Jusqu’au 26 juillet 2015 à la Fondation Calouste Gulbenkian - Paris
José Meideiros, Novice, Salavador, 1951. Peinte de points blancs qui font référence à Oxalá, dieu de la création, elle porte la plume rouge (ekodidé) du rituel d'initiation. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Thomas Farkas, Plage de Copacabana, Rio de Janeiro, 1947. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Marcel Gautherot, Jangadeiro, Aquiraz, État du Ceará, vers 1950. Courtoisie de l'artiste et de l'Instituto Moreira Salles.
Comprendre et voir le Brésil. Pas celui d'aujourd'hui, mais le Brésil s'ouvrant à la modernité dès les années 1940. Irrigué par des vagues d'immigrants persécutés venus d'Europe, le Brésil connaît une transformation radicale. C'est ce que montre la Fondation Calouste Gulbenkian à travers l'exposition de quatre photographes aux multiples origines. Que ce soit l'ouvrier français de gauche Marcel Gautherot, le photojournaliste brésilen né dans le Nordeste José Medeiros, le Hongrois Thomaz Farkas et le juif allemand Hans Gunter Flieg, chacun a su capter la mutation de ce pays-continent.
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