Parafita sempre gozaram de um elevado estatuto entre as terras vizinhas, pois era e é uma terra de músicos (com o seu ex. libris a Banda Musical de Parafita), alfaiates, doutores, engenheiros, padres, etc.
Mesmo em outras profissões os de Parafita davam e dão "cartas".
Existe um proverbio/dizer popular nas redondezas que diz:"Mais vale um ano em Parafita que sete em Coimbra!" . "
Extracto do site http://groups.msn.com/montalegre/parafita.msnw
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ELEIÇÕES PARA O CONSELHO DAS COMUNIDADES PORTUGUESAS
O que é o Conselho das Comunidades Portuguesas (CCP) ?
O Conselho das Comunidades Portuguesas (CCP) é o órgão consultivo do Governo para as políticas relativas à emigração e às comunidades portuguesas. O CCP é regulado pela Lei n.º 66-A/2007, de 11 de Dezembro 2007.
A nível mundial, o CCP é composto por 73 conselheiro(a)s - em vez dos 100 actuais - entre os quais, 63 são eleitos e 10 são designados
LOCAIS DE VOTO NA REGIÃO DE PARIS
Os Portugueses inscritos em Paris, votam no Consulado de Paris
Os Portugueses inscritos na antiga área consular de Nogent sur
Marne, votam nas instalações do antigo Consulado de Nogent
Os Portugueses inscritos na antiga área consular de Versailles,
votam nas instalações do antigo Consulado de Versailles
A votação decorrerá das 8h00 às 19h00
Poderão votar todos os portugueses inscritos no posto consular da respectiva área de residência e que tenham completado 18 anos até 1 de Março de 2008.
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Olhe que eu era muito bonita quando tinha 23 anos! Quer ver um retrato?» Como diria Carpinejar, «Envelheci… tenho muita infância pela frente». Apresento-vos a mulher que me seduziu na pequena aldeia de Vilar, Boticas, Barroso.
Continuo adorando o trabalho de Antero de Alda
Venham descobrir pequeno pedaço de vida de Maria Gonçalves Malta, mulher Barrosa no site http://www.anterodealda.com/fotografia_barroso.htm
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1,4 kg
Ingrédients :
1 lapin de
3 oignons moyens
1 branche de persil
1,5 càs d'huile
1 càs de graisse ou de margarine
25 cl de vin blanc
150 g de riz
4 tranches de pain rassis
sel, poivre
Préparation :
Apprêtez le lapin puis découpez-le en morceaux. Hachez menu les oignons et le persil. Dans un plat en terre cuite, placez du pain de la veille puis une couche de viande puis une autre d'oignons et de persil. Salez et poivrez la dernière couche. Arrosez d'huile. Mettez la graisse ou la margarine et couvrez de vin blanc. Fermez le plat hermétiquement et laissez cuire à feu doux en remuant de temps à autre pour que le lapin n'attache pas. Rectifiez l'assaisonnement et servez avec du riz ou des pommes de terre cuites.
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J'ai parcouru ces régions où naquirent les grands Découvreurs du
Monde : Henri le navigateur, Vasco de Gama...
J'ai vu les sordides bidonvilles des bas-fonds de Lisbonne... J'ai suivi
la route de l'immigration… J'ai vécu les rendez-vous des passeurs
clandestins de Porto, monté les chemins de Chavès, parlé avec le petit
berger en manteau de paille, goûté l'aurore dans les Pyrénées, goût
d'hiver, de pleurésie, d'angoisse...
Je me suis mêlé aux longues files d'attente en gare d'Hendaye...
Ici, derrière chacun de ces visages, il y a le Portugal, son demi-
siècle d'obscurité, de misères, d'oppression..."
Gérald Bloncourt
Gérald Bloncourt expose actuellement ses photos sur l'émigration Portugaise en France dans les bidonvilles durant les années 50 et 60, au Musée d'Art Moderne de Lisbonne, Espace Berardo du 18 février 2008 au 11 mai 2008
Site de Gérald Bloncourt http://www.bloncourt.net/
Site de l’ESPACO BERALDO http://www.berardocollection.com
Je tiens à remercier Monsieur Gérald Bloncourt pour son intervention sur mon blog, soyez le bienvenu !
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Toujours Mario Soares (PS) et une autre figure de politique portugaise, Alvaro Cunhal (homme politique et Avocat qui dédia sa vie à l'ideal communiste)
Très court extrait de débat
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M. Yvonne : De quelle Région du Portugal sont originaires ton père et ta mère ? Peux-tu me parler en quelques lignes de cette région.
Clément : Région de Leiria, ville du centre du Portugal, traversée par le Liz. C’est une région riche en patrimoine architectural et en paysages naturels. En bord d’Atlantique, proche des plages de Nazaré, S. Pedro de Moel, entourée de pinèdes.
M.Y. : Aimes-tu le Portugal et pourquoi ?
C. : Oui j’adore le Portugal car c’est mon pays d’origine et j’ai toujours connu ses origines.
M.Y. : Qu’aimes-tu le plus au Portugal ?
C. : L’ambiance festive et conviviale
M.Y. : Parles-tu Portugais couramment ? Comment l'as tu appris ?
C. : Oui, à peu près, je pars depuis tout petit en vacances au Portugal et j’ai appris la langue pour communiquer avec mes cousins.
M.Y. :Sais-tu comment sont arrivés tes grands-parents en France ?
C. : Mon grand-père dans les années 60, par les services de l’émigration car la France en manque de main d’œuvre cherchait des hommes jeunes, ma grand-mère et ses quatre enfants en 1970, clandestinement car le Portugal refusait que des jeunes garçons quittent le territoire car susceptibles d’être nécessaires pour les guerres coloniales que menait alors le pays en Afrique.
M.Y. : Que sais-tu de l'émigration portugaise ? Que peux-tu en dire ?
C. : C’est une émigration majoritairement économique et pour une moindre part politique. Le Portugal ayant connu une dictature jusqu’en 1974.
M.Y. : Te sens-tu plus française ou portugaise ?
C. : Je suis fier d’avoir des origines portugaises (uniquement par ma mère) mais je me sens plutôt français.
M.Y. : Quels sont tes plats portugais préférés ?
C. : J’aime tous les plats portugais.
M.Y. : Si je te dis "le Portugal", à quoi penses-tu ?
C. : Vacances, soleil, plage, famille, origines, fierté.
M.Y. : Aimerais-tu vivre au Portugal ?
C. : Je ne sais pas.
M.Y. : Si tu devais clore ce questionnaire par quelques mots en portugais quels seraient-ils ?
C. : Eu gosto de Portugal.
****Avril 2008
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C’était quelque chose ce voyage …stressant pour ma mère qui devait veiller au bon déroulement des préparatifs (valises, rangements, victuailles… et j’en passe), mon père qui était le seul à posséder son permis se mettait en conditions utilisant les quelques heures précédent le voyage pour se reposer, quand à mon frère et moi, excités par le périple, nous préparions dans la joie et la bonne humeur nos petits sacs à jouets, cassettes audio et autres PIF poche, bibliothèque verte etc.
Mon père aimait partir tôt, 5 heures du matin, « conduire à la fraiche » comme il disait.
Et nous voila tous montés à bord de la CX noire prête à « décoller ». Plutôt que le tape-à-l’œil, mon père privilégiait le confort, et pour lui la CX répondait à ce critère. C’est parti !
Nous traversions la France, tout en écoutant les cassettes audio que nous avions emportés, mangions dans les restaurant d’autoroute type L’Arche, reprenions la route, nous nous arrêtions un peu sur une aire de repos lorsque mon père était fatigué, on en profitait pour se dégourdir les jambes, se faire un gouter… puis nous passions la frontière France/Espagne, après les contrôles d’usage, et nous traversions l’Espagne, sans nous presser. Mon père s’y perdait souvent au début, et pour demander sa route il faut dire que son espagnol restait plutôt portugais avec un pseudo accent espagnol. Mais bon, il se débrouillait plutôt pas mal mon père : on finissait par arriver au Portugal !
Et là nous commencions à traverser une ribambelle de petits villages Transmontanos, semblables les uns aux autres, croisant sur notre route vaches et moutons, enfants, hommes et femmes aux visages burinés, chiens errants …plus nous approchions de Gralhas plus les routes devenaient sinueuses, elles n’étaient plus que partiellement goudronnées…
Qu’importait le décor, l’essentiel était d’arriver à bon port.
Un an était passé, pour Grand-mère et Grand-père nous avions encore grandis.
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Une émission tendre et drôle, dont on se souvient tous ..... « Tu vas nous chanter quoi ? Et ton papa il est où ? C'est ta maman là bas ? Il est beau l'invité ? Tu veux te marier avec lui ? ». Beau moment de télévision
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Deux figures de la politique portugaise : Mario Soares (socialiste), qui fut Président de 1986 à 1996 et Francisco Sa Carneiro, fondateur et leader du "Partido Popular Democratico" le PPD, qui fut également premier ministre en 1980.
Extrait de débats
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Suivez pendant quelques minutes l'itinéraire naturel et tranquille de la "Terra Fria Transmontana", parcourant les régions de Bragança, Mranda do Douro, Vimioso et Vinhais.
« Não se pode conhecer uma terra sem nunca a ter visitado. Por muito que dela se fale, por muito que dela se escreva, só a presença nos dá a noção de escala, só a convivência nos desvenda a alma do povo.
É uma realidade que só localmente pode ser entendida.
A Rota da Terra Fria recomenda um traçado viário de quatrocentos quilómetros, como poderia recomendar qualquer outro. Houve, porém, o cuidado de o definir tendo em conta a maior comodidade para um percurso abrangente dos quatro concelhos de Bragança, Miranda do Douro, Vimioso e Vinhais, que demonstrasse a riquíssima variação da paisagem, integrando tudo o que de melhor se pode oferecer.
E o que não estiver à vista, está ao alcance, o prazer, a curiosidade e o espírito de aventura lá o conduzirão.
"Este país de fragas e de barrocais, de riachos serpentinos debruados por salgueiros e negrilhos, de oliveiras e de castanheiros que povoam e delimitam lameiros e terras de semeadura, de águias que pairam altíssimas, este país possui um rosto e um nome…"
Mário Cláudio, Relance da Terra Fria »
Tiré du site http://www.rotaterrafria.com/
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Un jour, quelqu'un m'a offert ce poeme, et c'est ainsi que je découvris Camoes...
Amor é fogo que arde sem se ver;
É ferida que dói e não se sente;
É um contentamento descontente;
É dor que desatina sem doer.
É um não querer mais que bem querer;
É solitário andar por entre a gente;
É nunca contentar-se de contente;
É cuidar que se ganha em se perder;
É querer estar preso por vontade;
É servir a quem vence, o vencedor;
É ter com quem nos mata lealdade.
Mas como causar pode seu favor
Nos corações humanos amizade,
Se tão contrário a si é o mesmo Amor ?
Traduction en français sur http://fr.wikisource.org/wiki/Amor_%C3%A9_fogo_que_arde_sem_se_ver
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"Les Pauliteiros incarnent cette fidélité aux racines. Ces curieux danseurs et musiciens sont la fierté des villages de la région qui ont chacun leur troupe avec ses propres spécificités. Ces hommes pratiquent des chorégraphies belliqueuses très précises qui se transmettent au fil des générations depuis un lointain passé. Armés de bâtons, vêtus de jupons et coiffés de chapeaux fleuris, les danseurs se produisent à l’occasion des fêtes religieuses de ce pays très catholique.
L'origine de ces joutes dansées est contradictoire : est-ce l'entraînement au combat des légions romaines ou un rite initiatique des tribus celtes d'avant la bataille, deux civilisations ayant successivement occupé longuement le terrain en laissant leurs empreintes dans tous les arts populaires ? C’est devenu aujourd’hui une manière de rendre grâce à la Vierge Marie et à Sainte Barbe." extrait du site http://www.casadei.fr/pageLibre00010165.html
Voir site
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Amália da Piedade Rebordão Rodrigues (Lisbonne, 23 juillet 1920 — Lisbonne, 6 octobre 1999) est une célèbre chanteuse de fado.
Considéré comme la Reine du fado, elle fut une des plus grandes ambassadrices du Portugal.
Sa voix si particulière lui a valu une réputation mondiale.
Cinquième d'une famille de neuf enfants, Amália naît en 1920 à Lisbonne, dans le quartier de l'Alcântara et sera élevée par sa grand-mère maternelle. Elle commence dès 1939 à chanter des textes du compositeur Joaquim José de Lima dans les "maisons de fado" de Lisbonne, et notamment au club Retiro da Severa, sous le nom d'Amalia Rebordao. La jeune femme est en effet attirée depuis toujours par le fado, ce chant populaire portugais nostalgique et sensuel importé du Brésil au XIXe siècle à Lisbonne. Au Solar da Alegria, au Café La Gare, au Luso ou au Café Mondego, Amália reprend la gestuelle d'Alfredo Marceneiro, autre père du fado. C’est donc figée, les yeux fermés et l’expression pleine de supplice que la jeune femme interprète ses chants : Amália a rainha do fado (Amália, la reine du fado).
lire la suite sur
http://fr.wikipedia.org/wiki/Amalia_Rodrigues
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