"Sont interviewés successivement un couple d'intellectuels, un groupe d'étudiants et le nouveau président du Conseil, Marcello CAETANO. - Interviews de la poétesse Sophia de MELLO BREYNER ANDRESEN et de son mari, un avocat plusieurs fois emprisonné. Ils prennent le risque de critiquer le régime de SALAZAR face à la caméra. Ils insistent sur la remise en cause de tous les droits fondamentaux qui pèse sur le peuple portugais (interdiction du droit de grève, censure, syndicats liés à l'Etat, absence d'élections libres), soulignent l'omniprésence de la police dans le pays, la dépolitisation du peuple, tout en portant un espoir dans l'arrivée du nouveau président du Conseil Marcello CAETANO. - Interviews d'un groupe d'étudiants de l'Université de Lisbonne, le visage caché. Ils évoquent la surveillance policière qui pèse sur l'opposition étudiante, critiquent les guerres coloniales capitalistes menées par le Portugal, et pensent, qu'avec l'arrivée au pouvoir de Marcello CAETANO, l'appareil fasciste portugais s'adaptera aux nouvelles exigences du capitalisme portugais. - Interview de Marcello CAETANO, président du Conseil, nouvellement élu, qui ne souhaite pas faire de déclaration, tout en soulignant qu'il aime la France."
"O grupo Mini-Pop esteve na origem dos Jáfumega. Os Mini-Pop, quarteto de adolescentes onde pontificavam os irmãos Barreiros (Mário, Eugénio e Pedro), chegaram a fazer algum furor nos anos 70, em Portugal.(1)
Oriundos do Porto, os Mini-Pop gravaram alguns discos de sucesso como "Era Uma Casa Muito Engraçada". Os músicos do grupo foram adquirindo formação musical na área do Jazz e decidiram dar corpo a um novo projecto musical que baptizaram com o nome de Jáfumega.
Para isso, ao núcleo dos irmãos Barreiros juntaram-se o saxofonista José Nogueira e o baterista Álvaro Marques, para além do cantor Luís Portugal.
Em 1980 editam o seu primeiro trabalho, totalmente cantado em inglês e, singelamente intitulado "Estamos Aí". Neste trabalho já é possível ver algumas das pistas que irão ser exploradas em futuros trabalhos da banda.
As vocalizações são repartidas entre a voz aguda de Luís Portugal e a voz grave de Eugénio Barreiros. O tema mais conhecido deste disco, gravado com poucos recursos e com uma prensagem deficiente, é "There You Are", que chegou a ter algum "airplay" no programa "Rock em Stock", de boa memória.
Em pleno Boom do Rock português o grupo decide cantar em português e obtém um estrondoso sucesso com o single "Dá-me Lume", que contém o reggae "Ribeira", no lado 2. Este tema, cujo refrão andava na boca de toda a gente ("A ponte é uma passagem, p'rá outra margem..."), transforma os Jáfumega num dos grupos mais solicitados para concertos em todo o país.
Não é por isso de estranhar que, em Janeiro de 1982, o grupo se apresente ao vivo na cidade da Guarda, onde proporcionou um espectáculo inesquecível, não só pela qualidade da sua música, mas porque Luís Portugal estava doente e não pode estar presente. Eugénio Barreiros substituiu-o nas vozes e ouvir a "Ribeira" na voz potente de Eugénio fica na memória.
Pouco tendo a ver com o Rock português os Jáfumega tinham no seu line up alguns dos melhores músicos portugueses, disso não havia dúvidas.
O regresso da banda dá-se com o LP "Jáfumega" que inclui "Latin'américa" e "Kasbah". Extremamente bem produzido e bem tocado, o álbum é muito bem recebido pela crítica e pelo público.(2)
Em 1983 o grupo edita o seu último trabalho de título "Recados", subdividido em "Recados da Cidade" e "Recados do Campo". Temas como "Romaria" ou "La Dolce Vita" revelam-se sucessos na rádio, mas não trazem ao grupo grandes proveitos comerciais, pelo que a banda se dissolve em 1984.
[Em Junho de 1985 ainda é anunciada a intenção da banda lançar um novo disco, "São João Brejeiro", para o qual já tinham vários temas.]
Recordados com grande saudade por todos aqueles que os viram e os ouviram, os Jáfumega, dignos representantes da boa música portuguesa, são hoje colocados na galeria dos clássicos..." extracto do site http://anos80.no.sapo.pt/jafumega.htm
"Le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, inaugurera vendredi une promenade Amalia Rodrigues, la reine du Fado, dans le XIXe arrondissement, en présence d'António Costa, maire de Lisbonne, a annoncé la ville mercredi.
"Amalia Rodrigues reste à jamais l'une des plus grandes ambassadrices du Portugal dans le monde grâce à son talent de chanteuse de Fado", a souligné la mairie de Paris dans un communiqué.
La ville veut aussi honorer "ce chant populaire portugais, nostalgique et sensuel, inspiré de genres musicaux brésiliens en vogue au Portugal au 18e siècle".
La "Promenade Amalia Rodrigues", inaugurée vendredi à 10H45, se situe entre le boulevard d?Algérie et l'avenue de la Porte du Pré Saint-Gervais (XIXe).
Née le 20 juillet 1920 à Lisbonne, décédée le 6 octobre 1999 à 79 ans, Amalia Rodrigues fut tour à tour brodeuse, ouvrière, vendeuse de rue avant de connaître la renommée à partir des années 50, grâce à une voix extraordinaire ovationnée de Rio à Paris et de New York à Tokyo.
En plus de 50 ans de carrière, elle a fait une trentaine de disques et joué dans huit films."
"Surnommé la "panthère noire" du temps de sa splendeur, Eusebio, qui a été l'un des "ambassadeurs" du Portugal pour le championnat d'Europe des nations 2004, est la légende vivante du football lusitanien, grâce à ses 9 buts inscrits lors de la Coupe du monde de la FIFA, Angleterre 66 et au Ballon d'Or remporté l'année précédente. D'origine mozambicaine, Eusebio a été en fait le premier grand attaquant issu du continent africain et le premier Ballon d'Or de couleur." Lire la suite sur FIFA.COM
Touchée par l’extinction du loup ibérien, la peintre Nord-Américaine Mary St. George rejoint « Grupo Lobo em Portuga »l et visite un sanctuaire pour la protection des loups. Cela ne les remet pas en dans la nature, mais les protège simplement du danger. Au nord de la Péninsule Ibérique il y a toujours des loups en danger et maltraités par l'homme. C'est devenu pour l’artiste Mary St. George un engagement et une source d’inspiration pour ses peintures et collages sur les loups.
"Son premier instrument est la guitare classique qu' il apprend d'abord en autodidacte, puis aux cotés de Juan Cedrón. Il s’initie à la contrebasse et à d’autres instruments à cordes (cavaquinho, rajão, guitare fretless...) avant de se révéler dans la guitare portugaise. A Lisbonne, il devient l’élève du guitariste Carlos Gonçalves, qui a été pendant plusieurs années l’accompagnateur de la chanteuse Amália Rodrigues. Pendant ses études de musicologie à l’université Paris 8, il s’introduit dans le milieu du fado traditionnel à Paris. Ce qui lui donne l’occasion d’accompagner les “fadistes” qui se produisent en France. Tout en conservant son activité de guitariste de fado, il partage de nouvelles expériences avec des musiciens d’horizons différents (Bévinda-Portugal; Cuarteto Cedron-Argentine; Lulendo-Angola; Alima-Algérie; Facundo-Argentine; Dan Inger-Blues; Dani Selva-AfroBresil; EnFado-Catalogne...)"
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