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29/01/2011

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Horacio Ernesto André

En profane, je m’abstiens le plus souvent, de m’exprimer sur les arts plastiques. De manière générale, j’ai un faible pour le portrait, qu’il s’agisse de photo, de peinture ou de dessin, ou encore de poésie. Mais je peux être sensible à toute œuvre, dont le réalisme, la beauté, l’expression(…), ne sont pas trop «codés». Ma recherche de purisme et d’émotions dans les arts, fait que je suis rarement touché par une œuvre. En clair, c’est rarement le coup de foudre. Et même si par fois j’ai pu être saisi par une œuvre, je ne me suis jamais arrêté pour la commenter, ou en féliciter l’auteur. Par niaiserie, par pudeur, ou simplement dans l’impossibilité de le faire. (!?...) En visualisant les toiles et les dessins de Francis Rodrigues de Oliveira, j’ai ressenti des flashs et des émotions, au point de m’y attarder pour y découvrir et comprendre ce, je ne sais quoi, qui fait l’on aime, quand on prend conscience que l’on aime. Je ne suis pas sur d’avoir trouvé ce je ne sais quoi, qui fait que j’aime. Mais les couleurs, les lumières, la pureté des traits et des expressions, qui se mêlent en regardant ses œuvres, m’ont réellement interpelé. En dehors de quelques œuvres majeures, j’ai rarement été touché de cette manière. J’aime vraiment! L’heureuse possibilité de l’écrire en guise de commentaire,est aussi une bonne raison de le dire.
Horácio Ernesto André - 19/02/2011

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