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Rédigé à 13:50 dans Découvrir Tras-os-Montes, Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Mayra Andrade et Emel Mathlouthi
en concert le dimanche 30 mars à 16h30 à ka Maison de la Musique de Nanterre
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Ermelinda e Lucinda Gonçalves Barroso, Laranjinha
Gravado em São Lourenço, Cabril, Serra do Gerês, Montalegre, Vila Real, Norte (Alto Trás-os-Montes) 3 de Julho de 2013
Realização: Tiago Pereira
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Rédigé à 12:46 dans Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Possui dez cordas de aço (que fazem 5 ordens com cordas duplas), e a sua boca, ou centro, possui a forma de uma “boca de raia”, mas antigamente são vistos modelos em representações antigas, em que as suas bocas eram redondas ou ovais. Costuma possuir entre os 72 e 90 cm.
Tem várias afinações, que procuram acompanhar o tom de outro instrumento. As afinações mais conhecidas são a “Mouraria Velha”, onde a terceira corda, que é um Si, é afinada uma oitava acima da outra afinação, conhecida como a “Moda Velha”.
Para técnicas utiliza o rasgado, o varejado como o cavaquinho, mas também existem tocadores que combinam o rasgado com o varejamento.
Cordofone mais popular no noroeste do país, sobretudo o Minho e o Douro, vinda da vihuela espânica medieval. “ Ela toca-se aí a solo ou a acompanhar o canto, ou, mais correntemente, ao lado do cavaquinho, e, modernamente, do violão, às vezes do bandolim e rabeca, e sobretudo da guitarra, hoje em dia secundada pela harmónica e acordeão (…).” (Oliveira, 1982, p.197). É muito utilizada em rusgas, chulas e acompanhar festivas e cânticos."
Bibliografia Oliveira, E. V. (1982). Instrumentos Musicais Populares Portugueses. Lisboa: Fundação Calouste Gulbenkian.
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Mon père est mort ici en France. Ce rêve qu’il avait comme tous les immigrés portugais de retourner au pays pour y finir ses jours, ne s’est pas réalisé pour lui. C’est pourquoi j’ai voulu lui rendre hommage à travers ce livre en racontant un peu de son histoire, son émigration clandestine, la vie dans le bidonville portugais du Franc-Moisin à Saint-Denis, l’arrivée de sa femme et de ses enfants. En m’appuyant sur des éléments autobiographiques et historiques, j’ai voulu écrire notre épopée familiale et, à travers elle, raconter l’histoire de l’immigration portugaise en général, notre histoire.
Mon père, dans un lit d’Hôpital, quelques mois avant de mourir, ici en France, sa terre d’accueil, m’a raconté sa traversée de la frontière entre le Portugal et l’Espagne. Son émigration clandestine vers la France. Il était avec un autre Portugais, issu du même village. Anacleto, le maçon, avec sa valise pleine d’outils. C’était l’hiver, il faisait nuit, et ils marchaient le long d’un chemin de montagne. En silence. Il ne fallait surtout pas faire de bruit. Mon père était habillé avec un long manteau, qui l’empêchait de marcher vite. Tout à coup, les gendarmes espagnols les ont vus et ont commencé à courir à leur poursuite. Anacleto, affolé, abandonna sa valise, « com a ferramenta » (avec les outils) et rebroussa son chemin. Quand il vit cela, mon père retourna chercher la valise de son ami. Elle était lourde et, avec la sienne, l’échappée devint plus compliquée, d’autant que son manteau le gênait. La guardia civil finit par l’attraper…
« J’ai le mal du pays. J’ai beau entendre parler notre langue autour de moi. J’ai beau lire les journaux portugais. J’ai beau manger comme au Portugal. Je ne suis pas au Portugal. Mon village me manque. L’absence de ma famille se fait sentir de plus en plus. Rien ne permet de remplir ce vide. Ni les pensées, ni les photos, ni les souvenirs. Pas même l’espoir de les revoir un jour. Ah la saudade de l’immigré ! A peine parti, on regrette déjà d’être parti. Mon pays semble déjà si lointain. Ma famille me manque déjà terriblement. Le temps passe. Inexorablement. Le vide s’installe en nous. Un vide que rien n’arrive à combler. Pas même le sourire sur une photo de ceux que j’aime. Pas même une chanson qui sonne comme à la maison. Pas même mes voisins d’infortune avec qui je parle dans ma langue maternelle comme si j’étais au pays. Mais je ne suis pas au pays. Je n’entends jamais vos rires. Je n’éponge jamais vos pleurs. Je ne suis rien sans vous. Je vous aime plus que tout et je ne peux pas vous le dire en face. Venez vite me rejoindre. »
(Photo de ©Gérald Bloncourt : immigrés clandestins portugais traversant les Pyrénées – mars 1965)
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Le Sud-Express est un des plus vieux train express européen. Il parcourt la distance entre Paris et Lisbonne depuis plus d'un siècle. En raison des vagues d'émigration du Portugal, les voyageurs l'ont surnommé "le train de l'émigrant". Le Sud-Express qui a vu passer valises en carton et paniers en osier, est devenu mythique. Il faut avoir fait ce voyage au moins une fois pour vivre ces ambiances chargées de "saudade" où tout le monde partage son repas, son bout de choriço, son verre de vin dans le même compartiment, où l'on raconte ses aventures et son envie de revenir au pays...
Trois musiciens et une chanteuse vous invitent à prendre place avec eux. La chanteuse Mónica Cunha, Philippe de Sousa à la guitare portugaise, Nuno Estevens à la guitare classique et l'accordéoniste Philippe Mallard. Il s'agit d'un spectacle de fado qui ne ressemble ni à un concert ni à une pièce de théâtre, car il prend la forme d'une invitation au voyage du Sud-Express qui vous plonge sans interruption dans les différentes atmosphères, populaires, nostalgiques et parfois burlesques.
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"Arroz de sangue" ( "riz de sang" ) est un plat traditionnel portugais constitué essentiellement de sang de poule et dont la préparation est toujours, dans ma famille, confiée aux femmes.
La préparation de ce plat de fête par les femmes de ma famille qui ont émigré dans les années soixante du Portugal à la France prends alors des allures de rituel. De l'égorgement de la poule à sa préparation, en passant par la récupération minutieuse du sang qui s'en écoule, tout est fait en groupe. La structure chronologique est rompue, les tâches sont nettoyées inlassablement pour sans cesse réapparaître, les voix des femmes, entres deux langues, passent de balbutiements a éclats de voix jusqu'à la confusion totale.
La question de la transmission est posée. Que faire de cet héritage transmit? Mais surtout une réflexion sur les liens du sang, de la chair, la langue maternelle, le cercle intime de la famille et ses enjeux.
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Une nouvelle vie est un documentaire évoquant l'immigration portugaise en France au travers du portrait d'un couple qui s'apprête à rentrer au Portugal.
Prix du meilleur documentaire au Golden Gate Fiction & Documentary Festival (San Francisco, 2006) Mention d'honneur du meilleur documentaire au festival Caminhos do Cinema Português (Coimbra, 2006) Et participation dans de nombreux autres festivals.
Réalisation et montage : Nuno Pires
Rédigé à 16:39 dans Emigration portugaise | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Hoje, artesã certificada, Júlia Côta continua a dar vida e cor ao mundo fantástico que a rodeia,uma imagem de marca, herança de sua mãe. O barro ganha vida nas mãos de Júlia Côta.
Júlia Côta de 73 anos, residente em Manhente, no Concelho de Barcelos e neta do «pai do Galo de Barcelos», Domingos Côto, toda a vida trabalhou com o barro, desenvolvendo um imaginário muito próprio nas peças de figurado que cria. Mãe de sete filhos, Júlia Côta, guarda a mágoa de nenhum deles ter seguido o ofício ao qual dedica tanto carinho e no qual se iniciou ainda criança.
Filha da Rosa Côto, também uma referência no figurado Barcelense, Júlia deixa-se inundar pela imaginação e as suas mãos voam enquanto dá vida às figuras religiosas, animais, cenas da vida rural, a rainha entre outras temáticas nascidas do barro. Chegou a receber 15 tostões à hora, como gosta de relembrar. De trato fácil e emoções à flor da pele, Júlia Côta diz tudo o que pensa. Não sabe ler nem escrever, mas aprendeu as suas iniciais para poder assinar as peças.
Domingos Côto, avô de Júlia, inicia-se na arte do barro no século XIX e a partir daí começa a saga da família Côto, que culmina então na residente de Manhente, que trabalha o figurado há sessenta anos.
Apesar de ir avançada na idade, não há nada que a artesã mais goste de fazer do que trabalhar com o barro, dar cor e vida a peças que marcam presença em feiras de artesanato e no cenário do figurado de Barcelos. Carla Santos para Café Portugal
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Porto - Vendedoras na Ribeira s/data
Fotografia de João Ramoa
in Livro" Porto" de Frederic P. Marjay
Lisboa 1962 - Zona Ribeirinha
Fotografia de Harry Weber
Lisboa 1957
Fotografia de John Gutmann
via CCP UAIR
Porto 1976 - Pescador
© Photos Pad'so
Porto 1966 - Ribeira
Fotografia de Gérald Bloncourt
Lisboa 1966
Fotografia de Gérald Bloncourt
Porto 1979 - Ribeira
Fotografia de Manel Armengol
Nazaré 1972
Fotografia de José Albano
Furadouro 1967
Fotografia de Fernando Penim Redondo
Fotos extratas do site Old Portugal
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O guitarrista Sidónio Pereira, que dirigia o projeto "Residências Fadistas de Lisboa", faleceu esta quarta-feira aos 57 anos...
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Rédigé à 14:02 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:36 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 13:28 dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"A broa de Avintes é um dos tipos de pão com maior tradição em Portugal e que é bastante consumido no Norte de Portugal. É claramente uma das iguarias mais apreciadas da gastronomia portuguesa e, provavelmente, o tipo de pão português com mais fama.
É um pão castanho-escuro e muito denso, com um sabor distinto e intenso, agridoce, feito com farinha de milho e centeio e mel. Tem um processo de produção particularmente lento : coze cerca de cinco a seis horas no forno. Depois de cozido, é polvilhado de farinha. Tem, geralmente, o formato de uma torre sineira"
Rédigé à 13:08 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Film de Lionel Baier (Suisse, France, Portugal), 2013, 84'.
Rédigé à 12:58 dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"Vou amar-te silenciosamente.
Vou amar-te no silêncio que vou procurar e que espero alcançar. Vou amar-te em silêncio como se, “o silêncio”, fosse um lugar, uma porção de espaço, um estado físico, ou não sei que conceito, que fosse alternativa de escolha para ir ou para estar, para isto ou para aquilo e, nomeadamente amar (te)
Vou amar-te silenciosamente como todos aqueles e aquelas que vivem deglutindo o amargor da desfeita. Aquele deglutir que num instante parece aliviar a garganta, para logo se deter no peito com a sensação de um nó. Esse engolir agoniante de angústia, que é tão sobejamente sabido por todos e todas, que já sentiram no mais íntimo do ser, essa alquimia doce-venenosa. Essa que nos confunde depois de se ter saboreado o elixir que nos transcende para o sonho ou para o “ideal”, sempre e enquanto acreditámos na reciprocidade perfeita, quase simetricamente perfeita do amor. Essa que decorre dos desamores, dos amores abortados, dos amores impossíveis, dos não correspondidos, dos proibidos, dos traídos, dos sem existência, dos silenciados por pudor, por vergonha, por receio de juízos... Todos eles têm um “lugar reservado” para além da garganta e do peito. Como se fosse um claustro intemporal, algures num espaço recatado, aqui, ali, além, perto de nós, sempre e em qualquer parte. Esse lugar é o “silêncio”. É lá, e é assim, que eu vou amar-te. Alinhando estes puzzles de palavras, como quem pinta aguarelas, ainda que eu não saiba, se quem pinta aguarelas, escolhe as cores como quem escreve, escolhe as palavras… Escrevendo recortes, cartas e poemas, que releio e declamo sem ninguém me ouvir. Deles, tenho apenas o eco surdo do latejar das veias, compassado pelo bater do coração.
Na sua essência o silêncio não ocupa espaço, nem tem volume; porém existe. Existe, e não só. É imenso, é desmedido! Não tem cheiro, mas tem cor. Não tem forma, porém manifesta-se. Não se vê, mas sente-se. Não prende mas oprime. Não tem matéria mas pesa. E quanto pesa o silêncio! Sobretudo quando a sua razão de ser é o segredo! Esse, por momentos, é tão suave, tão doce…
Por vezes, sorrio ao despertar. Algumas vezes, sorrio interiormente, saboreando o doce fel do segredo... Ao mesmo tempo, o silêncio em que o segredo vai morrer para melhor o viver, é tão pesado, tão cru, tão insuportável, tão abstracto e absurdo este silêncio. Esse em que quero amar-te deste amor que, por não ter cabimento na minha vida, tem um lugar reservado não só no silêncio, mas também no meu coração. Até que dele reste, só a alma e o seu insondável mistério."
Texto de H.
Rédigé à 18:39 dans Entre nous... | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 18:32 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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"As mulheres põem a mesa ao redor do coração" - Daniel Faria
"Comida feita em fogão de lenha, por cozinheiras de mão cheia e sem medidas certas, com receitas velhas, atitudes novas, com o que há nos pomares, nas hortas e nas criações caseiras, feita com muito amor ao comer e para quem come com amor. Feita com a telefonia ligada, ao som de boa música, notícias boas e más, com memória no lido nos livros e nas revistas e com vontade de fazer tudo conforme calha, fazendo de cada prato uma supresa diferente. cComida que se aprende e que se ensina, que se faz chegar a quem pedir."
Produtos caseiros cozinhados em fogão de lenha: doces e compotas artesanais, bolo de chocolate, bolachas e biscoitos... e claro os salgados: pão caseiro, empadas de frango do campo com amêndoas, folhados de alheira com grelos, de espinafres com queijo fresco... e muito, muito mais!!!
le Site A COZINHA DO TCHUS
Rédigé à 18:29 dans Gastronomie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'artiste portugais António Correia, alias Pantónio présente ExØdus à la galerie Itinerrance à partir du 21 février.
Rédigé à 18:11 dans ART CONTEMPORAIN PORTUGAIS, Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 17:56 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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